Avec les données de notre partenaire Sensorly, Univers Freebox vous propose un focus sur Saint-Priest, 150ème ville de France par sa population et vous fait découvrir la carte de la couverture du réseau 4G et des débits.
Carte de couverture 4G chez Free Mobile :
Carte des débits 4G chez Free Mobile :
Selon les résultats des tests effectués par les abonnés Free Mobile, les zones rouges ont un débit inférieur à 20Mb/s, pour les zones jaunes le débit est compris entre 20 et 60Mb/s et pour les zones vertes le débit est au dessus de 60Mb/s
Aujourd’hui, grâce aux données fournis par l’Observatoire France Très Haut Débit, nous vous proposons de découvrir le déploiement du très haut débit pour tous les opérateurs sur la 160ème ville la plus peuplée de France : Châteauroux.
Grâce à la première carte on peut voir que la ville de Châteauroux est couverte à 28.4% par le très haut débit.
Carte du déploiement DSL, Câble et FTTH
On peut voir sur la seconde carte, que 19.7% des logements et locaux professionnels peuvent avoir accès à la fibre FTTH.
Carte du déploiement FTTH
On prend le même et on recommence. La question se pose inévitablement, le forfait "éphémère" de Free Mobile a t-il vocation à se pérenniser ?
Lancé début juillet puis renouvelé à la rentrée avec 10 Go supplémentaires de data, le forfait "série spéciale" 60 Go à 8,99€/mois la première année de Free Mobile vient d’être une nouvelle fois prolongé. Comme chaque semaine, le compte a rebours a pris fin à minuit avant de repartir de plus belle ce matin. Dorénavant, cette offre est disponible jusqu’au 9 octobre. Celle-ci inclut :
• SMS illimités vers la France métropolitaine et les DOM
• MMS illimités en France métropolitaine
• FreeWiFi illimité.
Roaming inclus depuis Europe et DOM, toute l’année :
Si depuis 2015, SNCF Réseau et les opérateurs nationaux sont mobilisés pour déployer la 3G et la 4G dans les tunnels ferroviaires, d’ici fin 2018, 65 km d’entres-eux seront équipés en 3G et 4G sur le réseau ferré avec l’objectif d’une couverture totale d’ici fin 2019. Free Mobile sera donc de la partie.
C’est donc l’occasion pour l’opérateur de Xavier Niel de faire un point d’étape. Selon L’Aktu Free, au total "six zones confinées sont déjà équipées en réseaux 3G et 4G Free Mobile, et trois autres devraient être mises en service (Quais de la gare Montparnasse ; Marne-la-Vallée-Chessy et Roissy-Charles de Gaulle) d’ici la fin de cette année, où 70% des tunnels sur les lignes à grande vitesse auront été couverts."
Aujourd’hui, les 18 km en tunnel du RER C dans Paris sont désormais équipés en haut débit mobile. Au total, 540 000 voyageurs quotidiens peuvent en profiter quel que soit leur opérateur. Pour rendre tout cela possible, les baies de Free, Orange, SFR et Bouygues sont systématiquement reliées au master optique SNCF réseau. Tous les 400 mètres des platines « répéteurs » émettent vers des antennes fixées en voûte des tunnels afin d’optimiser la connectivité des usagers.
Le haut débit est déjà dans les tunnels ferroviaires.
Aujourd’hui, les 18 km en tunnel du @RERC_SNCF dans Paris sont équipés du haut-débit mobile 3G et 4G en collaboration avec les opérateurs @bouyguestelecom, @freemobile, @Orange_France et @SFR. pic.twitter.com/QziYEz5jix
— SNCF Réseau (@SNCFReseau) 18 septembre 2018
Clap de fin après la quatorzième journée d’enchères pour l’attribution des fréquences 5G en Italie. Iliad s’octroie des lots dans chacune des fréquences mise en jeu pour un total de près de 1,2 milliard d’euros.
Aux termes de 14 jours d’encheres folles qui commençaient à essoufler meme l’opérateur historique Telecom Italia, chahuté en bourse, tous les lots mis en jeu ont été attribués pour un montant total de 6 550 422 258 euros. Montant qui dépasse de plus de 4 milliards le minimum fixé avant l’ouverture des enchères.
Iliad Italia aura en tout investi 1 193 272 792 euros pour obtenir deux lots de 5x5MHz, qui lui étaient réservés en sa qualité de nouvel entrant dans la bande des 700MHz. En ce qui concerne les fréquences les plus prisées car disponibles dès 2019, les 3700MHz, iliad a remporté un des deux lots de 20MHz pour 483 900 000 euros. Et enfin sur la bande des 26GHz où chacun des 5 concurrents ont obtenu un lot, iliad a décroché le sien pour 32 900 000.
Ci dessous le détail des résultats publié par le ministère du développement économique italien :
Source : Universofree
Le 2 août 2018 dernier étaient lancés les appels à candidatures en vue de la réattribution des fréquences des bandes 900 MHz, 1800 MHz et 2,1 GHz, actuellement utilisées par les réseaux réseaux mobiles 2G, 3G et 4G et dont les autorisations arrivent à échéance entre 2021 et 2024. La date limite de dépôt des dossiers de candidatures était fixée au 2 octobre 2018 à 12 heures.
L’Arcep annonce ce soir avoir reçu les dossiers de quatre opérateurs :
– en bande 900 MHz : Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange et SFR ;
– en bande 1800 MHz : Bouygues Telecom, Orange et SFR ;
– en bande 2,1 GHz : Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange et SFR.
On notera que Free n’a pas déposé de dossier pour les fréquences 1800 MHz qu’il est pourtant en train de déployer activement. Arnaud Comerzan, chargé de mission à l’Arcep, explique la raison sur Twitter : "les autorisations concernées par cette procédure sont uniquement celles arrivant à échéance en 2021 et 2024. Les autorisations de Free Mobile dans les bandes 900/1800 MHz et 2,1 GHz arrivent à échéance en 2030/2031."
Des obligations de couverture inédites par leur ambition, prévues dans le cadre du " New Deal " mobile
Ces procédures d’attribution de fréquences s’inscrivent dans le cadre du " New Deal " mobile : le 14 janvier 2018, le Gouvernement a annoncé l’accord historique, intervenu sur la base des propositions de l’Arcep et dans le cadre d’un dialogue exigeant avec les opérateurs de téléphonie mobile, qui vise à généraliser la couverture mobile de qualité pour l’ensemble des Français. Ce " New Deal mobile " marque un changement d’ambition sans précédent en matière de couverture mobile du territoire. L’État avait alors fait le choix de prioriser l’objectif politique de cohésion des territoires dans les modalités d’attribution. Ainsi, plutôt que privilégier un critère financier, l’État avait décidé d’orienter l’effort des opérateurs vers l’investissement, en prévoyant des obligations de couverture inédites par leur ambition.
Prochaine étape : instruction des dossiers de candidature par l’Arcep pour en étudier la recevabilité et la qualification
L’Arcep indique qu’elle va désormais étudier les dossiers de candidatures, afin de s’assurer que ceux-ci respectent les critères de recevabilité et de qualification des procédures. À l’issue de cette instruction l’Arcep publiera la liste des candidats qualifiés pour chaque procédure et, le cas échéant, demandera aux candidats concernés de lui remettre un dossier d’engagements complémentaires à une date et une heure qu’elle précisera.
Depuis un mois maintenant, Free a mis en place un nouveau système de diagnostic en ligne pour les abonnés Freebox. Celui-ci remplace l’ancien webdiag et est accessible depuis l’espace abonné Freebox.
Ainsi, si vous rencontrez un problème de connexion, allez dans "signaler" puis cliquez sur "il y a un dysfonctionnement de connexion"
Ensuite, si votre la Freebox n’affiche plus l’heure ou si l’accès Internet est perturbé, cliquez sur la proposition idoine
Le webdiag détecte ensuite automatiquement s’il y a un problème de connexion, qu’il soit franc ou intermittent. Dans ce premier cas, la Freebox n’a pas de problème, le diagnostic indique donc qu’il n’y a pas d’anomalie. Il est tout de même proposé de contacter l’assistance via le service visio Face to Free, le tchat ou par téléphone au 32 44.
Dans ce second, un incident de connexion a été détecté, et un rendez-vous au domicile de l’abonné a été planifié. Lorsque l’on se connecte à nouveau il est proposé de modifier ce rendez-vous, de l’annuler ou d’avoir plus d’informations sur celui-ci. A noter que même si Free donne un RDV à domicile, le problème de connexion pourra être résolu avant puisque d’autres interventions, comme le test de position, seront réalisés auparavant.
Au gré du déploiement de la fibre dans le département.
Si le syndicat mixte Haute-Garonne Numérique a attribué à Altitude Infrastructure, en avril 2018, la Délégation de Service Public (DSP) relative à la construction, l’exploitation et la commercialisation de son réseau FTTH hors métropole toulousaine ,"les premiers câbles de fibre optique vont être déployés dans le département d’ici quelques semaines", rapporte Touléco. Un vaste chantier qui arrivera à terme en 2022 avec pour objectif le déploiement de 278 000 prises raccordables. Plus précisément, « d’ici juin 2019 nous devons en installer 10.000 prises FTTH, puis 100.000 entre 2019 et 2020, 108.000 entre 2020 et 2021 et 60.000 jusqu’en 2022 », a précisé Guillaume Cavalier, directeur général d’Altitude dans les lignes du site d’information. Et d’ajouter que les premières connexions sont prévues pour la mi-2019. Ainsi, à partir de l’été prochain, Free pourra commercialiser ses offres fibre dans les zones concernées, l’opérateur de Xavier Niel ayant signé un contrat-cadre national avec Altitude en juin dernier.
Pour rappel, le déploiement de la fibre en Haute-Garonne résulte d’un schéma directeur d’aménagement numérique (SDAN) lancé par le Conseil départemental en 2016.
Visiter son futur appartement et le louer depuis son canapé, c’est possible avec Flatlooker. Lancée en 2016, cette startup vient de boucler une levée de fonds à hauteur de 1,5 million d’euros auprès d’Ambition Amorçage Angels (F3A) géré par Bpifrance et de business angels comme Kima Ventures de Xavier Niel et Partech.
Concrètement, cette jeune pousse se présente comme une agence de gestion immobilière innovante et dématérialisée qui officie comme intermédiaire entre un propriétaire et son futur locataire. Son objectif est de « simplifier l’accès à la location dans un marché saturé et relativement traditionnel ». Sur cette plateforme, l’essentiel se fait en ligne : du dépôt du dossier à la signature du bail, en passant par la visite ( virtuelle, vidéos 4k, photos 360) et le paiement. De son côté, le propriétaire visualise les candidatures et sélectionne son futur locataire sur son espace en ligne.
Nicolas Goyet, cofondateur et CEO de Flatlooker explique : « alors que de nombreux secteurs sont déjà digitalisés, la location d’un appartement est un processus traditionnellement long avec un niveau de paperasserie élevé. Comme les banques en ligne se sont développées sur les dix dernières années et prennent le pas sur les agences bancaires classiques, nous croyons au modèle de l’agence immobilière 100% digitale. Nous avons aidé plusieurs centaines de propriétaires à louer leurs biens en toute tranquillité. Des centaines de locataires ont trouvé l’appartement de leur rêve à distance, le tout avec une réactivité sans précédent. »
Avec cette levée de fond, Flatlooker prévoit notamment d’élargir son offre de services, le recrutement de salariés ainsi son développement dans les métropoles françaises. Pour l’heure, la startup est seulement active à Paris.