Mois : mars 2019

L’opérateur de Xavier Niel prend les devants un peu moins d’une semaine avant la présentation de ses résultats annuels en annonçant pour la première fois les chiffres de recrutement de la Freebox Delta.

Les doutes sont levés et le succès confirmé. Lancée en grande pompe en décembre dernier, la box haut de gamme de Free séduit malgré les nombreux retards de livraison."Moins de 2 mois auront suffi pour que la Freebox Delta séduise plus de 100 000 abonnés", se félicite ce matin l’opérateur, visiblement désireux de rassurer les marchés après avoir une nouvelle fois chuté (-5,3%) en Bourse hier, à 84,40€.

« Nous avons été surpris par cet énorme succès. La Freebox Delta est une merveille tant pour sa connexion Fibre 10G, son agrégation xDSL+4G, son incroyable WiFi, Netflix inclus, que pour le son d’exception Devialet et j’en oublie ! C’est une nouvelle référence qui n’existe nulle part dans le monde. Aujourd’hui, nous livrons nos nouveaux abonnés au fil de l’eau, mais nous n’avions pas imaginé un tel succès. Seuls quelques milliers d’abonnés ont pu être livrés en décembre, nous présentons une nouvelle fois nos excuses pour ces retards. » déclare Xavier Niel, co-fondateur de Free. 

Malmené sur le fixe après avoir perdu 61 000 abonnés sur les neuf premiers mois de l’année 2018, Free estime que ce succès était un défi d’autant plus difficile à réaliser dans un marché où les box d’entrée de gamme commencent à moins de 10€ par mois, à comparer au prix de la Freebox Delta, box à la fois haut de gamme et accessible au plus grand nombre compte tenu des économies réalisées sur les nombreux services et fonctionnalités inclus dans le prix.

Une bonne nouvelle pour les abonnés concernés.

Si un accord de co-investissement lui permet de venir proposer ses offres Freebox dans les zones AMII  gérées par Orange, Free n’oublie pas pour autant les zones moyennement denses de SFR bien que celles-ci couvrent moins d’abonnés. En juin dernier lors de la convention Free, le directeur général de l’opérateur Thomas Reynaud s’était montré optimiste quand à une arrivée des offres fibre de Free sur les réseaux de l’opérateur au carré rouge, ajoutant "essayer de signer" avec SFR.

C’est désormais une réalité selon les constatations de Busyspider : "Free arrive en ZMD SFR. La première zone est ouverte et les 1ères Freebox sont éligibles en fibre optique sur le réseau" . Après avoir vérifié l’éligibilité à une offre fibre optique de Free dans la commune de Plaisance du Touch en Haute-Garonne et les environs non loin de Toulouse, le site communautaire s’est ensuite rendu compte via la plateforme cartefibre.arcep.fr de l’Arcep que l’opérateur d’infrastructure opérant dans cette zone dite AMII est SFR. A défaut d’un listage officiel, il est difficile aujourd’hui d’établir la liste exacte des zones déployées par SFR ouvertes aux offres Free mais une chose est sûre, l’ouverture sera progressive.

La directrice Générale d’Orange France s’est exprimée sur la requête d’Altice à Free de payer 6 millions d’euros pour la diffusion de ses chaînes. 

Lors d’une rencontre informelle avec la presse, Fabienne Dulac a donc exprimé ses réserves sur la question. Elle explique notamment que la somme de six millions d’euros est beaucoup trop élevée et "n’est pas en rapport avec les audiences de la chaîne".  Pour elle "ces chaînes ont d’avantage besoin de nous (les opérateurs nldr) que nous d’elles". 

Une réaction qui présage d’un potentiel conflit entre Orange et Altice sur ce sujet si le groupe d’Alain Weill fait le même type de demande à l’agrume. Un conflit qui pourrait arriver cette année, puisque le renouvellement du contrat concernant les chaînes de NextRadioTV est prévu cette été pour Orange. 

Source : 01net

Le géant Apple a programmé un événement le 25 mars, au cours duquel il pourrait présenter son service de streaming vidéo, mais pas seulement.

Apple vient d’annoncer un événement qui se tiendra le 25 mars au Steve Jobs Theatre de Cupertino, en Californie. Comme le suggère le slogan "it’s show time", celui-ci devrait être l’occasion d’annoncer le service de films et séries en streaming attendu pour concurrencer des acteurs tels que Netflix et Amazon Prime, mais également le futur service de Disney. Certains se souviendront en effet d’un slogan similaire, en 2006, au moment d’annoncer l’Apple TV.

En parallèle, les observateurs espèrent y découvrir un service d’accès à des magazines par abonnement, une nouvelle génération de tablettes tactiles iPad et une seconde version des écouteurs sans-fil AirPods, mais également avoir des nouvelles de la technologie de recharge sans-fil AirPower. Rendez-vous dans moins de deux semaines pour en avoir le cœur net.

Le smartphone Samsung Galaxy M20 commence à arriver sur le Vieux Continent. On découvre ainsi son positionnement tarifaire en euros.

Si Samsung n’avait pas communiqué sur la disponibilité de sa nouvelle famille de smartphones Galaxy M en Europe, voilà qu’un modèle commence à s’aventurer sur le Vieux Continent. Le Galaxy M20 apparaît en effet sur les sites espagnol et italien d’Amazon, au prix de 229 euros dans sa configuration 4/128 Go. C’est d’ailleurs le constructeur lui-même qui propose son smartphone. Cela indique un prix officiel, mais suggère aussi que la France pourrait être servie très prochainement.

Rappelons que le Galaxy M20 offre un écran 6,3 pouces Full HD+ sur lequel s’affichera le système Android 8.1 Oreo avec l’interface Experience 9.5. Pour la photo, on trouve des capteurs 13 + 5 Mégapixels au dos et un capteur 8 Mégapixels à l’avant (logé dans l’encoche). Le M20 s’articule autour d’un chipset Exynos 7904, synonyme d’un processeur octa-core jusqu’à 1,8 GHz, et s’équipe d’une batterie 5 000 mAh, qui laisse attendre une autonomie confortable. Cette dernière se recharge d’ailleurs grâce à un bloc 15 Watts se branchant en USB Type-C. Quant à la sécurisation, elle passe par un lecteur d’empreintes installé au dos.

Ce mercredi était l’occasion pour les opérateurs télécoms de faire le point sur la mise en œuvre du New Deal Numérique devant la Commission des Affaires Économiques. Maxime Lombardini, président du Conseil d’Administration d’Iliad, en a profité pour évoquer « l’accélérateur » dont disposent les communes pour accélérer le déploiement de la couverture mobile et qu’elles n’utilisent pourtant pas.

Maxime Lombardini a plaidé la cause de son groupe. Il a en effet rappelé les efforts et lourds investissements d’Iliad pour rattraper son retard du à une arrivée plus tardive dans le mobile. Il cite notamment les 15 000 sites qui permettent d’arriver à une couverture de 96 % en 3G (propre) et 92 % en 4G.

Lors de l’une de ses interventions, Maxime Lombardini a ensuite abordé l’un des freins du déploiement des antennes-relais dans le cadre du New Deal. Il a commencé par indiquer  : « Nous ne choisissons pas, nous opérateurs, les zones où ces sites doivent être construits ». Il a ensuite donné l’explication : « Sur les premières vagues, Free doit construire 220 sites. Et sur ces 220 sites, seuls 25 (…) se sont vus accompagnés d’une proposition de la commune d’un site, d’une zone viabilisée ». Or, comme le rappelle Maxime Lombardini, si la commune propose un espace viabilisé pouvant accueillir le pylône, l’opérateur est engagé « à construire en 12 mois ». Autrement, « c’est 24 mois ». Selon lui, « l’accélérateur » est entre les mains des communes. Et d’ajouter : « ce qu’on peut voir aujourd’hui, c’est qu’il n’y a pas grand-chose qui se passe. Tout est laissé entre nos mains, alors que les communes connaissent leurs terrains beaucoup mieux que nous ». Il regrette que l’accélérateur (celui permettant d’arriver à 12 mois) soit « extrêmement peu utilisé ».

Free a mis en place depuis quelques mois une carte officielle d’éligibilité à la fibre optique sur le site de l’opérateur.

Désormais accessible aux côtés de celle de l’ADSL, cette carte forte utile à condition d’être fiable, permet en quelques clics de connaître votre éligibilité à la fibre optique de Free par zone et par adresse dans tout l’hexagone. Ce n’est pas tout, il est également possible de visualiser en bleu les zones en cours de déploiement et en jaune celles à l’étude.

Breaking ! @Freebox vient de publier une carte d’éligibilité à la Fibre. Plus d’un an après son annonce. Bon le fond de carte est toujours dépassé (dump de 2014?) et je n’ai pas trouvé la légende, mais elle fait le taf. 😎https://t.co/vtNjsuqDth cc @vachegti pic.twitter.com/4AkdKRvryU

— Bob (@Coillot29) August 30, 2018

Alors à vous souris, la carte est à retrouver ici. A noter que l’éligibilité xDSL a été mise à jour. 

Le smartphone Redmi Note 7 arrive en France avec son grand écran Full HD+, son capteur photo 48 Mégapixels et sa grosse batterie. Son prix démarre à 199,90 euros.

Il y a peu, nous rapportions l’arrivée du Redmi Note 7 en Europe. Il commençait en effet sa carrière en Espagne. Ce n’était a priori qu’une question de temps pour la France.

Ce premier smartphone de la nouvelle marque de Xiaomi – fruit de l’émancipation d’une gamme de smartphones à prix attractifs –  s’affiche désormais sur la boutique en ligne officielle de Xiaomi avec des premières livraisons indiquées pour le 18 mars. Il faudra débourser 199,90 euros pour le modèle 3/32 Go et 229,90 euros pour le modèle 4/64 Go. 

Pour rappel, le Redmi Note 7 s’équipe d’un chipset Snapdragon 660, d’un écran IPS 6,3 pouces Full HD+ et d’une batterie 4 000 mAh que l’on peut recharger en 10 Watts avec le bloc fourni ou en 18 Watts avec le bloc optionnel. Lei Jun, CEO de Xiaomi, avait d’ailleurs indiqué 1 heure et 43 minutes pour passer de 0 à 100 % grâce au chargeur 18 Watts.

Du côté de la partie photo, largement mise en avant, on trouve un capteur 48 Mégapixels au dos, secondé d’un module 5 Mégapixels pour les infos de profondeur. À l’avant, dans une encoche goutte d’eau, les amateurs de selfies trouveront un capteur photo 13 Mégapixels.