Mois : juillet 2019

Un nouveau NRO a été détecté chez Free le 29 juin. Il est situé à Perpignan (66000) dans le département des Pyrénées-Orientales.

Le déploiement d’envergure mondiale a commencé pour 42 Network, avec un premier pas en Amérique du Sud, plus précisément à Sao Paulo au Brésil.

 Six ans après sa création à Paris et 3 ans après l’ouverture de sa filiale américaine, l’école 42 avait annoncé le lancement de 42 Network premier réseau international de formations aux métiers informatique, accessibles à tous gratuitement. C’est de notoriété publique, 42 attire le regard et les sollicitations en dehors des frontières françaises, des partenariats ont déjà été noués en Belgique (19), au Maroc (deux franchises 1337), en Finlande (Hive), aux Pays-Bas (Codam) ou encore en Russie (School 21) et depuis aujourd’hui, les inscriptions sont ouvertes au Brésil avec le lancement de 42 Sao Paulo. 

Elle sera situé dans le quartier Vila Madalena, à l’ouest de Sao Paulo et devrait ainsi accueillir 180 participants à ses débuts.  À partir d’aujourd’hui, toute personne souhaitant s’inscrire peut se rendre sur le site web 42sp.org.br afin de passer deux tests en ligne, sous forme de jeu en ligne (où l’on ne peut pas faire pause donc). Une épreuve qui devrait durer environ deux heures pour les futurs développeurs. Ceux qui surmonteront cette étape devront ensuite se confronter à la difficile épreuve de la piscine. La première étape de sélection aura lieu en octobre, puis un second groupe passera en novembre. Ceux qui auront surmonté l’épreuve de la piscine pourront ensuite commencer l’aventure en janvier 2020. 

Déjà présente dans 10 pays, 42 poursuit son expansion ans le monde entier avec 42 Network, qui prévoit 11 nouveaux campus d’ici 2020. L’ouverture d’une autre école Brésilienne, à Rio a d’ailleurs été annoncée dans ce plan.

Retour à Grâces, en Côtes-d’Armor où l’installation d’une antenne-relais Free Mobile faisait polémique il y’a un peu plus d’une semaine. L’opérateur de Xavier Niel avait alors organisé une permanence publique pour expliquer aux riverains la nécessité du projet. 

Deux employés de Free Mobile sont ainsi venus pour échanger avec les habitants s’opposant au projet, qui ne décolèrent pas. Le projet tourne autour d’un pylône de 38 mètres sur le parking du Carrefour. Cela avait également été l’occasion d’apprendre l’existence d’un partenariat entre Free et le mastodonte de la grande distribution. Les protestations tournaient notamment autour du risque pour la santé que représentent les ondes et la perte de valeur immobilières que pourrait engendrer la présence d’un pylône dans le secteur. Si pour le collectif de riverains, le projet est "superflu et nocif", Free quant à lui le considère comme "incontournable et sans danger".

Free souhaite "démonter les fantasmes" autour de l’installation de l’antenne-relais

La permanence a ainsi pris la forme d’un échange de questions/réponses entre l’opérateur et les riverains présents. Ainsi, lorsque l’on demande pourquoi ne pas s’installer sur un autre pylône, les employés dépêchés par Free expliquent " Avant de nous lancer dans la création d’un pylône, particulièrement coûteuse, nous étudions toujours les possibilités de nous raccorder sur un pylône existant. Là, aucun d’eux ne nous permet de déployer notre réseau dans un rayon de 500 m autour de Carrefour.". Ce à quoi rétorque l’initiateur du collectifs de riverains qu’en tant qu’habitant dans le secteur, il n’a "aucun problème de connexion " et Free de lui répondre "Normal, vous bénéficiez en fait du réseau de l’opérateur historique" et explique qu’il doit, d’ici 2020, avoir son réseau propre, une obligation "émanant de l’Etat"

L’argument assez fréquent des risques des ondes pour la santé est bien sûr évoqué durant cette permanence, ce que Free balaie rapidement " Le projet respecte les normes en vigueur. 99 % des expositions sont sous 5 V/M (volts par mètre), alors que les seuils réglementaires sont compris entre 27 et 61 V/M. ". Et pour ce qui est de la possible pollution visuelle, les employés ont encore une fois réponse à ce problème puisque les antennes seront installées "à l’intérieur et non à l’extérieur" du pylône, lui permettant de s’intégrer au paysage. Quant à la dévalorisation immobilière, Free rétorque "Aucun jugement au contentieux n’a permis d’établir qu’une telle installation causait une dépréciation d’un bien"

Outre l’obligation de l’Etat évoquée précédemment, Free explique que ce projet répond également aux besoins des gens, qui "veulent de la mobilité, de la 4G. C’est une réalité ! "

Des arguments qui n’ont pourtant pas entièrement convaincu

Malgré cet échange, les riverains campent sur leurs positions et Guy Pinson à l’origine de la création du collectif, affirme qu’une demande d’étude d’impact "tant pour les ondes que pour la défiguration du quartier" était toujours en cours. Il se déclare même prêt à aller devant un tribunal administratif si le permis de construire n’est pas annulé. 

Ce collectif ne décolère pas et ne souhaite pas lâcher l’affaire, d’autant plus avec les interrogations restantes sur l’arrivée de la 5G en France. 

Source: Ouest-France

Univers Freebox a testé le Xiaomi Mi 9T, un smartphone vendu à moins de 400 euros qui propose notamment un écran aux bordures très réduites, un triple capteur photo et une grosse batterie. Voici nos impressions – particulièrement positives, vous le verrez – après plusieurs jours en sa compagnie.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques du Xiaomi Mi 9T qui coûte 349,90 euros dans sa configuration 6/64 Go et 389,90 euros dans sa configuration 6/128 Go.

–    Processeur : octa-core jusqu’à 2,2 GHz (chipset Qualcomm Snapdragon 730)
–    Mémoire vive : 6 Go
–    Écran : dalle AMOLED 6,39 pouces offrant une définition Full HD+ (2 340 x 1 080 pixels)
–    Audio : son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
–    Stockage : 64 ou 128 Go (non extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–    Triple capteur photo dorsal : 48 Mégapixels (principal) + 8 Mégapixels (zoom 2x) + 13 Mégapixels (ultra grand-angle 124,8 degrés)
–    Capteur photo frontal : 20 Mégapixels (dans une partie motorisée de la tranche supérieure)
–    Prise casque : oui (tranche supérieure)
–    Connectique de charge : USB Type-C (tranche inférieure)
–    Connectivité Bluetooth : version 5.0
–    Support NFC : oui
–    Batterie : 4 000 mAh (non amovible) rechargeable en filaire avec le bloc 18 Watts fourni
–    Système d’exploitation : Android 9.0 Pie avec l’interface MIUI 10
–    Protection : lecteur d’empreintes sous l’écran ou reconnaissance faciale

Un smartphone à la finition soignée et une coque de protection sympa en prime

Le Xiaomi Mi 9T profite d’une finition exemplaire. Comme l’accoutumée avec les modèles dotés d’un dos brillant, il faudra composer avec les traces de doigts.

La finesse de l’ensemble et le poids bien reparti participent à la bonne préhension. Petit détail appréciable : la coque de bonne facture fournie d’office. Il s’agit d’un modèle rigide avec revêtement anti-déparant particulièrement agréable en main et facile à mettre et remettre. 

Un bel écran AMOLED sans bordure ni encoche et un son qui ne manque pas de patate

Parlons à présent de l’écran AMOLED du Xiaomi Mi 9T. Il offre de jolies couleurs et de bons angles de vision. Notez à ce propos qu’on peut régler la chaleur d’affichage depuis les paramètres. Il s’en sort également bien du côté de la luminosité, permettant ainsi une lecture confortable lors d’un temps très ensoleillé. Nous vous conseillons d’ailleurs de désactiver la luminosité automatique. On se retrouve souvent avec une luminosité baissée sans raison. La caractéristique sans bordure ni encoche permet de son côté de profiter pleinement des jeux vidéo et vidéos. Du pur bonheur, on peut le dire. Aucun intrus dans l’affichage.

Côte son, c’est puissant, clair et il y a du relief. On en vient à regretter que le son ne soit pas stéréo comme sur les OnePlus 7 ou Asus Zenfone 6. Ici, il sort de la grille dans la tranche inférieure. D’ailleurs, pas de deuxième grille pour faire illusion d’un deuxième haut-parleur et donner une impression de symétrie. De l’autre côté, on trouve en effet le tiroir SIM, celui que les constructeurs mettent généralement sur le côté. Pourquoi pas.

Les mélomanes noteront de leur côté la présence du mini-jack, dans la tranche supérieure.

De belles photos, de jour comme de nuit

Abordons maintenant la partie photo. Les photos produites par le triple capteur 48/8/13 Mégapixels au dos lors d’une journée lumineuse sont très bonnes. Celles de nuit profitent d’un mode dédié qui fait du très bon boulot.

Les amateurs de selfies seront, quant à eux, aux anges au regard de la qualité fournie. Sympa d’ailleurs le petit effet lumineux quand le capteur sort de sa cachette.  

Les amateurs de photo noteront un mode Pro pour des réglages personnalisés. Une dernière chose peut-être, sauf si vous voulez faire de la publicité pour votre smartphone : pensez à désactiver le filigrane activé par défaut. Pour cela, il suffit d’aller dans les paramètres de l’application photo (Menu/Paramètres/Filigrane de l’appareil).  

Ci-dessous, une photo sans zoom puis avec zoom 5x et 10x en fin de journée (on évitera de trop pousser le zoom, comme vous le voyez) :

D’autres photos de jour, qui sont très réussies (et qui font voyager au passage) :

Un exemple de selfie :

Une photo prise la nuit, en fonctionnement classique, puis avec le mode nuit (qui corrige les halos de lumière, redonne du vert aux arbres, redessine les voitures au premier plan et redonne de la netteté à l’ensemble) :

Une 4G qui dépote et un support de la B28

Nous avons testé les débits dans nos endroits habituels. En extérieur et dans une zone bien couverte, nous avons franchi à plusieurs reprises les 100 Mbit/s. Il nous est même arrivés d’aller au-delà des 200 Mbit/s. En intérieur, nous avions réussi à avoir 50 Mbit/s en réception. Autant dire que les téléchargements en 4G étaient confortables.

Bonne nouvelle pour les abonnés Free Mobile : le Xiaomi Mi 9T gère la 4G 700 MHz (B28).

De très bonnes performances

À aucun moment durant nos tests, nous n’avons eu l’impression d’un quelconque ralentissement, comme si nous avions un smartphone avec un Snapdragon 855. Sauf que nous avions un chipset plus modeste, à savoir le chipset Snapdragon 730. Des jeux comme Asphalt 9, Need for Speed: No Limits ou PUBG Mobile tournent tranquillement. Le dernier fonctionne d’ailleurs avec les graphismes à fond. Il est arrivé au smartphone de chauffer, mais pas de manière insupportable, et seulement en jeu ou en benchmark.

Pour les amateurs de benchmarks, AnTuTu place le Xiaomi Mi 9T entre un Samsung Galaxy S9 (avec chipset Exynos 9810) et un Huawei P20 Pro (avec chipset Kirin 970). Il s’agit de modèles haut de gamme de 2018.

Le stockage à bord se montre également plutôt rapide. L’outil Disk Speed indique 211 Mo/s en écriture et 472 Mo/s en lecture. Voilà qui explique également l’impression de fluidité, notamment lors de l’installation des applications.

Une autonomie excellente et une charge rapide

L’autonomie du Xiaomi Mi 9T est excellente. En même temps, il dispose d’une batterie 4 000 mAh. Pour vous donner une idée, nous étions à 100 % lundi soir à 22h09. Nous sommes arrivés à 51 % le mardi à 23h30 et à 21 % le mercredi à 15h43. Entre temps, il y a plusieurs heures de jeu avec le son à fond, de l’écoute audio en Bluetooth, quelques photos, de la consultation et des notifications Twitter, du surf sur Internet et des tests de débits. Tenir deux jours apparaît parfaitement envisageable. Les utilisateurs les moins gourmands pourront tenir un peu plus.

Concernant la charge, le bloc 18 Watts permet de ne pas attendre trop longtemps malgré la bonne taille de la batterie. À 20h44, nous étions à 24 %. Nous sommes arrivés à 32 % à 20h51, 71 % à 21h19 et 100 % à 22h09. Nous avons par la suite simulé des charges de 10 et 20 minutes exactement. Chaque créneau de 10 minutes nous permettait de récupérer exactement 12 % de batterie. Bref, de quoi envisager une petite charge d’appoint avant de prendre la route. Notez enfin qu’il n’a pas la recharge sans-fil.

Une interface très complète, mais sans le tiroir d’applications

Sur le Xiaomi Mi 9T, on retrouve la ROM MIUI 10 des Xiaomi Mi 9 SE et Xiaomi Mi 9, avec laquelle il faudra faire sans le tiroir d’applications caractéristique d’Android. Les applications se retrouvent organisées sur le bureau avec un dock des favorites, à la manière d’iOS. On aime, ou pas.

Cette interface se montre très complète et avec des fonctionnalités bienvenues comme le mode à une main proposant trois diagonales d’affichage réduites (3,5, 4 et 4,5 pouces), le mode Lecture (pour soulager les yeux avec un ton plus chaud), le mode sombre (pour ne pas déranger le soir), le second espace (pour mettre ses données à l’abri) et le choix laissé entre la navigation à la gestuelle ou avec les boutons Android.

Du côté de la sécurité, au moment des tests, les patchs de mai étaient installés. Pas les derniers, donc. Quant aux solutions de déverrouillage, le lecteur d’empreintes sous l’écran et la reconnaissance faciale fonctionnent plutôt bien. Pas de raté durant nos essais. La seconde solution est évidemment un peu plus longue, du fait d’une partie mécanisée devant sortir et rentrer. À ce propos, comme sur les Asus Zenfone 6 et OnePlus 7 Pro l’accéléromètre permet de détecter la chute et de mettre la caméra à l’abri.

VERDICT : finition soignée, performances au top, bel écran quasi sans bordures, 4G rapide, très bonne partie photo, énorme autonomie, charge rapide et même support de la 4G 700 MHz en ce qui concerne les abonnés Free Mobile. Petit détail agréable en prime : la coque fournie est de bonne facture. C’est presque un sans faute pour ce Xiaomi Mi 9T. En étant tatillon, on pourrait juste regretter le son qui n’est pas stéréo. Mais c’est vraiment pour chipoter, car le son est agréable à écouter, notamment en jeu. De là à parler de la nouvelle référence sous la barre des 400 euros, il n’y a qu’un pas, qu’on peut franchir sans prendre de risque. Vous avez un budget de 400 euros pour un smartphone Android ? Le Mi 9T fait clairement partie des options à envisager.

Le prochain Honor 9X sera présenté par la marque le 23 juillet. Le smartphone devrait proposer un bon rapport qualité prix tout comme ses prédécesseurs de la gamme « X ».

En effet, le PDG de la marque, Georges Zhao, a annoncé sur le réseau social chinois Weibo que la date de présentation du prochain Honor 9X a été avancée. Initialement prévu pour fin août, le smartphone sera finalement dévoilé le 23 juillet en Chine et plus précisément à Xi’an.

L’image publiée par le PDG peut être traduite en français par : « Le Honor 9X est rapide de l’intérieur et né pour être discret ». Pour rappel, la gamme des Honor X a été créée dans le but de proposer des smartphones milieu de gamme intégrant des technologies ou même des composants issus du haut de gamme afin de les démocratiser.

Aucune information officielle n’est disponible au sujet du Honor 9X pour le moment. Selon les rumeurs, l’appareil pourrait être animé par le nouveau processeur Kirin 810 dévoilé au mois de juin, qui est utilisé notamment par les nouveaux Huawei Nova 5. Il pourrait également être doté d’un capteur photo de 48 mégapixels cependant, ces informations sont à prendre avec des pincettes.

Son prédécesseur le Honor 8X s’est vendu l’année dernière à plus de 10 millions d’exemplaires dans le monde, une franche réussite. Mais il va falloir patienter jusqu’au 23 juillet, le jour de la présentation officielle du Honor 9X pour en savoir plus sur sa fiche technique et surtout sur son prix.

Après avoir subtilisé les Animoji d’Apple, la marque se permet désormais de copier les Memoji de la marque américaine, notamment pour sa nouvelle gamme Mi CC9.

Une fois n’est pas coutume. En effet, Xiaomi s’est une fois de plus inspiré de la marque à la Pomme. Après avoir repris les « Animoji » de la Pomme l’année dernière, le géant chinois s’attaque aujourd’hui aux « Memoji » en annonçant les « Mimoji » pour les nouveaux Mi CC9, visant un public jeune et plutôt branché.

Les nouveaux Mimoji de #Xiaomi sont ultra personnalisables et très efficaces.

Bientôt disponible sur les #XiaomiCC ! pic.twitter.com/KpSC9RWVvG

— Xiaomi Actu | France 🇫🇷 (@ActuXiaomi) 2 juillet 2019

D’après le Tweet du compte officiel Xiaomi Actu France, on remarque que les Mimoji ressemblent comme deux gouttes d’eau aux Memoji d’Apple. Ce sont des personnages animés personnalisables avec de nombreux détails et sont capables de traquer les mouvements de votre visage. Grâce à une vidéo publiée sur le réseau social chinois Weibo, on peut nettement voir que le géant de la téléphonie chinoise a repris les personnages animés d’Apple sans grand changement.

Avec cette nouvelle fonctionnalité ainsi qu’à sa nouvelle gamme, Xiaomi tente de séduire un public plus jeune. Pour rappel, le nouveau Mi CC9 sera équipé d’un processeur Snapdragon 710e, d’une dalle AMOLED de 6,39 pouces ainsi que d’une batterie d’une capacité de 4030 mAh, le tout pour un prix avoisinant les 230 euros.

La marque n’a pas encore communiqué au sujet d’une possible arrivée de cette gamme dans l’Hexagone.

Source : 01Net

Vous ne le saviez peut être pas, mais la Freebox Delta et la Freebox Révolution proposent un économiseur d’écran et/ou de tableau animé

Celui a donc été développé grâce à l’API fournis par Free, et est disponible gratuitement dans le Free Store du Freebox Player. Cette application, nommée ScreenSaver, vous permet donc d’afficher sur votre téléviseur, différentes vidéos survolant différent lieux ou villes entre les lesquels vous pourrez switcher. On y retrouve par exemple la grande muraille de Chine, New York, Londres, San Francisco et encore d’autres. Vous pouvez laisser défiler les paysages ou en changer à l’aide des touches next et prev de la télécommande

Démonstration vidéo sur la Freebox Révolution (le principe est le même sur Freebox Delta)

Toutefois, ScreenSaver ne se déclenchera pas automatiquement, il faudra ouvrir l’application. Mais il permettra cependant à votre téléviseur de devenir un tableau interactif évoluant avec le temps.

Les équipes de Samsung seraient enfin venues à bout des défauts de fabrication concernant son fameux Galaxy Fold. Le principal problème était le film protecteur de l’écran.

D’après Bloomberg, le géant sud-coréen aurait fini de retravailler le design de son prochain smartphone pliable. Ce terminal a été victime de nombreux problèmes à ses débuts, notamment au niveau de l’écran qui n’était pas au point, comme l’ont relevé de nombreux médias américains, c’est pourquoi le service R&D de Samsung a donc corrigé ces failles.

Toujours selon Bloomberg, l’écran du Galaxy Fold était recouvert par un film de protection que certains ont prit pour un film retirable. Désormais, le film protecteur de l’écran de l’appareil recouvre la totalité de l’écran. Le smartphone a également été retravaillé au niveau de la charnière dans le but de solidifier le centre de l’écran pliable. Ainsi, les utilisateurs ne devraient plus prendre le film protecteur surplombant l’écran pour un film retirable.

Pour l’heure, il n’y a toujours pas de date prévue pour lancement du prochain smartphone pliable de la marque. Cependant, Samsung semble très proche de la version finale du Galaxy Fold, puisque la v2 de ce dernier sera lancée une fois que les composants nécessaires seront arrivés à l’usine vietnamienne en charge de la fabrication de l’appareil.

L’ANFR vient de publier les chiffres de déploiement des réseaux mobiles au 1er juillet 2019. A cette date, 46 970 sites 4G sont autorisés par l’ANFR, dont  41 930 en service, tous opérateurs confondus. Au mois de juin, les autorisations et mises en service de sites 4G ont poursuivi leur progression :

• les demandes d’autorisations des sites 4G se sont accrues de 0,1 % ;
• les mises en service de sites 4G ont augmenté de 0,1 %. 

Durant le mois de juin c’est Orange qui a été le plus actif en termes de déploiement 4G avec 221 sites supplémentaires. Free se place en 2ème position avec 136 sites 4G déployés. Suit SFR avec 88 nouveaux sites 4G et enfin Bouygues Télécom avec 58 sites.Le classement général en nombre de sites reste le même. 

Le bilan des sites 4G mis en service en métropole s’établit comme suit :

1. Orange (19 468 sites, + 221 en juin 2019);
2. SFR (17 819 sites, + 88 en juin 2019);
3. Bouygues Télécom (17 332 sites, + 58 en juin 2019);
4. Free Mobile (12 887 sites, + 136 en juin 2019).

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Focus sur le déploiement 4G de Free

Après un mois au ralenti en mai, Free s’est ressaisi en étant le deuxième opérateur à déployer le plus de nouveaux sites 4G. L’opérateur a aussi activé 149 nouvelle antennes 1800 MHz en juin, menant à un total de 12 115 antennes activées. Concernant les fréquences 700MHz, Free a activé 543 nouvelles antennes  durant le mois dernier pour un total de 6345 et a obtenu 1992 nouvelles autorisations. Des chiffres qui devraient augmenter étant donné que la dernière étape d’autorisation de déploiement de la bande 700MHz est arrivée, permettant à Free de déployer celle-ci sur l’ensemble de la métropole. 

Le déploiement des fréquences 1800MHz et 700MHz permet de disposer de la 4G+ mais également d’étendre la couverture 4G car ce sont des fréquences plus basses que les 2,6GHz que déployait Free au lancement de la 4G.

Variations au cours du mois de mai

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Déploiement 3G: Free reprend du poil de la bête

Outre la 4G, Free continue le déploiement de sites 3G, avec 127 sites supplémentaires activés ce mois-ci pour un total de 15391 sites 3G activés.