Mois : novembre 2018

Couverture et débit 4G Free Mobile : Focus sur La Courneuve

Avec les données de notre partenaire Sensorly, Univers Freebox vous propose un focus sur La Courneuve, 170ème ville de France par sa population et vous fait découvrir la carte de la couverture du réseau 4G et des débits.

Carte de couverture 4G chez Free Mobile :

Carte des débits 4G chez Free Mobile :

Selon les résultats des tests effectués par les abonnés Free Mobile, les zones rouges ont un débit inférieur à 20Mb/s, pour les zones jaunes le débit est compris entre 20 et 60Mb/s et pour les zones vertes le débit est au dessus de 60Mb/s.

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Découvrez les cartes du déploiement très haut débit de Gagny

Aujourd’hui, grâce aux données fournies par l’Observatoire France Très Haut Débit, nous vous proposons de découvrir le déploiement du très haut débit pour tous les opérateurs sur la 187ème ville la plus peuplée de France : Gagny.

Grâce à la première carte on peut voir que la ville de Gagny est couverte à 80.7% par le très haut débit.

   

Carte du déploiement DSL, Câble et FTTH

On peut voir sur la seconde carte, que 80.7% des logements et locaux professionnels peuvent avoir accès à la fibre FTTH.

   

 Carte du déploiement FTTH

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Free : les analystes d’UBS anticipent une perte d’abonnés sur le mobile et le fixe

 

Free a t-il relancé la machine ? Telle est la question.

Les résultats de la maison-mère de Free étaient attendus de pied ferme ce matin mais contre toute attente, Iliad a décidé de repousser l’annonce à ce soir après la clôture de la Bourse. Hier, les analystes d’UBS ont toutefois pris les devants, rapporte Reuters. Dans une note, la banque suisse a estimé que Free a encore souffert lors de ce troisième trimestre, toujours impacté par les promotions agressives de SFR. Selon UBS, Free aurait perdu cette fois 135 000 abonnés sur le mobile et 15 000 sur le fixe contre 200 000 et 28 000 au trimestre précédent. Pour en avoir le coeur net, il faudra patienter jusqu’à ce soir. Hier, le titre d’Iliad a chuté de plus de 4% à environ 96€ en clôture de la Bourse, avant de repartir à la hausse ce matin (+2,90%) à 98,60€. Pour rappel, le cours du groupe de Xavier Niel a perdu plus de la moitié de sa valeur depuis le début de l’année.

 

 

 

 

 

 

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Iliad/Free lèvera exceptionnellement le voile sur ses résultats trimestriels ce soir

En bref, si à l’accoutumée l’opérateur de Xavier Niel publie ses chiffres le matin entre 7h30 et 9h, il faudra cette fois attendre la clôture de la Bourse.

Comme le rapporte la journaliste du Figaro, Elsa Bembaron, Iliad a décidé de repousser la publication de ses résultats financiers et commerciaux, initialement prévue ce matin, à ce soir après Bourse. A l’heure où beaucoup de regards se portent sur Free et la sortie de sa très attendue V7, on ne peut s’empêcher de penser que ce changement de planning n’est peut-être pas le fruit du hasard. Mauvais chiffres en prévision ou annonce spéciale, réponse après 17h30.

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Le saviez-vous ? Vous pouvez partager les contenus stockés sur le disque dur de votre Freebox avec vos amis

Vous voulez partager du contenu stocké sur votre Freebox avec vos collègues, vos amis ou votre famille? Pour cela rien de plus simple, Freebox OS vous permet d’envoyer vos fichiers à n’importe quelle personne qui le souhaite. Ceci n’est cependant possible que pour les possesseur de Freebox Révolution et Freebox Mini 4K.

Pour ce faire, commencez par vous connecter à Freebox OS depuis mafreebox.freebox.fr. Ensuite allez dans l’explorateur de fichiers et sélectionnez le fichier ou le dossier que vous souhaitez partager.

Faites un clique droit sur ce fichier/dossier et ensuite cliquer sur "Partager ce dossier/fichier".

 

Freebox OS vous demandera ensuite pendant combien de temps vous souhaitez que ce lien soit valable pour télécharger le ou les fichiers.

 

Une fois cette durée validée un lien de téléchargement sera généré et il ne vous restera plus qu’a l’envoyer à la ou les personnes qui le souhaitent.

 

Il faudra cependant faire attention à votre débit, l’envoi du fichier utilisera votre bande passante montante. L’envoi du fichier sera donc plus ou moins rapide et votre navigation pourra être ralentie en fonction de votre débit.

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Reportage : l’illectronisme, quand les oubliés de l’internet ont besoin d’aide

 

A l’heure où les opérateurs déploient la fibre afin de réduire la fracture numérique, plus de 10 millions de Français éprouvent de grandes difficultés à utiliser un ordinateur et internet. Les équipes de France 2 ont décrypté l’illectronisme.

Sécurité sociale, chômage, impôts, taxe d’habitation retraites  ou encore les loisirs et la réservation de vols et d’hôtels. Selon une étude d’Emmaus Connect, 40% des français ont des difficultés avec Internet, 7% se sentent exclus du monde numérique parce qu’il n’ont pas d’accès, pas de compétences ou car ils sont en incapacité d’apprendre. Pourtant le gouvernement a annoncé que 100% des services publics seront accessible en ligne en 2022. Heureusement, des formations existent.

 

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Freebox Révolution et Mini 4K : Clique TV est enfin arrivée, avec une commercialisation différente

La semaine dernière, la nouvelle chaîne Clique TV arrivait sur la Freebox Mini 4K. Ce soir, elle est  enfin disponible sur la Freebox Révolution et sur la Freebox Mini 4K. Vous pouvez la retrouver dès à présent sur le canal 81 de Freebox TV après avoir redémarré  votre player. Elle est disponible gratuitement pour tous durant  le mois de novembre, c’est ensuite que les choses changent, suivant votre forfait. Les abonnés Freebox Révolution avec TV by Canal continueront à bénéficier de Clique TV dans leur bouquet de base. Les abonnés Freebox Mini 4K devront souscrire au bouquet Famille by Canal à 4,99€/mois pour continuer à accéder à la chaîne (et à une cinquantaine d’autres)

Clique TV propose un programmation "parole et musique" avec "de la bonne musique, des prises de parole, des reportages, du jeu vidéo, du sport de l’humour ou les artistes ont le pouvoir", le tout à trouver dans une kyrielle d’émissions incarnées par toute la clique de Mouloud Achour, comme Sébastien Abdelhamid et l’humoriste John Sulo qui animeront la quotidienne "Clique claque", le DJ Cut Killer et Nikkfurie, du groupe de rap La Caution, pour ce qui est de la musique. Ou encore l’humoriste Mathieu Madénian et le magazine féminin Paulette qui auront également leur programme.

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Molotov annonce ne pas être vendeur et se dit ouvert à des partenariats stratégiques notamment avec Orange

Dans une interview accordée aujourd"hui à La Tribune, les co-fondateurs de Molotov, Jean-David Blanc (créateur d’Allociné) et Pierre Lescure (ex-PDG de Canal+), ont répondu de but en blanc aux différentes rumeurs gravitant autour de la plateforme OTT.

Premier enseignement, la plateforme revendique aujourd’hui 6,6 millions d’utilisateurs, la progression est constante mais le nombre de ses abonnés payants reste secret. Les deux co-fondateurs assurent toutefois "être très au-dessus "des 20 000 estimés par certains observateurs.

A l’heure où la presse ne cesse de répéter que Molotov éprouve de grandes difficultés à monétiser son service avec ses offres payantes, le célèbre service de télévision par internet se montre au contraire aujourd’hui rassurant : "Tout va bien. Il faut du temps et des moyens pour changer et accompagner la révolution des usages. Nous avons lancé ce projet avec des investisseurs très solides, notamment Idinvest Partners qui est le premier fonds d’investissement français dans la tech. Aujourd’hui, avec zéro publicité, nous recrutons entre 70.000 et 100.000 nouveaux utilisateurs chaque semaine. Nous avons créé des services sur lesquels les gens peuvent s’abonner depuis un an et demi. On a rajouté des chaînes payantes comme OCS [le bouquet d’Orange dédié au cinéma et aux séries] pour commencer à vendre des abonnements", indique Jean-David Blanc. Et de confier que Molotov a décidé d’investir davantage et donc de repousser encore son objectif d’atteindre l’équilibre financier après 2021.  

 

Molotov cherche des partenaires mais n’est pas à vendre.


A la question de savoir si les deux hommes d’affaires seraient prêts à vendre Molotov comme le laissaient entendre plusieurs rumeurs apparues dans la presse, le créateur d’Allociné répond : "C’est sans fondement. La question de vendre est personnelle à chaque actionnaire, et dans le cas présent personne n’a envie de vendre un arbre dont les fruits sont à peine sortis. En ce qui me concerne, je suis passionné par ce projet que je porte depuis maintenant six ans. Ce qui nous intéresse en tant que fondateurs, et ceux qui font Molotov au quotidien, c’est de trouver les moyens de financer sa croissance et d’aller plus vite et plus loin."

Si céder la plateforme n’est pas à l’ordre du jour, trouver des partenaires financiers et stratégiques fait au contraire bien parti des plans de Molotov. "Nous n’excluons aucune opportunité. Lever des fonds est envisageable, signer des partenariats aussi. Il y a plein d’acteurs industriels intéressants pour nous : dans les télécoms bien sûr, mais aussi dans les médias, les acteurs de l’investissement… Nous regardons en Europe, mais sommes sollicités au-delà, car cela bouge partout."

Déjà partenaire privilégié et souvent évoqué comme potentiel racheteur, Orange est toujours dans les petits papiers de Molotov. "Jusqu’à présent, nous avons surtout discuté d’OCS et d’autres accords existants", livre à son tour l’ex-PDG de Canal+ avant de se montrer plus parlant : " Orange est aujourd’hui une entreprise mature et jeune avec laquelle il est envisageable d’avoir dans le futur des accords stratégiques et financiers."

Source : La Tribune

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Interview : des chercheurs passent au crible la 5G et découvrent des failles de sécurité embêtantes

C’est aujourd’hui une évidence pour beaucoup, la 5ème  génération de téléphonie mobile proposera des débits décuplés et devrait révolutionner les usages : réalité virtuelle, véhicules autonomes et connectés, villes intelligentes, etc. Pas attendue avant 2020 dans l’hexagone, la 5G aura aussi pour mission de garantir une protection optimale des données échangées. Mais est-ce le cas aujourd’hui dans sa version actuelle ? 

Jannik Dreier, enseignant chercheur au laboratoire en informatique "Loria" et maître de conférences à Telecom Nancy, en collaboration avec des chercheurs de l’ETH de Zurich (Suisse) et de l’Université de Dundee (Ecosse) ont soumis la future norme de communication mobile 5G à une analyse de sécurité précise du protocole AKA, partie prenante de la nouvelle norme 5G. Ce dernier doit garantir l’authentification entre le terminal et le réseau ainsi que la confidentialité de l’identité et de la localisation de l’utilisateur. Leur conclusion : la protection de données est améliorée par rapport aux normes précédentes 3G et 4G mais des failles persistent. Univers Freebox a interviewé Jannik Dreier.



Univers Freebox : Qu’est-ce qui vous a amené à réaliser cette analyse en collaboration d’autres chercheurs?
 

Jannik Dreier : Je collabore depuis longtemps avec ces chercheurs, notamment sur le développement de l’outil de vérification Tamarin. Cet outil permet d’analyser de protocoles de sécurité comme dans les réseaux mobiles ou sur internet (par exemple TLS) et de montrer formellement (c’est à dire dans un sens mathématiquement précis) quels garanties de sécurité sont
vraiment assurées. Le travail sur la norme 5G était pour nous – en dehors de l’intérêt pratique – aussi une étude de cas pour voir si nos outils sont maintenant capables d’analyser des standards aussi complexes.
 
 

UF : Pour nos lecteurs, en quoi consistent précisément ce travail sur la norme 5G ? 



J.D : Nous avons entamé une démarche de "vérification formelle". Cela veut dire que l’on prend le standard (plus que 700 pages, essentiellement du texte très technique en anglais) pour en extraire un modèle précis du protocole, c’est à dire des messages échangés entre le téléphone mobile, l’antenne, et les serveurs de l’opérateur. Ensuite nous extrayons aussi les garanties de sécurité attendues, comme par exemple le secret d’un message ou d’une clé, ou l’authentification des parties, et les hypothèses sur les attaquants potentiels : par exemple dans la 5G, on fait confiance à l’opérateur, mais un attaquant peut intervenir sur les
communications sans fil entre le mobile et l’antenne du réseau.

Tout cela est modélisé et puis analysé par l’outil Tamarin. Pour chaque propriété, l’outil nous répond soit que le protocole est sûr -donc que avec les hypothèses du modèle, aucune attaque n’est possible-, soit que la propriété n’est pas vérifiée, avec un exemple d’une attaque. Cela permet d’identifier les faiblesses, mais aussi de proposer des corrections et de vérifier que ces corrections sont efficaces.

 

UF : Quelles sont vos conclusions ?

 
J.D : Globalement la norme 5G répond aux exigences et assure les propriétés souhaitées, comme le secret des clefs échanges. Il y a aussi une amélioration par rapport à la 4G, car un attaquant passif -c’est à dire qui ne fait qu’écouter les messages entre téléphone et antenne du réseau-, ne peut plus tracer l’utilisateur. Cela était possible dans les réseaux 4G, et utilisé par les "intercepteurs d’IMSI", l’appareil de surveillance par la police.

En même temps, nous avons pu identifier deux faiblesses. La première
concerne l’authentification. En ce moment, une implémentation trop rapide, mais respectant la norme, pourrait aboutir à une situation où un utilisateur est facturé pour les appels d’un autre utilisateur. Cela peut arriver si deux utilisateurs se connectent en même temps, et l’antenne confond leurs identifiants. Cette faiblesse est facile à corriger, car cela ne concerne que la partie antenne-réseau fixe.

La deuxième faiblesse concerne encore la traçabilité des utilisateurs :
même qu’une attaque passive n’est plus possible, il y a une attaque simple qui permet quand même de tracer un utilisateur. Pour cela, il suffit de rejouer un ancien message, et regarder la réaction du téléphone. Cette faiblesse est beaucoup plus difficile à corriger, car cela requiert une refonte fondamentale du protocole d’authentification.

 

UF : Si la norme 5G actuelle venait à être commercialisée en l’état, quels
seraient les risques concrets pour les utilisateurs ? 

 

J.D : La première faiblesse pourrait aboutir à une situation où un utilisateur est facturé pour les appels d’un autre utilisateur.

La deuxième faiblesse est plus un problème du respect de la vie privé : il est possible de suivre un utilisateur en suivant son téléphone, par exemple pour savoir s’il se trouve à la maison, au travail, proche d’une manifestation, etc. Cela peut intéresser à la fois des criminels (pour savoir si quelqu’un est à la maison avant un cambriolage par exemple), ou des services de renseignement voire la police pour surveiller la population.

 

Le 3GPP a t-il effectué une mise à jour depuis et ce à la suite de
votre publication ?  

 

J.D : Dans notre travail nous avons aussi proposé des améliorations du standard, avec une preuve formelle que les améliorations sont suffisants pour garantir les propriétés actuellement invalides. Avant de publier nos résultats, nous sommes entrés en contact avec la 3GPP pour faire part de nos observations. Ils sont actuellement en train de les analyser, j’espère qu’ils utiliseront les améliorations que nous avons proposées pour faire évoluer le standard.

En quoi la 5G offrira une meilleure protection des données que la 3G et
la 4G ?

J.D : Comme expliqué avant, par rapport à la 4G, un attaquant passif – c’est à dire un attaquant qui ne fait qu’écouter les messages entre téléphone et antenne du réseau – ne peut plus tracer utilisateur en 5G. Cela était possible dans les réseaux 3G et 4G, et utilisé par les "intercepteurs d’IMSI".

Envisagez-vous à l’avenir d’effectuer d’autres analyses sur la 5G ou
dans le milieu des télécoms plus largement ?




J.D : Nous aimerions suivre l’évolution future du standard 5G, pour voir si les modifications apportées vont effectivement améliorer la sécurité du standard.
 
Cette publication scientifique a été présentée en octobre dernier à Toronto lors d’une des plus grandes conférences internationales autour de la sécurité informatique, à savoir la CCS 2018.
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Débits sur Netflix en France : Free est l’opérateur qui baisse le moins en octobre, mais il reste toujours dernier

Comme chaque mois, Netflix publie son ISP Speed Index pour le mois d’octobre, qui mesure la vitesse moyenne de ses flux selon les pays et les opérateurs. Ce moi-ci, pas de jaloux, tous les opérateurs français sont en baisse, et c’est même Free qui baisse le moins, même s’il reste toujours en dernière position.

Concrètement, au cours du mois d’octobre SFR "câble et FTTH" conserve sa place de numéro un avec un débit moyen de 3,80 Mbits/s en légère baisse par rapport à septembre (3,96 Mbits/s). En deuxième position, Bouygues Télécom, affiche 3,46 (Mbits/s contre 3,55 Mbits/s le mois précédent.. A la 3ème place on trouve Orange avec 3,31 Mbits/s, en baisse également (- 0,08 Mbits/s),  suivi par SFR "ADSL" avec 3,02 Mbits/s (3,15 Mbits/s le mois dernier). Enfin, Free affiche un débit moyen de 2,90 Mbits/s (contre 2,94 Mbits/s en août). 

Rappelons que l’indice de performance des FAI porte uniquement sur le service Netflix aux heures de grande écoute. Il ne s’agit pas d’une mesure de performance générale incluant les autres services/données susceptibles de circuler sur le réseau des FAI en question. Une performance supérieure sur Netflix se traduit généralement par une meilleure qualité d’image, un temps de démarrage plus court et moins d’interruptions.

Pour rappel, un premier lien d’interconnexion entre Free et Netflix a été repéré en avril, ce qui a permis à Free de progresser ces derniers mois.

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