Mois : septembre 2019

CetusPlay : test de l’application de télécommande Android TV très bien notée sur le Play Store, avec la Freebox mini 4K

Parmi les applications de télécommande compatibles Android TV, CetusPlay. L’application cumule plus de 36 000 avis et arrive à une note moyenne de 4,5 étoiles sur 5. Nous l’avons testée avec la Freebox mini 4K pour voir ce qu’elle propose à l’usage.

L’installation : easy !

Pour profiter de la télécommande CetusPlay, il faut installer l’application sur le smartphone grâce au Play Store, mais également sur la Freebox mini 4K grâce au store intégré.

La détection de la Freebox : en un clin d’oeil !

Passons ensuite à la phrase de jumelage entre le smartphone et la Freebox, qui devront évidemment être connectés sur le même réseau Wi-Fi. 

Lancez l’application sur la Freebox, puis sur le smartphone. Depuis l’application sur le smartphone,  tapotez sur “Gérer la connexion” dans la partie supérieure de l’écran.

Sélectionnez ensuite la Freebox (ici Smart TV) et recopiez le code qui apparaît sur le téléviseur dans l’application smartphone.

La fonction télécommande : parfaite !

Une fois la télécommande opérationnelle, plusieurs écrans de contrôle sont proposés depuis le groupe de quatre carrés en haut à droite : croix multidirectionnelle, mode pavé tactile, mode souris, mode clavier numérique et mode manette.

Les fonctions “croix multidirectionnelle” et “mode clavier numérique ” serviront pour la navigation au sein de l’interface TV, tandis que les fonctions “mode souris” et “pavé tactile” trouveront notamment une utilité dans un navigateur Web comme Puffin Browser. Dans l’ensemble, c’est très actif. Une latence imperceptible.

L’icône de clavier à haut à droite, juste à côté de celle pour sélectionner le type de contrôle, permet d’afficher un écran de saisie pour écrire avec le clavier virtuel du smartphone.

Quant au “mode manette”, il s’adressera évidemment aux joueurs. Si jouer en tactile reste envisageable sur smartphone, car on les yeux sur le même écran, cela se révèle compliqué quand il faut avoir les yeux sur un autre écran.Malgré un smartphone récent et réactif (le Xiaomi Mi 9 Lite que nous testons en ce moment) et un retour haptique activé (vibration), nous avions facilement les doigts qui n’arrivaient pas au bon endroit.

Bref, la réactivité est bien là, mais impossible d’avoir les yeux sur deux écrans en même temps. Un mode manette qui se révèle finalement peu intéressant.

Les fonctionnalités additionnelles : bienvenues !

Au-delà des fonctions de télécommande, CetusPlay propose quelques fonctions additionnelles accessibles via le bouton en haut à gauche. 

Il y a “Lire sur TV” qui permet par exemple d’afficher les photos de son smartphone sur le téléviseur ou encore “Transfert de lien” qui permet d’envoyer un lien Web depuis le smartphone vers le navigateur Web ouvert sur la Freebox.

Citons aussi “Mes applications” pour avoir un aperçu des applications installées sur la Freebox et “Centre d’applications” pour des suggestions d’applications.

Sans oublier l’intégration de YouTube qui permet de chercher une vidéo pour ensuite la caster vers la Freebox et de l’afficher sur le téléviseur.

En plus anecdotique, il y a Clean Master pour faire le ménage sur votre smartphone. Pourquoi pas… Étant donné la légitimité de la présence de l’outil, on peut supposer que cela a aidé à la gratuité de l’application dans sa version de base…

Et la publicité dans tout ça ?

La contrepartie de la gratuité d’une application, c’est souvent la publicité. Dans le cas de CetusPlay, on y a droit, mais pas de manière abusive au point de ruiner l’expérience utilisateur. Toutefois, sachez que vous pouvez vous en débarrasser moyennant 4,59 euros. Une somme symbolique au regard du travail fourni.

VERDICT : CetusPlay fait partie des applications bien notées sur le Play Store et elle mérite bien. Facile à installer, intuitive, dotée de fonctions pratiques et disponible dans une version gratuite avec une dose de publicité acceptable, elle se présente comme une bonne alternative à la télécommande d’une box Android TV telle que la Freebox mini 4K. Seul hic : le mode manette qui semble une idée bienvenue, mais qui se révèle finalement inexploitable à l’usage.

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Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms… Le premier central téléphonique, un nouvel appareil inclus dans l’offre Freebox etc…

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …


23 septembre 2003: Free inclut un modem USB et Ethernet dans ses offres

Free annonçait la à disposition de tous ses nouveaux clients ADSL et pendant toute la durée de souscription un modem USB et Ethernet. Il était alors le seul FAI à mettre gracieusement à disposition de ses clients ADSL un modem USB/Ethernet. Il s’agissait du Sagem Combo 908 dans les zones non dégroupées et Freebox dans les zones dégroupées. A l’époque, Free était le seul fournisseur à mettre un tel équipement à disposition de ses abonnés sans frais.

Voici à quoi ressemblait le modem à l’époque.


20 septembre 2007: Le service de SVOD de Free s’enrichit des films Disney

Free Home Video, l’offre de vidéo à la demande par abonnement de Free, s’est vue ajouter un catalogue fourni de la part de Disney. L’offre, lancée en juin 2007, permettait pour 5.99€ par mois un accès illimité à des films et des séries renouvelés toutes les semaines. Ainsi, des films comme Armageddon, Pirates des Caraïbes mais aussi Pretty Woman, Les 101 Dalmatiens ou même Mary Poppins ont débarqué chez les abonnés Freebox.

Pour ceux n’ayant pas connu, voici à quoi ressemblait la SVOD de Free 10 ans auparavant


20 septembre 2011: Nouvelle identité visuelle pour Free Mobile

Changement de visuel pour la société Free Mobile, alors que l’offre n’est même pas encore lancée. Il faudra en efeft attendre le 10 janvier 2012 pour voir arriver le trublion des télécoms sur le marché de la téléphonie mobile, mais Free Mobile en tant que société existait déjà depuis le 24 juillet 2007. Et l’opérateur avait au début, un log bien différent de celui qu’on connaît aujourd’hui. Le 20 septembre 2011, Free se ravise finalement pour prendre le Logo que l’on connaît aujourd’hui.

Vous en pensez quoi de ce logo ?


22 septembre 1928 : premier central téléphonique automatique en France

A 22 heures pile, le Ministre du commerce et de l’industrie, des postes et des télégraphes mettait en service le premier central téléphonique automatique à Paris au central Carnot, grâce au premier autocommutateur automatique de Paris (le rotary 7A). Ce premier centre nommé « PARIS CARNOT » avait une capacité de 6000 lignes et comprenait également des tables d’opératrices destinées à assurer le trafic avec les autres centres manuels de PARIS et de sa banlieue immédiate. 

 

 

Rotary 7A – Pierre Marandet


23 septembre 1889: Naissance d’un géant du jeu vidéo : Nintendo

Vous connaissez Nintendo ? Bien sûr. Vous connaissez Nintendo Koppaï ? Probablement pas si vous avez moins de 100 ans et que vous n’êtes pas japonais. C’est cependant sous ce nom que le géant du jeu vidéo a été lancé il y’a maintenant 130 ans par Fusajiro Yamauchi. A l’époque, le géant vendait des cartes à jouer nommées hanafuda, fabriquées par son créateur. A noter d’ailleurs que ce premier nom peut être traduit en français par “Laissons la chance au ciel”. Et il semble que le ciel ait été clément avec eux, quand on voit l’influence et le statut culte que cette petite entreprise fondée près de Kyoto a acquis.

Si vous souhaitez en savoir plus sur l’histoire du géant Nippon, voici une vidéo en deux parties réalisée par un YouTubeur et restituant dans les grandes lignes l’avancée de l’entreprise. La deuxième partie se trouve ici.


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La Freebox Delta fait partie du plan d’Amazon visant à améliorer l’expérience des utilisateurs d’assistants vocaux

Amazon a annoncé hier le lancement de son initiative “Voice Interoperability Initiativ” visant à permettre l’utilisation d’autres assistants vocaux en complément du sien. Un programme dont Free fait partie avec la Freebox Delta puisqu’en complément d’Alexa, la box est équipée de l’assistant maison de l’opérateur : Ok Freebox.

Amazon a déclaré que pour lui, la volonté d’avoir “un assistant pour les gouverner tous” n’avait pas de sens, ou en tout cas, que ce n’étati pas le projet du géant américain. C’est pour cela que l’initiative a été créée par Amazon, permettant aux équipements comprenant Alexa d’utiliser d’autres assistants vocaux pour des tâches particulières. Concrètement, cela se traduit donc par une conception différente du hardware, qui doit permettre l’utilisation de plusieurs mots d’activations différents. C’est le cas par exemple sur la Freebox Delta, qui répond aux commandes “Alexa” et “Ok Freebox”, selon le besoin de l’utilisateur.

Un programme donc dans lequel a été cité en exemple Free, mais aussi SFR avec sa Box 8 et Orange avec Djingo, chacun proposant en plus d’Alexa sur leur matériel leur propre assistant vocal. Quatres priorités ont été mises en avant par Amazon concernant cette initiative:

  • Développer des assistants vocaux capables de fonctionner de manière transparente avec les autres, tout en protégeant la confidentialité et la sécurité des clients
  • Construire des appareils favorisant le choix et la flexibilité grâce à la prise en charge de plusieurs wake words simultanés
  • Proposer des technologies et solutions facilitant l’intégration de plusieurs services vocaux sur un même produit
  • Renforcer l’apprentissage machine et la recherche sur l’intelligence artificielle pour améliorer l’étendue, la qualité et l’interopérabilité des services vocaux

 

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SVOD : Le gouvernement serait capable de couper le signal si Netflix ou Amazon Video n’investissent pas dans l’audiovisuel français

Franck Riester s’est exprimé sur la réforme audiovisuelle proposée par le gouvernement. Les plateformes SVOD comme Netflix ou Amazon vont devoir passer à la caisse, sous peine de sanctions.

Le ministre de la Culture a en effet affirmé à France Info vouloir que Netflix, Amazon Prime Video et les autres plateformes du même type soient obligées de financer la production française à hauteur d‘au moins “16% de leur chiffre d’affaires réalisé en France“. Une augmentation de 6% de la participation de Netflix et consorts qui investissent déjà “environ 10%” de leur chiffre d’affaire d’après Franck Riester dans ce type de production. Le but étant également de diversifié les investissements de la part de ces géants, puisqu’il est prévu “une part pour le cinéma, une part pour l’audiovisuel et une part importante pour la production indépendante”.

Pour appliquer cette loi, des leviers seront mis en place, bien que le Ministre de la Culture veuille avant tout privilégier la négociation. Bien sûr les sanctions pourraient prendre la forme de “contraintes financières lourdes” pour les services de la part du Conseil d’Etat mais pas seulement. Si le ministre de la Culture a affirmé que la France était capable de couper le signal, l’Etat est convaincu ” qu’on n’arrivera pas au moment où on serait obligé de prendre des dispositions judiciaires qui iraient jusqu’à couper le signal “. En effet, d’après le ministre, des discussions entre la France et les différents régulateurs dont celui des Pays-Bas (qui héberge Netflix) pourraient permettre de faire pression sur l’entreprise américaine pour qu’ils respectent ces obligations d’investissements. Les sanctions pécuniaires cependant sont jugées plus persuasives par l’Etat que la menace de coupure pure et simple. Franck Riester insiste cependant sur le fait que la priorité de la France reste la négociation et s’estime convaincu que “Netflix suivra ce qu’on lui propose de faire, c’est à dire s’inscrire de façon pérenne” en France, tout en respectant la vision du pays sur la diffusion des programmes et sur les droits d’auteurs. 

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Une série de plantages de Mac Pro à Hollywood causée par … Google

Depuis hier, les Mac Pro utilisés par les studios d’Hollywood tombent en panne les uns après les autres. Un blocage important, donc la cause a été trouvée: si les ordinateurs d’Apple tombent en panne c’est à cause de … Google. 

Les rumeurs sur le problème rencontré par ces ordinateurs mentionnaient la possibilité d’un virus, ou d’une mise à jour d’un logiciel nommé Avid, très utilisé dans le milieu audiovisuel hollywoodien. Il n’en est cependant rien : le problème venait d’une mise à jour de Google Software Update.

Ce logiciel permettait de tenir à jour Chrome et causait un problème si System Integrity Protection était désactivés. Le hic, c’est que les professionnels désactivent parfois cette sécurité afin d’utiliser du matériel d’un autre fabricant (comme une carte vidéo par exemple). Cela explique l’hécatombe qui a eu lieu dans les studios alors que peu de cas étaient répertoriés ailleurs. Google a cependant arrêté le déploiement de la mise à jour, nous informe MacGeneration, il n’y a donc rien à craindre pour l’avancée des prochains blockbusters américains.

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Free Mobile prolonge son forfait “Série Free” mais baisse à nouveau la data incluse

Une semaine après avoir augmenté de 10 Go le volume de données de son forfait à 8,99€/mois, Free Mobile fait cette fois l’inverse en baissant l’enveloppe de data, de 60 à 50 Go. 

Retour à la normale. La “Série Free” de l’opérateur fait une nouvelle fois le yoyo. Free Mobile vient de faire évoluer son forfait intermédiaire, en réduisant la quantité de data incluse de data incluse de 10Go, comme il l’a déjà fait a plusieurs reprises. L’offre est par la même occasion prolongée jusqu’au 1er octobre.

Le reste du contenu de ce forfait sans engagement ne change pas. Intercalé entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, il comprend pour 8,99€/mois pendant un an, appels, SMS et MMS illimités, désormais 50 Go en France métropolitaine et 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G. A l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100 Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.

 

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New Deal Mobile : malgré la frustration générée par les promesses, l’Arcep souligne de grosses avancées en termes de couverture et de qualité de service

Lors de son audition au Sénat, Sébastien Soriano s’est exprimé sur les chantiers et les avancées dans le secteur des télécoms. L’occasion de rappeler la forte implication constatée pour fibrer la France, mais également de revenir sur le New Deal Mobile qui, à défaut d’être parfait, se traduit par de réelles avancées.

Selon le président du gendarme des télécoms, on a un peu “trop promis” avec le New Deal Mobile, ce qui génère aujourd’hui une “insatisfaction”.  Sébastien Soriano rappelle toutefois la progression de la couverture. “45 % du territoire français” était couvert en 4G par les 4 opérateurs au moment du lancement du New Deal. Un chiffre qui atteignait les 67 % en milieu d’année.

Sébastien Soriano souligne par ailleurs “une vraie augmentation qualitative”. Selon le président , en zone rurale, il était question de 14 Mbit/s l’année dernière. Le régulateur a observé cette année un “quasi doublement du débit”, avec du 27 Mbit/s en moyenne. D’ici 15 jours, la publication de l’enquête annuelle sur la qualité de service viendra d’ailleurs étayer cette amélioration.

À propos des cartes jugées imparfaites de l’Arcep, Sébastien Soriano s’en excuse et indique qu’“il n’existe pas de carte parfaite pour représenter la couverture mobile”. Il incite ainsi les initiatives locales, comme en Ille-et-Vilaine. Rappelons également que le régulateur entend contraindre Orange, Free, SFR et Bouygues à fournir des cartes de couverture mobile plus fiables.

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Redmi 8A : Xiaomi présente un nouveau smartphone Android petit prix

La marque Redmi, derrière laquelle on trouve le constructeur Xiaomi, dévoile un nouveau smartphone Android à petit prix. Voici le Redmi 8A qui laisse espérer une énorme autonomie.

Redmi, ancienne gamme de Xiaomi devenue une marque, officialise un nouveau smartphone 8A. Positionné en entrée de gamme, ce smartphone propose un chipset Snapdragon 439 dont le processeur octa-core jusqu’à 2,0 GHz est épaulé par 2 ou 3 Go de mémoire vive, un écran IPS 6,22 pouces HD+ protégé par du verre Gorilla Glass 5,  un stockage 32 Go extensible par MicroSD, un capteur photo 12 Mégapixels au dos et un capteur photo 8 Mégapixels à l’avant (logé dans une encoche goutte d’eau). Le lecteur d’empreintes digitales ne fait pas partie de l’équation. La prise casque 3,5 millimètres répond bien présente, en revanche.

Une configuration relativement modeste alimentée par une batterie 5 000 mAh, ce qui laisse envisager une autonomie particulièrement confortable. D’ailleurs, un support de la charge 18 Watts via le port USB-C permettra d’éviter à la recharge de s’éterniser. Notez toutefois que le constructeur ne fournira qu’un bloc 10 Wats.
Le Redmi 8A n’a pas encore été annoncé pour la France. On a seulement des prix indiens pour l’instant, à savoir les équivalents de 83 et 90 euros pour les configurations 2 + 32 Go et 3 + 32 Go. On aura une ROM MIUI 10 basée sur Android 9.0 Pie en sortie de boîte.

Source : GSMArena

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SFR veut sortir de la guerre des prix et tacle Free

Pour l’opérateur au carré rouge, Free n’a pas encore totalement tourné le dos à la guerre des prix.

«  La guerre des prix, il faut en sortir » tels sont les mots du directeur exécutif d’SFR ce matin, invité de Good Morning Business sur BFM TV Business. Après avoir rappelé que SFR a engrangé à tour de bras des abonnés depuis 18 mois avec un retour à la croissance au deuxième trimestre 2019, Grégory Rabuel s’est penché sur la bataille des prix ravageuse que se sont livrés les opérateurs en 2018, certes beaucoup moins intense depuis le début de l’année. Une accalmie étroitement liée à une volonté affichée de fidéliser les clients via une meilleure qualité de service, pour plus de rentabilité. « Je pense que l’on est en train de sortir de cette guerre des prix, on (SFR) est d’ailleurs l’artisan de la sortie de ces promotions », a t-il déclaré tout en s’en prenant à Free. A ses yeux, l’opérateur de Xavier Niel « n’arrête pas beaucoup puisqu’il fait deux ventes privées dans le mois en ce moment donc ça continue ».

Pour SFR la situation est simple, « dès qu’il y a une promotion agressive, on a décidé d’y répondre le lendemain avec une puissance de feu qui est celle d’SFR et les uns après autres cessent finalement leurs promotions et cela va être bénéfique. Il n’y a pas d’avenir pour cela dans les télécoms qui est un business d’investissement massif pour fournir la meilleure qualité de service à nos clients ».

Toutefois, si la filiale d’Altice estime être l’initiatrice de ce retour au calme sur le marché du mobile, elle semble oublier avoir été au même titre que Bouygues à l’origine de l’intensification de la guerre des prix en 2018 en canardant à tour de rôle des promotions à 5€ à vie, impactant notamment les recrutements de Free qui a vu depuis partir à la concurrence ses abonnés au forfait à 2 euros. Dans le même temps, SFR a séduit commercialement tout en perdant en rentabilité, la faute à ces promotions non rentables. 

Thomas Reynaud, directeur général de la maison-mère de Free a en mars dernier d’ailleurs martelé qu’un forfait à 5€/mois à vie n’avait aucun sens économique, tout comme Orange et sa filiale Sosh. ” Les promotions à vie, qui n’existent quasiment nulle part ailleurs qu’en France, sont le fait de SFR, Bouygues et Iliad. Cela détruit la valeur pour tout le marché français. Nous ne voulons pas faire ça, nous n’irons pas dans cette direction », a pointé du doigt l’opérateur historique en avril dernier. Les conséquences de cette guerre des prix étaient si désastreuses que la consolidation du marché des télécoms devait être envisagée durant l’année 2019, a pour sa part regretté Stéphane Richard. Enfin Xavier Niel, n’a pas pesé ses mots lors du Capital Markets Day d’Iliad il y a quelques mois : “Ces offres à vie ont été vendues de manière mensongère, et tant mieux puisque ça va ternir l’image de ceux qui les proposent.”  Chez Free, c’est une évidence, SFR a intensifié la guerre des prix pour l’amener à la table des négociations à propos de la consolidation.

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Un poste de manager boutique est à pourvoir chez Free dans le département du Nord

Free recherche un(e) manager boutique H/F à Villeneuve-d’Ascq. Les lecteurs d’Univers Freebox étant, a priori, concernés par le monde des télécoms et de Free en particulier, nul doute que certains d’entre vous seront intéressés et qualifiés pour ce poste.

Description

A ce poste clé, vous serez un leader et une source d’inspiration, et motiverez votre équipe pour l’amener à exprimer tout son potentiel.

• Vous valorisez les relations humaines en offrant à votre équipe toutes les conditions pour fournir un service vraiment exceptionnel.
• Vous tissez des liens avec vos collaborateurs et les abonnés Free.
• Vous comprenez les besoins des abonnés Free et vous prenez plaisir à leur fournir la solution la mieux adaptée.
• Vous contribuez au développement des Free Centers par la qualité de votre gestion et par les nouvelles idées que vous apportez.
• Vous avez la responsabilité de la gestion du Free Center, en leader résolument tourné vers l’action, ambitieux et autonome

Profil recherché

Vous avez l’âme d’un leader et vous savez motiver votre équipe pour offrir une qualité de service maximale.
• Vous avez déjà dirigé une équipe dans un point de vente d’un opérateur télécom ou d’une enseigne télécom.
• Vous combinez d’excellentes compétences à la fois en termes de gestion et de pragmatisme.
• Vous savez vous adapter aux situations imprévues et vous vous épanouissez dans un environnement dynamique.
• Vous ne disposez peut-être pas d’une grande expérience technique mais vous avez soif d’apprendre.

Caractéristiques de l’offre :

• Expérience : 3 ans d’expérience dans la distribution télécom
• Formation commerciale : Bac+3
• Type de contrat : CDI

Conditions pratiques

Type de contrat : CDI
Niveau d’expérience requis : Expérience exigée
Niveau d’étude requis : Bac +2 à Bac +4
Horaires : Temps plein, Samedi
Permis requis : Permis non obligatoire
Prise de poste : Dès que possible
Type de salaire : A définir selon profil
Avantages salariaux : Remboursement des frais de transport
CE
Mutuelle
Carte ticket restaurant
Primes d’intéressement et de participation
Salaire fixe + variable attractif
 
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