Un nouveau NRO a été détecté chez Free le 18 septembre. Il est situé à Montpellier (34070) dans le département de l’Hérault.
Un nouveau NRO a été détecté chez Free le 18 septembre. Il est situé à Montpellier (34070) dans le département de l’Hérault.
Avec les données de notre partenaire Sensorly, Univers Freebox vous propose un focus sur Le Blanc-Mesnil, 99ème ville de France par sa population et vous fait découvrir la carte de la couverture du réseau 4G et des débits.
Carte de couverture 4G chez Free Mobile :
Carte des débits 4G chez Free Mobile :
Selon les résultats des tests effectués par les abonnés Free Mobile, les zones rouges ont un débit inférieur à 20Mb/s, pour les zones jaunes le débit est compris entre 20 et 60Mb/s et pour les zones vertes le débit est au dessus de 60Mb/s.
Rosace, société chargée du déploiement du Très Haut Débit en Alsace, nous présente les dessous de la fabrication de la fibre optique à travers une vidéo.
Comment est fabriquée la fibre optique ? Découvrez tout le processus à travers une vidéo publiée sur la chaîne YouTube de Rosace, société chargée du déploiement du Très Haut Débit en Alsace, et tournée chez LS Cable & System, l’un de ses fournisseurs en fibre optique basé en Corée.
Tout part d’une préforme à base de silice qui sera placée en haut d’une grande tour de 20 mètres. Elle sera ensuite étirée sous la forme d’un fil de verre de 125 microns, grâce à une goutte se formant sous l’action de la chaleur (3 200 degrés) et de son propre poids. Chaque préforme permet de créer 1 500 kilomètres de fibre qui seront ensuite protégés par de la gaine, colorisés et enroulés sur des bobines de 50 kilomètres, avant d’être expédiés.
La dernière mise à jour de l’application Freebox remonte à juillet dernier et certains Freenautes commencent à s’impatienter. Un développeur a cependant indiqué qu’il faudrait encore un petit peu de patience pour la prochaine mise à jour.
Le 2 juillet dernier, Free avait déployé une mise à jour de son application Freebox sur Android, ex-Freebox Compagnon incluant entre autres le réglage des alertes par SMS et appel vocal ainsi que les réglages du firewall IPv6. Depuis, c’est le calme plat pour l’application mobile, qui n’a pas bénéficié de mises à jour sur sa version officielle, tant sur l’OS de Google que celui d‘Apple depuis.
Et il faudra encore patienter un petit peu, comme l’a indiqué l’un des développeur de l’application face à l’attente de certains freenautes. Ce n’est pas pour tout de suite bien sûr, mais c’est en route. Pour l’instant, la version Android de l’application est étiquetée 4.0.7 et 4.0.6 pour iOS depuis le 1er juillet dernier. Des fonctionnalités sont attendues bien sûr, comme la possibilité pour les abonnés Freebox Delta et Delta S de pouvoir paramétrer des horaires pour les équipements domotiques afin qu’ils s’activent automatiquement. Il reste encore à voir ce que la prochaine mise à jour proposera pour les Freenautes.
Une filière au rendez-vous mais des arbitrages politiques majeurs à venir, tel est le bilan de l’Unversité du THD, la semaine dernière à Marcq-en-Baroeul. La réouverture tant attendue du guichet THD par les industriels du secteur, n’a pas eu lieu. Pourtant 3 millions de prises non intégrées au plan THD, restent à deployer d’ici 2022. Le temps presse.
A l’heure où la France remonte dans les classements internationaux de déploiements FTTH, place à la satisfaction générale quant à la capacité des acteurs à faire avancer le plan France THD. « Nous dépasserons les 4 millions de prises FTTH construites en 2019, un record » s’est réjouit Etienne Dugas, Président d’InfraNum avant d’ajouter que “cela signifie que nous sommes également certains d’atteindre l’objectif de 80% de Français éligibles à la fibre optique en 2022 », à condition de garder la même cadence.
Mais quand ce dernier rappelle que « la vigilance reste de mise pour atteindre les objectifs fixés par le Gouvernement (bon débit pour tous en 2020 – très haut débit pour tous en 2022 – gigabit society en 2025) », les organisateurs de l’Université d’été du THD n’ont pas hésité à aborder les sujets qui fâchent… À commencer par la réouverture du guichet de financement du THD. A ce propos, l’Observatoire national du THD 2019 a estimé à 3 millions le nombre de prises restant à déployer d’ici 2022 n’ont pas encore été intégrées dans le plan France THD.
« Cela concerne 25 départements » a reconnu Julien Denormandie, le Ministre auprès de la Ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, s’est dit néanmoins confiant “dans l’agilité des acteurs et partenaires du marché à faire évoluer la situation” de part eux-mêmes. Autrement dit le guichet de financement du THD restera fermé, après une clôture fin 2017. De quoi faire grincer des dents l’Avicca et Infranum qui en appellent directement au Président de la République : « la réouverture du guichet du THD n’est pas une question d’argent mais de politique. Les dernières procédures attribuées, l’ont été sans subvention de l’Etat » rappelle Etienne Dugas. « Si nous n’apportons pas le très haut débit aux 3 derniers millions de français, la totalité du travail effectué sera oubliée » a pour sa part prévenu Patrick Chaize, Sénateur et Président de l’Avicca. En mai dernier, les professionnels du secteur ont invité l’Etat à injecter une somme nettement inférieure aux prévisions réalisées en 2017 : « Ces prises, les plus difficiles à raccorder, pourrait coûter 5,715 milliards d’euros et nécessiter 2,6 milliards € de fonds publics dont 800 millions de fonds d’Etat”, avait déclaré Etienne Dugas. Une somme aujourd’hui inférieure à 600 millions d’euros a t-il corrigé la semaine dernière.
Dans son compte rendu, L’Université du THD souligne qu’atteindre une moyenne de 80% du territoire en THD en 2022 masquera des disparités majeures, avec certains départements couverts à 100%, comme l’Oise (en 2023) mais d’autres à, à peine plus de 50%. « On ne parlera même plus de fracture mais d’injustice numérique » conclut Etienne Dugas.
Interrogations sur l’après 2025
Présent la semaine dernière, Sébastien Soriano, président de l’Arcep a interpellé l’Etat en regrettant «de pas avoir de vision claire sur les infrastructures fixes en 2025. Il est temps de s’en soucier ». Une discussion s’impose même si les professionels du secteyr sont pour le moment focalisés sur l’achèvement des déploiements engagés (Plan France THD et new deal mobile).
A la manière des autres géants de la tech, Google veut lui aussi permettre à ses utilisateurs d’être moins souvent écoutés par des humains lorsqu’ils possèdent un appareil doté de Google Assistant.
Après Siri et Alexa, c’est désormais Google Assistant qui devrait voir sa capacité à écouter ses utilisateurs réduite. Cela se fera notamment en demandant aux utilisateurs de ré-affirmer leur approbation pour être écoutés par des humains pour améliorer la qualité de service de l’assistant vocal, mais aussi par l’inclusion d’une sensibilité nouvelle de l’assistant concernant sa phrase clé : “Ok Google” en option. Avec cette dernière, il sera plus difficile d’être écouté par mégarde par l’assistant de la firme de Mountain View lorsque votre smartphone est dans votre poche. En résumé, il faudra personnaliser le degré de clarté nécessaire de la formule pour activer l’assistant vocal.
Le géant américain a également fait une promesse concernant une “couche supplémentaire de sécurité” de la vie privée pour le processus de transcription audio. L’intention est bonne, surtout vu que Google a également l’intention d’accroître son assiduité à supprimer automatiquement les enregistrements accidentels. Cependant, comme souvent, aucune date de lancement pour ces fonctionnalités n’a été annoncé pour l’instant, si ce n’est “plus tard dans l’année”, formule assez vague de la part de la firme de Mountain View.
Source : The Verge
Nos confrères de Challenge ont tenté de dresser un portrait du directeur général d’Iliad qui renvoie souvent une image lisse de banquier et cultive la discrétion. Il y a un bon vivant derrière.
Le magazine Challenge a voulu savoir qui est Thomas Reynaud, directeur général d’Iliad, maison-mère de Free et Free Mobile, depuis mai 2018. Une place à laquelle il est parvenu après avoir obtenu les postes de directeur du développement d’Iliad en 2007, de directeur financier en 2008 et de directeur général délégué en 2010. Cette évolution est en tout cas cohérente avec le parcours de l’homme diplômé d’HEC en 1996 et aux débuts professionnels dans le secteur de la banque.
L’article souligne l’image lisse renvoyée par Thomas Reynaud, qui avait un parcours professionnel tout tracé (fils d’un ingénieur et d’une employée à la sécurité sociale qui l’ont poussé dans les études), prend soin de son apparence (sport, costume de bonne coupe et rasage de près), prépare systématiquement ses interventions en public et garde un contrôle sur sa communication (sourire, phrases réfléchies et recadrage de l’échange). Une image qui contraste avec celle de son plus proche collaborateur, le charismatique Xavier Niel qu’il a rencontré en 2002 et qu’il décrit d’ailleurs comme “rock’n roll”. Le directeur général d’Iliad reste en effet discret, se montrant peu dans sa vie professionnelle et restant secret sur sa vie privée. Didier Casas, ancien président de la FTT, indique en effet : « Je ne le connais pas, je ne l’ai croisé qu’une fois ». Pas mieux avec son successeur, Arthur Dreyfuss : « J’ai eu peu de relations avec lui, il donne l’impression d’être un peu lisse et formaté ». Au sujet de sa vie personnelle, Thomas Reynaud ne se livre pas facilement et peut répondre : « c’est personnel » ou « tout ça relève de l’intime ». Selon lui, « il y a le privé d’un côté, le public de l’autre ». Un tempérament qui contraste avec son poste imposant des conférences et des interviews, d’être exposé donc.
Mais ça, c’est l’image que l’on connaît de Thomas Reynaud, celle que l’on a de l’homme de 45 ans au travail. Or, l’homme est décrit par le chef Akrame Benallal comme un bon vivant qui « aime bien bouffer ». Et d’ajouter : « Il est gourmand, il aime les bons repas, le vin ». Thomas Reynaud a également un goût pour l’aventure. À défaut d’avoir pu créer sa propre entreprise, il estime avoir vécu sa fibre entrepreneuriale au sein de Free, une société qui n’est plus une start-up, mais qui a conservé son ADN.
Voilà enfin quelques descriptions de l’homme par son entourage le décrit. Virginie Calmels, administratrice d’Iliad, évoque plusieurs qualités « sérieux, fiabilité et professionnalisme ». Akrame Benallal, restaurateur étoilé, parle de Thomas Reynaud en disant qu’ « Il porte la bienveillance en lui ». Rajeev Suri, PDG de l’équipementier télécoms Nokia, résume ainsi : « C’est un leader dynamique et stratégique autant qu’aimable et humble ».
LCP, chaîne parlementaire publique créée en 1999 par l'Assemblée nationale et le Sénat dont le canal de diffusion est partagé avec Public Sénat, pourrait quitter la TNT à l'avenir. Aujourd'hui 21% de son budget total sert à payer sa diffusion hertzienne, une somme jugée « astronomique » par son PDG. De quoi basculer vers le tout numérique.
« Je pense que la question du maintien sur la TNT doit être posée. Devons-nous continuer à dépenser 3,5 millions d'euros par an, soit 21% de notre budget total, pour payer notre diffusion TNT ? Ne vaut-il pas mieux mettre cet argent dans les programmes ? » s'est interrogé hier Bertrand Delais, PDG de LCP dans une interview accordée au Figaro.
A l'heure où près de 75% de ses téléspectateurs la consomment sur les box des opérateurs et seulement 25% via la TNT, le patron de la chaîne parlementaire disponible sur le canal 13 de la TNT songe à basculer LCP vers un flux Adsl/fibre, sa diffusion sur les ondes TNT est donc aujourd'hui largement remise en cause. Un arrêt qui pourrait également être causé par TDF et sa volonté d'augmenter de « 20% les coûts de diffusion dans le cadre du renouvellement du contrat de maintenance des émetteurs », fait savoir Bertrand Delais, autrement dit « une somme astronomique » pour une chaîne dont le budget s'élève à 16,6 millions d'euros.
Ce départ se fera à deux conditions, poursuit le PDG. La première, Public Sénat avec qui LCP partage le même canal de diffusion, doit donner son accord. La seconde, la chaîne doit « sanctuariser son budget pour réinvestir l'argent économisé dans les programmes » A première vue de nombreux députés ne sont pas contre cette idée. Bertrand Delais estime par ailleurs qu'en réinvestissant dans les contenus exclusifs les 3,5 millions d'euros déboursés par sa diffusion TNT, LCP « compensera rapidement la perte d'audience de la TNT ».
Interrogé enfin sur sa mission de service public, le patron de la chaîne répond que le satellite « peut être une solution pour toucher toute la population », la 5G également lorsque son déploiement aura bien avancé. « En attendant, il est pertinent de se poser la question de savoir si la place de LCP est d'être dans un multiplex TNT avec des chaînes privées, plutôt que dans un multiplex du service public ». Sa conviction est fondée, la chaîne parlementaire sera à terme comparable à une chaîne thématique avec une délinéarisation de ses programmes.
Après un premier retrait du marché dû à des problèmes de design rendant le smartphone pliable fragile, le Galaxy Fold passe cette fois-ci entre les mains d’un vidéaste spécialisé dans les tests de durabilité… extrêmes.
JerryRighEverything, spécialisé dans les tests extrêmes de smartphone (voir des moments de torture pour les appareils) a récupéré la dernière innovation de Samsung et ta publié une vidéo montrant les sévices qu’il lui a fait subir.
On pouvait s’y attendre, c’est l’écran (avancée principale du modèle) qui sera le plus malmené. En effet, avec une protection se basant simplement sur une couche en plastique, Jerry a même pu l’endommager avec son ongle. Cependant, il semble très difficile à tordre dans le mauvais sens. Jerry a beau tout faire pour la rompre, la charnière du Galaxy Fold ne cède pas et reste même fonctionnel. Un écran fragile, mais une charnière résistante donc.
Cependant, le youtuber n’a pas oublié le point qui a fait scandale pour la première version du flagship : les failles entre l’écran et le cadre du smartphone. Avec de la poussière et des petits cailloux, on entend la charnière se remplir et craquer dès lors que l’on plie et déplie le Galaxy Gold. Il semble donc que l’étancheité, bien que revue par le géant Sud-Coréen, ne soit pas infaillible.
Bien sûr, personne ne fera volontairement subir à son téléphone ce que Jerry lui fait subir, mais ce test extrême révèle tout de même que l’écran peut être sujet aux chocs et aux rayures et surtout, qu’il n’est pas entièrement étanche. Attention donc pour les sorties à la plage avec.
Via Frandroid
Le site spécialisé iFixit a démonté le nouvel iPhone 11 Pro Max afin de l’examiner et de lui attribuer une note de réparabilité.
Comme à son habitude le site spécialisé dans le démontage de smartphones et d’appareils high-tech s’est attaqué au nouvel iPhone 11 Pro Max. Le désossage a été effectué avec pour objectif la recherche d’un module qui permettrait une fonction de recharge inversée.
D’après les experts qui ont procédé à quelques tests, grâce à la batterie conséquente de l’iPhone 11 Pro Max ainsi que sa nouvelle puce A13 Bionic, le terminal bénéficie d’une autonomie record.
Au cours de l’expérience, les spécialistes ont remarqué que la nouvelle batterie dont est doté l’iPhone 11 Pro Max dispose de deux connecteurs. En réalité, ce deuxième connecteur est dû à l’apparition d’un nouveau système de contrôle et de gestion des performances de la batterie.
D’autres parts, iFixit précise que la marque à la Pomme a fait des efforts pour faciliter le retrait de la batterie. En effet, le ruban adhésif utilisé pour l’iPhone 11 Pro Max est désormais plus résistant que celui utilisé auparavant sur les autres modèles de la marque. Les tailles des bandes utilisées sont plus larges et donc plus solides. Il est ainsi plus simple et surtout moins risqué de procéder à un remplacement de batterie.
Une autre différence notable se situe au niveau de la carte-mère cette fois-ci. Celles des iPhone 11 Pro et 11 Pro Max bénéficient d’un nouveau design par rapport à la carte-mère de l’iPhone XS Max. On retrouve également à l’intérieur une puce Intel, ainsi qu’une puce de stockage estampillée Toshiba. Afin de faciliter l’évacuation de la chaleur à l’intérieur de l’appareil, des couches de graphite ont été utilisées à l’intérieur du smartphone.
Ces nouveaux iPhone 11 Pro et 11 Pro Max ont donc récolté une note de réparabilité de 6/10 selon iFxit, une note identique à celle qui avait été attribuée à l’iPhone XS. Cependant, le laboratoire souligne une amélioration concernant la facilité d’accès à la batterie ainsi qu’à l’écran ce qui rend plus facile leur remplacement.
Source : iFixit