Le saviez-vous ? vous pouvez créer un compte utilisateur sur la Freebox Révolution pour chaque membre de la famille
La Freebox Révolution intègre un système de création de profil utilisateur fait son apparition. Ces profils sont dans l’idée assez similaire à ce qui existe sur ordinateur et permettent de gérer indépendamment sur chaque profil les différents comptes : Twitter, YouTube, Dailymotion, Twitch et autres services de stockage dans le Cloud. Chaque profil permet également de choisir son propre fond d’écran et de sélectionner son propre bouquet TV
Pour créer un profil, rien de plus simple. Une fois sur le menu principale du Freebox Player appuyer sur la touche menu et ensuite dans "Gérer les profils" cliquer sur "Nouveau" et suivre les instructions. Les différents profils peuvent être protégés par un code, code qui est non obligatoire mais cependant conseillé si vous voulez protéger vos données. Chacun des profils possède un pseudo différent et peut être personnalisé avec le choix d’une image de profil parmi une liste prédéfini.
Une fois connecté, à chaque retour au menu principal une icône apparaîtra indiquant quel profil est connecté. Vous pouvez désormais vous connecter aux différentes applications depuis votre compte sans craindre que d’autres puissent y accéder.
Lorsque l’on éteint le player le profil est automatiquement déconnecté, il faudra donc se reconnecter à chaque redémarrage de la box.
Free Mobile : une flopée de nouvelles promos dans la boutique en ligne
Deux vidéos pour comprendre la technologie de communication sans-fi Li-Fi
À travers deux courtes vidéos, Orange explique les grands principes de la technologie de communication sans-fil Li-Fi, pour Light Fidelity, ainsi que ses atouts et limites.
Qu’est-ce que la technologie Li-Fi ? À quoi peut-elle servir concrètement ? Quel intérêt présente-elle par rapport au Wi-Fi largement utilisé par le grand public et les professionnels ? Quels sont ses atouts et ses limites ? Voici des éléments de réponse dans deux vidéos que l’on doit à l’opérateur Orange.
Freebox : une nouvelle mise à jour de P2f arrive avec plein de nouveautés
« P2f» est un client "Plex" spécialement conçue pour la Freebox. Son développeur annonce l’arrivée prochaine d’une mise à jour avec de nombreuses nouveautés
Plex est un célèbre service multimédia disponible sur Freebox Mini 4K et depuis quelques mois sur Freebox Révolution, Delta et One. Développé spécialement grâce au SDK QML, ce service se nomme donc« P2f » sur Freebox. Il permet d’accéder à des fichiers multimédias contenus sur son ordinateur et ce depuis n’importe où, y compris depuis une Freebox Révolution. Le service est téléchargeable gratuitement dans le Free Store de la Freebox Révolution, de la Freebox Delta et Freebox One. Vous pouvez retrouver notre tutoriel de P2f sur cette page
La version 8 de p2F qui sortira très prochainement, apportera les améliorations et nouveautés suivantes :
Gestion des comptes:
Prise en charge des connexions sécurisées
Prise en compte des profils plex
Possibilité de trier les comptes
Possibilité de personnaliser les comptes (nom et icone)
Possibilité de proteger un compte par code pin
Possibilité de cacher un compte
Amélioration des templates:
Ajout d’images de fonds supplémentaires
1. backgroundMain.jpg pour la page principale (ou backgroundMain.XX.jpg)
2. backgroundMovie.jpg pour les bibliothèques films (ou backgroundMovie.XX.jpg)
3. backgroundTvShow.jpg pour les bibliothèques séries (ou backgroundTvShow.XX.jpg)
4. backgroundVideo.jpg pour les bibliothèques vidéos personnelles (ou backgroundVideo.XX.jpg)
5. <i>Touche 0 pour changer de background quand vous êtes sur une catégorie</i>
Pour les jaquettes des vidéos:
1. Possibilité de définir la taille de la bordure
2. Possibilité de définir le facteur d’agrandissement lors du survol
3. Pour les icones des bibliothèques des vidéos:
4. Ajout des icones pour les vidéos personnelles
5. Possibilité de définir une icone différente lors des survols
6. Possibilité de définir le facteur d’agrandissement lors du survol
Autres modifications:
Modification de la transition de fermeture lorsque l’on quitte un film
Réécriture d’une partie du menu
Réécriture de la page principale
Pour les Freebox Deltas et One : Lors de la lecture d’un film, on peut mettre pause/play avec la touche OK
Samsung Galaxy Note10+ : la version 5G se montre dans un visuel
Samsung compte présenter ses smartphones Galaxy Note10 et Galaxy Note10+ début août. En attendant, les fuites de caractéristiques et de photos vont bon train. En voici une nouvelle concernant cette fois-ci un modèle 5G.
C’est le serial leaker Evan Blass qui y va en effet d’une publication sur le compte Twitter @evleaks. Le tweet présente un visuel, où l’on voit le Galaxy Note10+ dans sa version 5G accompagné du stylet S Pen caractéristique de cette famille de smartphones. On aperçoit également les multiples capteurs photo à l’arrière et le poinçon dans l’écran pour accueillir le capteur photo frontal et pousser les bordures. Cela appuie au passage l’idée qu’il y aurait bel et bien une version 5G aux côtés d’une version 4G.
D’après les fuites les plus récentes, le smartphone Galaxy Note10 embarquerait un chipset Snapdragon 855+ ou chipset Exynos 9825 (selon les marchés). Il offrirait aussi un écran AMOLED 6,3 pouces (dalle Infinity-O avec un trou dans l’écran), un triple capteur photo 12 + 16 + 12 Mégapixels (principal + ultra grand-angle + zoom), une batterie 3 600 mAh, une charge 45 Watts et une charge inversée 15 Watts. De son côté, le modèle Galaxy Note10+ permettrait notamment de passer à une diagonale 6,8 pouces et une batterie 4 300 mAh. Leur présentation officielle est prévue le 7 août prochain lors d’un événement dédié.
IPV4 : la pénurie s’accélère, moins de 3 millions d’adresses disponibles
A l’heure où le déploiement de l’IPV6 progresse chez les opérateurs, en particulier chez Free, l’IPV4 s’épuise à vitesse grand V.
"Moins de 3 millions : la pénurie d’adresses IPV4 s’est accélérée, le volume du stock d’adresses disponibles est descendu sous ce seuil cette semaine", a révélé hier l’Arcep constatant un record d’attribution s’élevant 190 000 adresses dans la semaine du 17 juillet contre 70 000 l’année précédente. Le rythme semble s’accélérer en vue de l’épuisement qui approche. Plus précisément, au 23 juillet 2019, il restait 2,856 millions d’IPv4 publiques disponibles au RIPE NCC, soit le registre régional d’adresses IP, qui alloue les IP pour l’Europe et le Moyen-Orient.
🌐 Moins de 3 millions : la pénurie d’adresses #IPv4 s’est accélérée, le volume du stock d’adresses disponibles est descendu sous ce seuil cette semaine !
Pour en savoir plus et contribuer à notre task force #IPv6 ➡ https://t.co/7ePvPKazJL pic.twitter.com/5EBwPCLlPZ— Arcep (@Arcep) July 25, 2019
Comme le rapporte le régulateur, deux scénarios sont actuellement possibles, le RIPE NCC doit cependant faire un choix prochainement. Le premier consiste à attribuer 1024 adresses IPv4 par LIR (Local Internet Registry, soit généralement un opérateur de télécommunications) jusqu’à épuisement. Le second prendrait la forme d’une "attribution de 1024 adresses IPv4 par LIR jusqu’au dernier million d’adresses IPv4 disponible, puis 256 IPv4 par LIR jusqu’à épuisement".
En attendant ce vote, il semblerait que le deuxième scénario soit en ballotage favorable. Ainsi la date la plus probable pour l’épuisement des IPv4 serait le 6 mai 2020. Si le scénario 1 venait à être choisi, le 25 décembre 2019 sonnerait la fin des disponibilités.
La pénurie d’adresses IPv4 s’accélère
L’IPv4, pour Internet Protocol version 4, est utilisé depuis 1983 pour permettre à internet de fonctionner : chaque terminal sur le réseau internet (ordinateur, téléphone, serveur etc.) est adressable par une adresse IPv4. Celui-ci offre un espace d’adressage de près de 4,3 milliards d’adresses IPv4. Or, le succès d’internet, la diversité des usages et la multiplication des objets connectés ont comme conséquence directe l’épuisement progressif des adresses IPv4, certaines régions du monde étant touchées plus que d’autres. "Les quatre principaux opérateurs français (Bouygues Telecom, Free, Orange, SFR) ont déjà affecté entre 88% et 99% des adresses IPv4 qu’ils possèdent, à fin juin 2018", précise l’Arcep.
Orange devient le premier opérateur Très haut débit de France et détrône SFR
Premier opérateur Fibre incontesté dans l’hexagone, Orange dépasse désormais le mix FttH/FttB de SFR et s’octroie un second titre sur le très haut débit.
Si SFR a l’habitude d’attiser la confusion en se targuant tous les mois d’être "première infrastructure fibre" de France, en omettant parfois d’indiquer que ses chiffres intègrent le FttH et le FttB, c’est à dire les lignes à terminaison coaxiale (le câble), l’opérateur au carré rouge n’est plus aujourd’hui en position de revendiquer cette place. En effet, lors de la présentation de ses résultats commerciaux et financiers pour le 1er semestre 2019, Orange s’est félicité de compter au 30 juin, 13,5 millions de foyers raccordables à la fibre optique de bout en bout, soit 1 million de plus en un trimestre. Dans le même temps, SFR a publié son bilan mensuel de ses déploiements sur le fixe et le mobile dans lequel il fait état de 13,3 millions de prises fibre et câble éligibles dans l’hexagone, dont environ 8 millions en coaxial. L’opérateur historique détrône ainsi SFR sur le "Très haut débit" et ce rien qu’avec sa fibre. A noter qu’SFR prévoit de migrer tous ses abonnés FttB vers le FttH à partir de 2020, un basculement progressif sur 5 ans. Sur la fibre, SFR comptabilisait plus de 5 millions de logements éligibles en avril dernier soit beaucoup moins qu’Orange et Free (10,5 millions au 31 mars), lesquels disposent d’un réseau 100% FttH.
Les régulateurs infligent une lourde amende à Facebook et lui imposent un contrôle sur son traitement des données personnelles
À la suite de l’affaire Cambridge Analytica autour de l’aspiration de données de millions d’utilisateurs de Facebook, une enquête a été ouverte par la FTC. Celle-ci a récemment débouché sur un accord à l’amiable, synonyme de sanctions pour le réseau social.
L’agence gouvernementale a en effet infligé à Facebook une amende de 5 milliards de dollars pour manquement concernant le respect des données personnelles de ses utilisateurs et la transparence autour de l’utilisation de celles-ci. De plus, le réseau social se retrouve avec un comité de surveillance indépendant chargé de contrôler son traitement des données personnelles.
Cet arrangement à l’amiable a été voté à trois voix contre deux au sein de la FTC (Federal Trade Commission), le régulateur américain du commerce. Pour une partie des membres, l’amende n’est pas assez forte et il faudrait frapper davantage Facebook au portefeuille. L’amende représente moins d’un quart des revenus de Facebook en 2018. Pour d’autres, c’est un compromis, sachant que Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, voit son pouvoir réduit "de manière significative" concernant les "les décisions affectant la confidentialité des utilisateurs". Et d’ajouter " qu’aucun organisme gouvernemental dans le monde n’avait jusqu’à présent réussi à (le) faire".
Source : Le Figaro
Guerre des prix : quand SFR répond du tac au tac à Bouygues Telecom sur le fixe
Les promotions à prix cassés continuent cet été chez Bouygues Telecom et SFR. Deux offres triple play Adsl se battent en duel.
La stratégie est connue, s’il y a offensive sur les prix, l’opérateur au carré rouge répond à chaque fois. « Dès qu’une offre à prix cassé émergera, nous nous alignerons », a prévenu le directeur exécutif grand public de SFR à l’occasion d’une conférence de presse tenue le jeudi 11 avril. Dans les faits, la filiale d’Altice réplique dans la foulée aux promotions lancées dans le mobile et dans le fixe par Bouygues, Free et Sosh (Orange) depuis le second trimestre 2018. Et ça continue, deux jours après le lancement d’une offre Bbox "Série limitée" de Bouygues Telecom à 9,99€ par mois pendant un an, puis 24,99€/mois, SFR a canardé le 25 juillet son offre Internet ADSL "Happy Summer Box" à 10€ par mois pendant un an, puis 33€/mois. Si l’abonnement de l’opérateur de Patrick Drahi devient plus onéreux la seconde année, l’engagement est de 12 mois contre 24 mois chez son rival. A noter, que les souscripteurs à cette offre SFR n’auront pas droit aux box Plus et Décodeur Plus, mais à des équipements de génération précédente, soit un player et serveur "évolution", rapporte Ariase.
Du côté de Bouygues, les nouveaux abonnés résidant en zone dégroupée étendue devront s’acquitter d’un supplément de 8€/mois, de quoi faire grimper la facture. Pour le reste à vous de juger, les deux FAI proposent des débits descendants jusqu’à 15 Mb/s en Adsl et jusqu’au 50 Mb/s en VDSL.