Mois : septembre 2019

Une enquête a été lancée par 50 procureurs généraux afin de savoir si Google est coupable de pratiques anticoncurrentielles.

Depuis la semaine dernière, une enquête antitrust a été lancée par un groupement de huit états américains contre Facebook. Aujourd’hui, c’est la firme de Mountain View qui est dans le collimateur d’une coalition regroupant 50 procureurs généraux représentant quasiment tous les Etats américains, exceptés l’Alabama ainsi que la Californie.

Le responsable de la coordination de cette initiative n’est autre que le procureur général du Texas, Ken Paxton. Il a déclaré : « Cette enquête n’est pas un procès. Il s’agit de déterminer des faits. Pour l’heure, nous nous intéressons à la question de la publicité ».

Mais ce n’est pas le seul problème du réseau social et du moteur de recherche. En effet, Facebook et Google font déjà l’objet de différentes enquêtes menées notamment par la Chambre des représentants, par le ministère de la Justice ainsi que par le Commission fédérale du commerce.

D’autres membres des GAFAM pourraient également être visés par la suite, tels qu’Amazon ou encore la firme de Cupertino.

Source : 01Net

 

A l’heure où Free Mobile continue d’améliorer son mix de clients 4G avec un gain de 145 000 abonnés au premier semestre, la consommation en data de ces derniers poursuit également sa progression. Lors de la présentation, le 3 septembre dernier, de ses résultats commerciaux et financiers pour le deuxième trimestre, l’opérateur de Xavier Niel a indiqué que ses 7,9 millions d’abonnés 4G, ont dévoré en moyenne près de 12 Go de données par mois (11,9 Go) contre 11,6 Go lors du premier trimestre. Un chiffre en constante évolution puisque qu’il y a un an, la consommation mensuelle chez l’ex-trublion était de 9,6 Go. A titre de comparaison, l’Arcep a indiqué en avril dernier que les abonnés mobiles français utilisaient environ 7,2 Go de données par mois à fin 2018.

Autre performance notable, la vitesse de la 4G de Free. La semaine dernière, l’opérateur s’est targué une nouvelle fois de proposer le meilleur débit en 4G parmi les 3 opérateurs alternatifs, avec un débit moyen descendant de 45 Mb/s, selon nPerf. Des résultats appuyés par la consommation mensuelle de ses abonnés. A noter également que Free couvre 93% de la population en 4G et 97% en 3G ( +1 point en 6 mois).

Pour rappel, Free a inclus, pour la 1ère fois en France, la 4G illimitée le 21 mars 2017 pour les abonnés Freebox (100 Go pour les autres) et a enrichi par la suite le volume de données à l’étranger à 25Go/mois pour le forfait à 19,99 euros/mois, sans oublier le lancement de son forfait intermédiaire "Série Free" en juillet 2018.

 

 

 

La firme de Mountain View s’implante sur un nouveau marché en France : le e-commerce, avec "Acheter sur Google". 

C’est dorénavant sur les plates-bandes d’Amazon que le géant Google veut empiéter en France, en lançant sa plate-forme d’e-commerce qui a également pour but d’ajouter une nouvelle utilité à votre compte Google. En effet, tous les achats se font via votre compte, avec la carte que vous avez enregistré. Il suffit de se rendre sur le site shopping.google.fr pour commander et payer. 

Si la liste des marchands partenaires du programme compte pour l’instant une trentaine de membres, elle devrait s’agrandir au fur et à mesure de l’avancée de la plateforme. L’intérêt principal de ce service reste cependant le fait d’utiliser son compte Google directement. Ainsi, la firme annonce la possibilité d’effectuer des paiements sécurisés et d’avoir accès à l’assistance Google 7 jours sur 7 en cas de soucis lors de la commande. 

A noter également qu’un panier multi-marchand est possible, il n’y a donc aucun besoin de se connecter à différent sites ou d’effectuer une commande en plusieurs fois. Un attrait qui est certes commun à toutes les plateformes d’e-commerce, mais dont l’efficacité est amplifiée par la connexion constante au compte Google. 

Une manière pour le géant américain d’étendre le champ des possibles pour les utilisateurs de comptes Google, mais d’étendre également son influence. S’il s’est récemment lancé sur le marché des jeux videos avec l’annonce de Stadia, il semble désormais que la firme de Mountain View ait ses yeux sur le commerce en ligne. 

Source: Presse-citron

 

Univers Freebox a pu tester l’Oppo Reno, un smartphone de milieu de gamme qui propose un écran sans bordure ni encoche. Voici nos impressions après plusieurs jours en sa compagnie. Elles sont très positives.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques de l’Oppo Reno qui coûte 449 euros avec 6 Go de RAM et 256 Go de stockage.

–    Processeur : octa-core jusqu’à 2,2 GHz (chipset Qualcomm Snapdragon 710)
–    Mémoire vive : 6 Go
–    Écran : dalle AMOLED 6,4 pouces offrant une définition Full HD+ (2 340 x 1 080 pixels)
–    Audio : son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
–    Stockage : 256 Go (non extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B3/B5/B7/B8/B20/B28
–    Double capteur photo dorsal : 48 Mégapixels (principal) + 5 Mégapixels (infos de profondeur)
–    Capteur photo frontal : 16 Mégapixels (dans une partie motorisée de la tranche supérieure, en forme d’aileron de requin)
–    Prise casque : oui (tranche inférieure)
–    Connectique de charge : USB Type-C (tranche inférieure)
–    Connectivité Bluetooth : version 5.0
–    Support NFC : oui
–    Batterie : 3 765 mAh (non amovible) rechargeable en filaire avec le bloc 20 Watts
–    Système d’exploitation : ROM ColorOS 6 basée sur Android 9.0 Pie
–    Protection : lecteur d’empreintes sous l’écran ou reconnaissance faciale

Un beau smartphone, l’effet savonnette en plus

Avec son écran sans grosse bordure ni encoche et son design métallisé, l’Oppo Reno flatte la rétine. Sa finition respire la qualité.

 

Maintenant, quelques petits reproches en termes de prise en main, avec l’effet savonnette. Durant nos tests, il a ainsi eu l’occasion de glisser en étant posé. Celui-ci se révèle aussi glissant en main. Aucun problème de stabilité à plat sur le dos pour la saisie de messages ou le surf, avec un bloc photo parfaitement intégré.

Toujours en parlant de prise en main, il y a la jointure bien marquée entre le châssis et l’écran que certains pourront trouver désagréable.

Un bel écran sans bordure et un son puissant

Parlons maintenant de l’écran avec une dalle AMOLED qui se traduit par de belles couleurs et l’absence de bordures qui permet une bonne immersion en jeu. Pas un seul intrus dans le champ de vision. Place à l’action.

Côté son, ça ne manque pas de patate ou de basses (pour un smartphone). On peut seulement regretter un rendu qui n’est pas stéréo. Le son sort seulement de la tranche inférieure.

La prise casque répond présente. On la trouve dans la tranche inférieure, aux côtés du haut-parleur d’écoute et du port USB-C. D’ailleurs, les écouteurs dans la boîte sont de bonne facture. Les basses ne font pas figuration, ici. Une bonne surprise pour des écouteurs d’origine.

Des photos satisfaisantes dans l’ensemble

Que ce soit avec le double capteur photo au dos ou le capteur photo dans la partie rétractable pour les selfies, les clichés se révèlent plutôt plaisants. Et pourtant, le soleil n’était pas forcément au rendez-vous durant nos tests. Cela vaut pour les photos de jour, mais aussi de nuit, grâce à un mode nuit dédié. Ce dernier fait du bon boulot pour redonner de la luminosité, des couleurs et de la netteté. Il vient aussi corriger les halos de lumière autour des lampadaires. 

Ci-dessous, une photo de jour, en version normale, puis en version zoomée (sans bouger) :

D’autres photos de jour :

Des photos de nuit, sans le mode nuit, puis avec :

Une photo en intérieur, avec un zoom 2,5x :

Un selfie en extérieur :

Une 4G assez confortable et avec le support de B28

En extérieur comme en intérieur, nos tests ont montré des débits plutôt confortables en réception (téléchargements). Nous avons dépassé plusieurs fois les 100 Mbit/s et même pu aller au-delà des 200 Mbit/s.

Ci-dessous, deux tests en extérieur :

  

Un test en intérieur dans une zone résidentielle assez dense et un autre depuis la salle de rédaction d’Univers Freebox :

 

Notez enfin que l’Oppo Reno gère la 4G 700 MHz (B28).

Des performances au top pour jouer

Avec un chipset Snapdragon 710 et une mémoire vive 6 Go à bord, nous nous attendions à de bonnes performances. Concrètement, l’interface est fluide et les jeux gourmands comme Asphalt 9 et PUBG Mobile sont beaux et tournent tranquillement. Chose appréciable : pas de chauffe désagréable lors de longues sessions. Au pire, le smartphone devient tiède.

Passons aux benchmarks. AnTuTu positionne l’Oppo Reno entre les Galaxy A50 et Galaxy A70, eux aussi des modèles de milieu de gamme. Disk Speed indique des pointes 230 Mo/s en écriture et 492 Mo/s en lecture, pour la mémoire de stockage interne. Cela explique notamment la rapidité d’installation des applications.

 

Une autonomie correcte et une charge très rapide 

Une première fois, nous sommes partis de 100 % à 9h38, pour terminer avec 25 % le lendemain à 13h08. Durant la période : une mise à jour système,  des manipulations pour les captures, des benchmarks, des tests de débits, des photos, du Twitter, 30 minutes de streaming audio avec le haut-parleur, 45 minutes de streaming sur une enceinte Bluetooth, 2 heures de streaming audio avec le casque Bluetooth, 1 heure de YouTube avec les écouteurs et 1 heure 45 minutes de Netflix avec le haut-parleur. Une seconde fois, nous sommes passés de 100 à 35 % entre 14h20 et le lendemain à 12h42. Sur la période : 10 minutes de streaming audio avec le casque Bluetooth, 30 minutes de YouTube avec le casque Bluetooth, 50 minutes de jeu avec le haut-parleur à plein volume, 1 heure et 5 minutes de YouTube avec les écouteurs, 50 minutes de Netflix avec le haut-parleur à mi-volume, 1 heure de streaming audio avec les écouteurs, quelques photos et du Twitter. De quoi tenir la journée, voire une journée et demie.

Avec un chargeur 20 Watts, la charge ne traîne pas trop. Ci-dessous, deux exemples de suivi de charge :

– 12h59 : 33 %
– 13h15 : 58 %
– 13h24 : 72 %
– 13h46 : 90 %
– 13h58 : 96 %
– 14h07 : 100 %

 

– 13h08 : 25 %
– 13h32 : 63 %
– 13h50 : 82 %
– 14h08 : 94 %
– 14h20 : 100 %

Une interface ColorOS avec de bonnes idées, mais un peu désorganisée

L’Oppo Reno s’accompagne d’une ROM ColorOS 6 basée sur Android 9.0 Pie.

 

Si sa partie paramètres mériterait peut-être une meilleure organisation pour mieux s’y retrouver dans les nombreuses options, la ROM ColorOS 6 propose de bonnes idées, comme le panneau de raccourcis avec des icônes carrées qui rend les infos très lisibles. Il y a également l’adaptation nocturne, qui fait passer l’affichage en nuances de gris pour épargner les yeux et ne pas déranger le voisin de chambre.

Citons aussi la possibilité d’avoir ou non le tiroir d’applications ou la prise en charge de gestes sur l’écran éteint comme le O pour ouvrir l’appareil photo rapidement ou le V pour activer la lampe-torche. Notez d’ailleurs que cette dernière utilise le flash arrière, qui se trouve dans la partie photo rétractable.

 

Autres choses pratiques : l’espace jeu pour profiter des meilleures performances possible et la possibilité d’affichage multi-fenêtre.

 

La ROM ColorOS 6 inclut également quelques applications issues de partenariats comme Facebook ou Opera. Celles-ci peuvent être désinstallées.

 

Concernant la sécurité, nous avions les patchs de juin 2019 après notre mise à jour système. Pas les derniers, donc.

Quant aux solutions de déverrouillage, à savoir la lecture d’empreintes digitales avec le module sous l’écran ou la reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal, elles fonctionnement très bien et se révèlent très rapides. La reconnaissance faciale fonctionne même dans un environnement plutôt sombre.

 

VERDICT : un beau design, un bel écran couvrant toute la face avant, un son puissant (mais pas stéréo), une prise casque, de bonnes photos, une 4G rapide, des performances suffisantes pour faire tourner les gros jeux, une charge très rapide et une ROM avec de bonnes idées (mais une partie paramètres un peu désorganisée). L’Oppo Reno ne manque clairement pas d’arguments pour convaincre, surtout en sachant qu’on parle d’un smartphone à 450 euros. La copie aurait été parfaite avec une batterie de plus grosse capacité, une charge sans-fil et un aspect un peu moins savonnette.

Alors que BFM TV n’aura été indisponible que 2 demies journées chez Orange, la chaîne d’info du Groupe Altice n’est toujours pas revenue sur la Freebox, et elle le paye cher en termes d’audience

BFM TV est la première chaîne d’info de France en termes d’audience, mais celle-ci s’effrite depuis qu’elle a été retirée de la Freebox. Habituellement, la chaîne d’information du groupe Altice/SFR réalise une audience moyenne de 2,3% à 2,5% selon Médiametrie, Mais depuis qu’elle n’est plus disponible chez Free, elle ne parvient plus a se hisser à son niveau habituel.

En effet, depuis 2 semaines, l’audience de BFM TV oscille entre 1,9 et 2.0% d’audience, soit une baisse de 20% tout de même. Lors des journées de jeudi et vendredi derniers, alors qu’elle n’a été disponible qu’une partie de la journée chez Orange, elle est même descendue à 1,8% de part d’audience. Pire, les chiffres ont été anormalement bas dimanche dernier, rapporte Pierre Dezeraud, le "monsieur audience" d’Europe 1, même si le week-end les chaînes d’info en général réalisent moins d’audience

 

#Audiences chaînes info dimanche 08/09
BFMTV anormalement faible (1,4%)
LCI (0,8%)
CNews (0,6%)
franceinfo (0,5%)

— Pierre Dezeraud (@PierreDzrd) September 9, 2019

 

Surtout, l’audience perdue par BFM TV bénéficie maintenant aux autres chaînes d’info. Ainsi, la chaîne du Groupe Altice qui se vantait de réaliser 2 fois plus d’audience que toutes ses concurrentes réunies, voit se rapprocher tout doucement LCI qui, à elle seule, réalise presque chaque jour la moitié de la part d’audience de BFM TV.

Toutefois, Altice a annoncé la semaine dernière qu’il ne demandait plus à faire rémunérer ses chaînes gratuites par les opérateurs télécom. Il a déjà signé avec Orange un contrat de reprise pour ces dernières, et devrait proposer le même type de contrat à Free. Et il serait temps pour BFM TV car elle perd des revenus publicitaires, mais elle prend également le risque que ses téléspectateurs s’habituent aux autres chaînes d’info.

 

 

 

 

Un nouveau malware sévit sur le Google Play Store. Infectant 24 applications, ce dernier permet d’extorquer de l’argent à ses utilisateurs via de faux abonnements à des services premium.

Un chercheur du cabinet CSIS, spécialisé dans la cyber sécurité, a récemment fait une trouvaille assez inquiétante sur le magasin d’applications en ligne de Google. En effet, le chercheur en question a décelé un nouveau malware qui a réussi à passer entre les mailles du filet du Google Play Store. Baptisé « Joker », ce malware qui sévit depuis juin, a infecté pas moins de 24 applications dans 37 pays différents, dont la France.

Les applications infectées, qui comptabilisaient 472 000 téléchargements, ont été suspendues du Play Store. Voici la liste des applications vérolées par le malware :

•    Advocate Wallpaper
•    Age Face
•    Altar Message
•    Antivirus Security – Security Scan
•    Beach Camera
•    Board picture editing
•    Certain Wallpaper
•    Climate SMS
•    Collate Face Scanner
•    Cute Camera
•    Dazzle Wallpaper
•    Declare Message
•    Display Camera
•    Great VPN
•    Humour Camera
•    Ignite Clean
•    Leaf Face Scanner
•    Mini Camera
•    Print Plant scan
•    Rapid Face Scanner
•    Reward Clean
•    Ruddy SMS
•    Soby Camera
•    Spark Wallpaper

Joker permet de subtiliser les listes de contact ainsi que les SMS des terminaux vérolés, mais ce n’est pas son objectif premier. Il fait surtout en sorte d’inscrire les utilisateurs infectés à des abonnements payants, à leur insu. Le malware envoyait des codes d’autorisation d’offres par messages textes confirmant ainsi un abonnement payant à des services tiers. Ce type d’arnaque a notamment été repéré au Danemark, où les victimes du malware se sont vues souscrire à des services pour un prix avoisinant les sept euros.

Il est vivement conseillé aux utilisateurs Android ayant installé une ou plusieurs applications de la liste affichées ci-dessus, de les désinstaller au plus vite. Bien entendu, les victimes doivent vérifier leur compte bancaire, afin de s’assurer que Joker n’a effectué aucune dépense à leur insu.

Dans son rapport, le chercheur de CSIS explique que Google a très rapidement réglé le problème puisque la firme de Mountain View aurait supprimé les applications vérolées de son magasin d’applications en ligne, avant même de recevoir le compte-rendu du site spécialisé.

Les noms, configurations et prix des iPhone 11 font l’objet de fuites.

En amont de la Keynote d’Apple qui permettra de découvrir les nouveaux smartphones de la  firme à la pomme et qu’il sera possible de suivre sur YouTube, des noms, des configurations et des prix ont fuité.

Il y aurait ainsi des iPhone 11 avec un écran IPS 6,1 pouces, un double capteur photo et un stockage de 64, 128 et 256 Go à 749, 799 et 899 dollars respectivement. Il est aussi question d’iPhone 11 Pro avec un écran OLED 5,8 pouces et un triple capteur photo, dont les versions 128, 256 et 512 Go coûteraient 999, 1 099 et 1 199 dollars. Enfin, les fuites parlent d’un iPhone 11 Pro Max avec un écran OLED 6,5 pouces, dont les versions 125, 256 et 512 Go reviendraient à 1 099, 1 199 et 1 299 dollars. Toujours à propos des caractéristiques techniques, ces nouveaux iPhone embarqueront la nouvelle puce A13 développée par Apple et profiteront du nouveau système iOS 13.

Source : GSMArena

C’est dorénavant officiel, après presque un an de rumeurs, Google souhaite lancer un système d’abonnement payant sur son Playstore et il arrivera "bientôt".

Le principe est assez simple: Google souhaite permettre à ses utilisateurs sur les plateformes mobiles d’accéder en illimité à certains jeux payants et applications disponibles sur son magasin d’application. C’est sur le compte Twitter officiel de Google que l’annonce a été faite, officialisant également le nom du service : Google Play Pass. 

 

It’s almost time ⏲️ Google Play Pass is coming soon. pic.twitter.com/vTbNmRehLm

— Google Play (@GooglePlay) September 9, 2019

"Il est presque l’heure. Le Google Play Pass arrive bientôt" annonce la firme de Mountain View sur l’oiseau bleu. En somme, pour quelques euros par mois, il sera possible d’accéder à des jeux ou des applications payants de manière illimitée. Un service similaire devrait être proposé par Apple, nommé Arcade prochainement. Difficile cependant de savoir ce que "bientôt" veut dire.  Peut-être lors du lancement du Pixel 4, prévu en octobre prochain ? Seul l’avenir nous le dira. 

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Si les riverains du hameaux de Belluny, dans la commune de Tanneron ont réussi à empêcher la création d’une nouvelle antenne-relais Free Mobile dans leur commune, la lutte n’est pas finie pour ces habitants du Var. 

C’est une affaire qui remonte à plus d’un an qui poursuit encore son cours aujourd’hui. En effet, ces habitants s’étaient dressés contre l’installation d’une deuxième-antenne relais Free Mobile proche de leurs logements, craignant également une dépréciation de la valeur de leurs biens. Si cette intervention a fait capoter l’installation de cette nouvelle antenne, les habitants continuent de lutter contre la première antenne présente dans le village, vieille de 20 ans. 

Ils y dénoncent ici la pollution visuelle et le silence des élus à ce sujet. Le collectif de riverains a annoncé s’être entretenu avec Cellnex, propriétaire de l’antenne, afin de bénéficier d’une meilleure intégration dans le paysage (via une antenne-arbre par exemple). L’entreprise n’a cependant pas répondu favorablement à la requête des habitants, évoquant le coût de l’opération ainsi que les contraintes techniques. Et les courriels envoyés aux élus locaux n’ont rien donné. 

Si les élus et l’entreprise propriétaire de l’antenne sont tous deux silencieux, les riverains espèrent tout de même tirer un bénéfice de cette situation. En effet, le collectif demande la tenue d’une Commission communale des impôts directs, qui n’est pas encore prévue, laquelle pourrait permettre à ces derniers de payer moins d’impôts. Cette réduction d’impôts serait justifiées selon eux de par la pollution visuelle et sonore entraînées par l’antenne-relais incriminée.

Source : Var Matin