C’etait annoncé pour septembre, c’est désormais fait !

En juillet dernier Free signait son arrivée sur le réseau régional Auvergne d’Auvergne numérique un RIP pionnier exploité par Orange. L’opérateur de Xavier Niel indiquait alors une ouverture en deux phases, dont la deuxième devait intervenir avant la fin de l’été. Et le delais a été tenu puisque Free propose désormais ses offres fibre sur lez zones annoncées, ainsi qu’a pu le constater notre confrère Busyspider, en testant des adresses sur la deuxième phase de ce réseau fibre.

En Auvergne, les offres Fibre Free sont par ailleurs déjà accessibles sur plus de 130 000 logements en Zone Très Dense et en zone AMII (Clermont-Ferrand, Riom, Le Puy-en-Velay, Aurillac, Saint-Flour, Moulins, Vichy, Montluçon). Désormais, la Fibre de Free est disponible sur plus de 270 000 logements sur les départements du Puy-de-Dôme, Haute-Loire, Cantal et Allier.

Si on connaît plutôt les Mi Band, bracelets connectés très orientés fitness qui ont fait de Xiaomi un acteur important dans le domaine des objets connectés, le fabricant n’a pas encore présenté de véritables montres connectées.

Des éléments présents dans le code du système d’exploitation de Google dédié à ce type d’appareils, Wear OS, laissent présager de l’arrivée d’une “Mi Watch”. Une première pour le fabricant, qui pour l’instant proposait de porter à son poignet un bracelet Mi Band plutôt qu’une réelle montre connectée comme l’Apple Watch ou la Galaxy Watch de Samsung.

Le choix de l’OS est singulier, puisque la plupart des fabricants préfèrent utiliser leur propre système d’exploitation pour ce type d’appareil et que Wear OS semble avoir du mal à convaincre les géants de la tech. L’arrivée d’un monstre comme Xiaomi qui n’a plus à faire ses preuves dans le domaine pourrait donner un second souffle à Wear OS, notamment si le produit propose quelque chose de nouveau, ou un prix cassé, comme Xiaomi sait le faire.

Source: 9to5Google via Presse-citron

Les foyers desservis par le RIP Gers Numérique, devraient être “bientôt” éligibles aux offres fibre de Free, nous fait savoir le premier réseau FTTH d’Occitanie.

L’objectif 2024 de Free est clair, environ 30 millions de prises raccordables  avec une présence sur l’intégralité du territoire et notamment tous les RIP où la part de marché est aujourd’hui faible. Dans cette optique ambitieuse, l’opérateur de Xavier Niel multiplie en 2019 les lancements commerciaux en fibre optique dans de nombreux réseaux d’initiative publique comme plus récemment dans la Sarthe, la Manche ou encore le Vaucluse, de quoi lui permettre aujourd’hui de proposer ses offres FTTH dans tous les départements héxagonaux soit en propre (zones très denses), mais aussi en co-financement sur les zones AMII d’Orange et SFR ou en se raccordant aux réseaux fibre des opérateurs d’infrastructure en zones rurales.

Seulement, Free n’est pas encore présent sur tous les réseaux d’initiative publique, notamment sur celui de Gers Numérique, premier réseau public en fibre optique d’occitanie où pour l’heure, 25 301 locaux (foyers ou entreprises) sont dores et déjà éligibles. Rien qu’au troisième trimestre 4 595 foyers sont venus s’ajouter à liste. L’objectif de 30 000 lignes éligibles d’ici la fin d’année parait donc, plus que jamais atteignable. Au total, 32 communes sont en cours de déploiement sur ce réseau qui concerne 100% des habitations. 

Si Free tient à maîtriser sa communication et se refuse à révéler une date, Gers Numérique nous a confié avoir ” la certitude que des offres Free seront bientôt proposées sur notre réseau”. Reste à savoir si un accord a déjà été trouvé. Si c’est le cas, Free doit d’abord raccorder ses infrastructures à celles du RIP avant de pouvoir canarder ses offres. Pour le moment, les foyers concernés sont éligibles à la fibre d’Orange.

L’initiative WiFi4UE continue après son lancement en 2018, la troisième phase s’est terminée en septembre et la Commisssion européenne a fait savoir qu’une prochaine étape sera organisée durant l’année prochaine. 

Cette initiative a été lancée en 2018 pour réduire la fracture numérique dans l’ensemble de l’Union Européenne en aidant les municipalités à s’équiper d’un accès sans fil en haut débit et gratuit dans l’espace public. Ainsi, Bruxelles aide les communes remplissant certains critères d’éligibilité en leur fournissant des bons d’une valeur de 15 000€.

Depuis le lancement de cette initiative, trois appels à candidatures ont été faits avec une première salve d’aides en novembre 2018 et une seconde en mars 2019. La dernière phase de ce plan s’est déroulée sur deux jours en septembre, récoltant 11 000 demandes venues de tout le continent. Un premier bilan a été dressé par la Commission européenne et l’institution annonce que plus de 2000 candidatures ont été déposées lors des deux premières secondes de l’appel à candidatures. 1780 dossiers ont été retenus, pour un financement de 26.7 millions d’euros de la part de Bruxelles.

L’opération WiFi4EU a déjà financé pour 93 millions d’euros lors de ces trois phases. De plus, la Commission Européenne a déjà annoncé que deux autres appels à candidature se tiendront en 2020.

Source: Numerama

A l’heure où la filiale italienne d’Iliad poursuit sa progression commerciale de l’autre côté des Alpes, son directeur général Benedetto Levi, se montre optimiste quant à la suite des événements. La croissance va continuer et l’opérateur n’augmentera pas ses tarifs.

Il n’a pas changé son fusil d’épaule. Dans les colonnes du quotidien La Stampa, Benedetto Levi réitère et confirme ce qui avait été promis lors de la phase de lancement: les tarifs ne connaîtront pas d’augmentation, ils sont et resteront “pour toujours” et “nous tiendrons cette promesse”. Pas de remodulation en vue donc, contrairement à ce qui se passe avec ses rivaux TIM, Vodafone, Wind et Tre.

Aujourd’hui Iliad Italia compte plus de 4 millions d’abonnés en 15 mois d’existence, un véritable carton puisqu’en Europe, seul Free Mobile a fait mieux en 2012. Et la filiale d’Iliad veut continuer sur sa lancée. “Nous prévoyons une croissance importante même au cours des prochains mois. Nous ne nous arrêtons pas ici cependant “, a confié son patron.

Parmi les sujets abordés,  le nouveau défi du fixe, où iliad fera ses débuts d’ici 2024 avec des offres claires et transparentes , les mêmes “qui nous ont permis d’entrer sur le marché du mobile”, déclare Levi.

S’agissant du nerf de la guerre à savoir le mobile, un éventuel lancement d’offres dans le secteur de la téléphonie pour les entreprises, est exclu. L’objectif reste le grand public où il y a encore beaucoup à faire et à gagner. Enfin, question réseau,  l’objectif est d’atteindre 3 500 sites installés d’ici la fin de l’année et entre 10 000/12 000 d’ici 2024. Sur ce point, Iliad Italia appelle le gouvernement à le laisser à continuer à développer “son réseau d’infrastructures rapidement et en douceur”. En d’autres termes, Levi demande une simplification de la procédure prévue en matière d’implantations. Comme en France, les protestations face à la sortie de terre d’antennes relais de l’opérateur, se multiplient ces derniers temps.

Source : Universo Free

Dans les starting-blocks pour canarder la version 2 de son application sur l’App Store, le developpeur de FMobile annonce aujourd’hui un veritable succès pour sa première mouture : déjà 10 000 utilisateurs au compteur !

Actuellement disponible en bêta test sur Testflight, la version 2 de FMobile, l’application débarrassant notamment les abonnés Free Mobile de l’itinérance Orange, va voir le jour “très prochainement” sur l’App Store (iOS 13 uniquement), a indiqué hier l’un de ses développeurs. On peut donc espérer une version publique début octobre comme annoncé il y a quelques semaines.

Lancée le 4 mai dernier, l’application uniquement disponible sur iPhone est en pleine mutation et a dores et déjà réussi à séduire en 5 mois d’existence pas moins de 10 000 abonnés (hors Testflight), annonce son compte Twitter aujourd’hui.

A cette occasion, FMobile monte en grade et se dote d’un site internet flambant neuf. Sur cette page, on apprend que le nouveau FMobile, avec son nouveau moteur G3, conçu pour iOS 13 “va dépasser les limites de l’itinérance nationale sur votre téléphone mobile et vous permettra de bénéficier d’une connexion cellulaire beaucoup plus rapide lorsque votre opérateur a conclu des accords d’itinérance nationale. Cette version vous permettra également de gérer votre itinérance internationale, vos cartes de couverture et vos tests de vitesse dans une seule application. Plus de 200 territoires sont pris en charge. Et le meilleur de tous, l’application est totalement gratuite”. En effet, FMobile était pensée initialement pour libérer les abonnés Free Mobile de l’itinérance Orange, avant de fonctionner avec les opérateurs du monde entier. Sa nouvelle mouture met donc le turbo sur le nombre de pays intégrés. Evolutive, cette version, dispose d’une toute nouvelle façon de gérer les opérateurs. “Certains inclus dans FMobile 1.X étaient prêts pour la configuration automatique. Ce n’était pas terrible, car une mise à jour de l’application était nécessaire pour mettre à jour les paramètres de l’opérateur. Sur FMobile 2, toutes les configurations et mises à jour d’opérateurs se font par Internet, ce qui permet une plate-forme évolutive et vous n’avez rien à craindre, le processus entier est automatique”, indiquent ses développeurs.

Dites non aux frais d’itinérance

FMobile 2 sera également désormais capable de désactiver automatiquement et presque instantanément vos données cellulaires si vous les utilisez à bord dans un pays non inclus dans votre forfait de données cellulaires. Aucune fonctionnalité de FMobile n’est garantie, vous êtes donc toujours responsable de l’utilisation de vos données à bord, mais il est toujours apprécié de savoir qu’un outil d’aide est disponible et susceptible de se déclencher. Cela devrait permettre de réduire considérablement vos coûts d’itinérance indésirables.

Les tentatives de phishing dans le secteur bancaire se multiplient ces derniers temps. Voici quelques réflexes à adopter pour éviter de se faire avoir, surtout si l’arnaque est plutôt bien ficelée.

Les campagnes de phishing peuvent cibler les abonnés Free, comme nous le rapportions par exemple dans cet article ou celui-ci. Mais elles ont également dans le viseur les clients des banques, comme l’indique l’ACPR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution), une institution chargée de la surveillance de l’activité des banques et des assurances en France. Non seulement ces campagnes se multiplieraient, mais elles seraient en plus de mieux en mieux ficelées, avec des sites frauduleux à même de tromper l’internaute, avec à la clé l’usurpation des données de connexion, des données bancaires et des données personnelles de ce dernier, ainsi que la prise de contrôle du compte bancaire. 60 sites auraient été épinglés dernièrement et signalés au Parquet de Paris en vue d’une enquête judiciaire.

L’occasion pour l’association de consommateurs UFC Que-Choisir de distiller quelques conseils pour éviter de se faire avoir. Elle invite notamment à regarder l’adresse de la page Web pour vérifier sa cohérence (adresse à rallonge, adresse sans le nom de la banque, lettre manquante, lettre changée ou lettre inversée avec une autre), mais aussi à scruter l’orthographe de la page à la recherche de coquilles. L’omniprésence de gros boutons incitant à la connexion peut aussi être un indice, sachant que c’est le moyen de récupérer les données de connexion de l’internaute. L’association invite par ailleurs à utiliser les autres canaux disponibles pour contacter la banque (agence, téléphone, réseaux sociaux), en cas de doute à propos d’un e-mail ou d’un site Web. Enfin, et même si cela tombe sous le sens, si vous n’êtes pas du tout client de la banque indiquée, les chances d’être face à un e-mail frauduleux augmentent…

En cas de phishing avéré, UFC Que-Choisir invite à signaler le plus rapidement possible le site frauduleux sur les sites de Signal Spam, de la DGCCRF ou de l’ACPR. Il existe aussi la plate-forme téléphonique Info Escroquerie (0 805 805 817) et la plate-forme en ligne Cybermalveillance. Au cas où vous vous seriez connecté sur le site douteux, pensez à contacter rapidement votre banque, afin de bloquer le compte et toute transaction frauduleuse. 

Source : UFC Que-Choisir

Après Bouygues, Orange signe un accord avec TDF lui permettant de commercialiser ses offres fibre sur les réseaux d’Initiative Publique opérés par l’opérateur d’infrastructure. Free pourrait signer d’ici la fin de l’année.

“Les ouvertures commerciales se feront dès lors qu’Orange aura raccordé ses infrastructures à celles de TDF et des filiales délégataires de TDF. Les foyers raccordables sur les réseaux d’initiative publique opérés par TDF pourront progressivement bénéficier des usages de la fibre optique en souscrivant s’ils le souhaitent à un abonnement fibre”, annonce ce matin Orange.  L’accord va ainsi permettre à l’opérateur historique de proposer ses offres dans 5 premiers départements, d’abord en octobre dans le Val d’Oise et dans les Yvelines, puis dans l’Indre-et-Loire, Loir-et-Cher et Maine-et-Loire. Plus de 1 000 communes en zones peu denses sont ainsi concernées. La fibre d’ Orange sera progressivement commercialisée sur l’ensemble des territoires où TDF déploie, situés pour l’essentiel en zones peu denses.

En discussion depuis 2017 avec TDF, Free pourrait lui aussi trouver un accord cadre, “c’est imaginable d’ici la fin de l’année”, nous a indiqué en juin dernier, Etienne Dugas, président d’Infranum, fédération regroupant les principaux acteurs du très haut débit en France. Si l’opérateur de Xavier Niel venait à conclure avec TDF, cela porterait le nombre d’accords qu’il a signés avec des opérateurs d’infrastructure à quatre avec Axione, Altitude, et Covage. Free pourrait également s’entendre avec SFR Collectivités d’ici 2020.

Un nouveau jeu de type Quizz est arrivé sur la Freebox Révolution et la Freebox Delta. Il se nomme Disney Challenge

Ce jeu propose de tester vos connaissance sur la culture Disney, et organiser des tournois entre famille ou amis. Pendant la partie, vous avez 20 secondes pour lire et répondre à la question posée. Si vous avez la bonne réponse vous marquez 3 points, sinon vous en perdez 1. Vous pouvez ainsi tenter de vous placer en tête du classement général en ligne.

Dinsey Challenge est disponible dans le FreeStore de la Freebox Révolution et de la Freebox Delta. Il est proposé au tarif de 3,99€, ce qui est très cher pour ce type de jeu.