Mois : octobre 2018

Après Orange, Bouygues Telecom annonce avoir signé un partenariat sur la connectivité 5G avec Utac Ceram, le centre français de testing et d’homologation des véhicules autonomes.

Alors que Bouygues Telecom expérimente depuis plusieurs mois la 5G en conditions réelles en France, notamment à Bordeaux, l’opérateur va prochainement déployer sa 5G sur le site d’Utac Ceram, un nouveau centre d’innovation localisé au coeur de l’Autodrome de Linas-Montlhéry en région parisienne, afin de permettre à ce dernier "de mener à bien ses missions de tests et d’homologation des véhicules autonomes et connectés", informe un communiqué.

A noter qu’en février dernier, Orange a également  été choisi par  le service technique français et centre d’essais, comme partenaire connectivité 4G/5G. L’opérateur historique fournira une couverture haut débit 4G+ sur l’ensemble du site et déploiera avec Ericsson une infrastructure mobile expérimentale permettant de tester les fonctionnalités 5G nécessaires aux véhicules autonomes. 

Baptisé "Teqmo", ce site se compose de 12 kilomètres de pistes d’essais associées à des laboratoires modernes (environnement, sécurité, endurance). Il ouvrira ses portes en fin d’année.

 

 

Sans surprise, Google refuse la sanction.

Si la Commission européenne a infligé en juillet dernier une amende record de 4,34 milliards d’euros à la firme de Mountain View pour position dominante de son système d’exploitation Android, Google avait jusqu’à ce mercredi 10 octobre pour faire appel de cette condamnation. Le géant américain aura finalement attendu le dernier moment pour affirmer son refus de passer à la caisse. Dans un email envoyé hier à l’AFP, un porte-parole a annoncé que Google a fait  "appel contre la décision de la Commission européenne sur Android, devant le Tribunal de l’Union européenne". 

Pour mémoire, est reproché à Google de favoriser son système d’exploitation mobile Android par rapport aux autres depuis 2011. La condamnation porte entre autres sur le fait que les fabricants sont obligés de pré-installer Google Search et Google Chrome afin de pouvoir accéder à d’autres application de la firme de Mountain View. La filiale du groupe Alphabet est également accusée de payer les fabricants de smartphone pour qu’ils installent Google Search sur leurs appareils mais aussi de les avoir empêchés de vendre des smartphones tournant sous des systèmes d’exploitation rivaux.  Bruxelles a par conséquent imposé en juillet dernier à Google "de mettre fin à ses pratiques illégales dans les 90 jours» sans quoi le mastodonte américain se verra «infliger des astreintes allant jusqu’à 5% du chiffre d’affaires journalier moyen mondial de sa maison-mère, Alphabet».

 

Comme nous vous l’avons rapporté en début d’année, les opérateurs ont obtenu du gouvernement qu’il ne mette pas aux enchères les fréquences à renouveler en échange d’efforts considérables pour accélérer la couverture mobile du territoire, un accord baptisé « New Deal » a d’ailleurs été trouvé le 14 janvier dernier. Au total, Free, SFR, Bouygues et Orange vont débourser 3 milliards d’euros afin d’en finir avec les zones blanches. Pour ce faire, 20 000 pylônes devront être construits au total, soit 5000 nouvelles zones par opérateur avec un recours à la mutualisation active ou passive.

Parmi ces engagement, il y a celui qui consiste à rendre disponibles les services de voix, SMS (2G/3G) et de très haut débit mobile (4G) sur l’ensemble des axes routiers prioritaires, soit plus de 55 000 km d’axes, avant fin 2020. Est considéré comme axes routiers prioritaires « les autoroutes, les axes routiers principaux reliant, au sein de chaque département, le chef-lieu de département (préfecture) aux chefs-lieux d’arrondissements (sous-préfectures) et les tronçons de routes sur lesquels circulent en moyenne annuelle au moins cinq mille véhicules par jour, tels qu’ils existent au 1er janvier 2018. Si plusieurs axes routiers relient un chef-lieu de département (préfecture) à un chef-lieu d’arrondissement (sous-préfecture), le titulaire est tenu d’en couvrir au moins un. »

Afin de savoir si les routes que vous empruntez sont concernés, l’ARCEP a mis à disposition un carte interactive 

 

Cliquez sur la carte pour y accéder

 

Place au changement au sein de la direction de 42, l’école atypique de codage fondée en 2013 par Xavier Niel.

Ex-directrice de la Web@cadémie, du Samsung Campus de la Coding Academy by Epitech ou encore  à l’origine de la première formation au développement informatique « ambition féminine » en 2016, Sophie Viger a été nommée hier à la direction générale de 42 à Paris et dans la Silicon Valley. Sa mission sera entre autres de poursuivre le développement de l’école de codage dans la capitale en menant à bien un projet existant, celui de doubler la taille de la structure. Cette ancienne développeuse indépendante remplace ainsi Nicolas Sadirac qui de son côté s’en va développer le peer-learning dans les pays émergents.

 

Et je suis extrêmement fière et heureuse de vous rejoindre pour poursuivre le développement de cette merveilleuse école qu’est 42 ! Ping merci à @Xavier75 pour sa confiance et merci à toute l’équipe @42born2code pour votre accueil ! Ça va être de la bombe !!! :)) https://t.co/XdWQIgX5ys

— sophieviger (@sophieviger) 9 octobre 2018

La sortie en France des nouveaux smartphones de Google a été officialisée lors d’un événement à Paris ce mardi 9 octobre. Ils débarqueront donc le 2 novembre.

Lors de sa keynote, le géant californien a présenté plusieurs objets connectés comme le Pixel Stand, les écouteurs Pixel Buds… Mais ce sont les deux smartphones Pixel qui ont fait sensation.

Les prix ont été annoncés et présagent en effet de la qualité des flagships puisque le Pixel 3 sera disponible en deux versions: 859€ pour 64Go, 959€ pour 128Go. Le PIxel 3 XL quant à lui sera vendu à 959€ pour le modèle 64Go et 1059€ pour le modèle 128 Go.

Google a donc dévoilé les caractéristiques techniques de ses nouveaux modèles. Un des arguments massue réside dans l’écran du XL qui serait, d’après le classement DisplayMate Tech, le meilleur écran du marché. Il détrônerait donc l’Iphone XS pour un prix plus bas. Mais qu’en est-il des capacités du smartphone ?

Les deux versions seront respectivement dotées d’écrans Oled de 5.5 pouces et 6.3 pouces pour la version classique et XL. Les flagships seront équipés de processeurs SnapDragon 845 et de 4Go de RAM. Ils embarqueront une batterie respective de 2915 mAh et 3450 mAh et seront étanches.

La firme de Mountain View annonce un appareil photo intelligent avec 12Mpx à l’arrière et 8Mpx à l’avant, une résolution assez basse pour le prix mais au vu de la qualité de l’écran et du processeur, il faudra attendre sa sortie pour se rendre compte du rendu proposé. 

Les deux modèles Pixels sortiront sous Android 9.0, la nouvelle version de l’assistant Google sera installée directement afin de faciliter l’expérience utilisateur. D’autres fonctionnalités sont ajoutées avec notamment (pour l’instant aux USA uniquement) une fonction de réponse aux appels inconnus. Cette option viserait à éviter le telemarketing et autres sollicitations téléphoniques via une intelligence artificielle qui répondrait à la place des utilisateurs. 

Les smartphones sont déjà disponibles en pré-commande en France et seront disponibles le 2 novembre. 

Source : 20 Minutes et Journal du Geek

Depuis l’arrivée d’Iliad, la guerre des prix, que certains analystes ne pensaient pas possible, est à son paroxysme en Italie.

Si certains analystes estimaient que la guerre des prix n’aurait pas lieu, force est de constater qu’elle est finalement intense. Depuis le mois de mai, date du lancement d’Iliad le coût mensuel d’un abonnement est passé de 10,9 euros à 8,7 euros alors que dans le même temps la quantité moyenne de data mensuelle est montée à 18 Go. Sur le front des appels, qu’Iliad propose en illimité, la durée moyenne comprise dans les forfaits a augmenté de 29 %.

Telecom Italia qui peine à rivaliser avec les 50Go de data pour 7,99 euros/mois commence même à miser sur la data en illimitée pour ses clients mobile et fixe. Rien à voir tout de même avec ce que l’on connait chez Free en France. Telecom Italia, en étant client fixe et mobile le programme "Tim Party" permet d’avoir jusqu’à un mois de data illimitée. Les clients récents (depuis un mois), peuvent eux, prétendre à un jour de data illimitée par mois en activant ce programme, ceux clients depuis plus d’un an ont droit à trois jours par mois quant à ceux clients depuis plus de cinq ans Telecom Italia leur offre gracieusement 7 jours de data illimitée par mois.

En parallèle de cette guerre des prix qui devrait se ressentir dans les résultats financiers des opérateurs, il ne faut pas oublier les investissements colossaux pour obtenir les fréquences 5G mises aux enchères. Les mois à venir vont être durs pour le secteur des télécoms en Italie.

 

 

 

 

source : Il Giornale

En juin dernier, Univers Freebox lançait sa chaîne YouTube, avec des formats réguliers et diversifiés, et toujours autour de l’Univers de Free et des Télécom. L’objectif est de vous  de vous proposer des informations, parfois même sous forme ludique, mais avec l’outil qu’est la vidéo. Et il s’agit d’une chaîne non monétisée. Cette semaine, nous faisons gagner 10 T-Shirts aux abonnés à notre chaîne YouTube, qui seront tirés au sort et annoncés vendredi. Pour y participer, il suffit donc de s’abonner à la chaîne

Si vous ne connaissez pas encore la chaîne YouTube d’Univers Freebox, sachez qu’elle vous propose des formats hebdomadaires  :

 

 Vous avez la parole : chaque semaine, on vous interroge sur un sujet d’actualité

 

Les trucs et astuces: chaque semaine, apprenez des choses en vous amusant

 

 Totalement Fibrés: tous les vendredi soir, le condensé de l’actualité de la semaine  

 

Mais également d’autres formats, en fonction de l’actualité

 

Des reportages sur Free et les télécoms

 

Des interviews sur Free et  les télécoms

 

Des émissions spéciales

 

Plusieurs autres formats vous serons également proposés au cours des prochains mois  (tutoriels, formations, tests, etc.)

 

Pour ne rater aucune vidéo et  participer au tirage au sort, abonnez-vous ici

 

 

Altice France a indiqué ce matin signé un accord relatif à l’acquisition de TLM la chaîne de TNT locale lyonnaise afin de  créer BFM Lyon (ou BFM Lyon Métropole). 

Altice France a expliqué avoir pour ambition de construire une chaîne d’information 100% locale. Les studios de la chaîne seront installés à Lyon et accueilleront la rédaction lyonnaise de la chaîne. Altice France s’appuiera sur son expérience en matière d’information en continu, grâce à BFM TV, première chaîne d’info de France, et également sur celle de BFM Paris. L’acquisition de TLM, sous réserve de l’agrément du Conseil supérieur de l’audiovisuel, devrait être finalisée d’ici fin 2018.

Les téléspectateurs auront ainsi accès à une chaîne d’information entièrement dédiée à l’actualité lyonnaise et de la région à travers de grandes thématiques prioritaires comme l’information locale, l’actualité politique, économique, culturelle, sportive et des services de proximité (sorties, loisirs, météo, trafic, etc.) et une boucle d’information mise à jour en temps réel H24.

Alain Weill, Président-Directeur général d’Altice France et fondateur de BFM TV a déclaré à cette occasion « Nous sommes très fiers d’investir à Lyon, un choix porté par le dynamisme de la ville et de la région. Nous connaissons l’importance de TLM dans la vie des Lyonnaises et des Lyonnais. Nous allons mettre toute notre énergie et  notre expérience au service de BFM Lyon pour en faire une chaîne de très grande qualité, au plus près des  attentes des téléspectateurs, des annonceurs et des décideurs lyonnais. »

A noter que TLM est  diffusée actuellement  sur la Freebox, canal 915, mais  rien ne dit que BFM Lyon le sera puisqu’Altice fait déjà payer le signal de BFM Paris aux opérateurs et c’est pour cette raison qu’elle n’est pas disponible chez Free (et chez d’autres opérateurs)

Xiaomi devrait lever le voile sur son prochain terminal haut de gamme, le Mi Mix 3. Cependant, des rendus officiels ont déjà fait leur apparition sur la toile.

La marque chinoise va bientôt présenter sous peu son prochain smartphone haut de gamme. Son plus grand point fort serait son grand écran borderless. Depuis la sortie de sa gamme Mi Mix, le groupe a toujours chercher à étendre la surface d’affichage de ces terminaux en réduisant les bords au minimum. Ce prochain Mi Mix 3 devrait carrément s’affranchir des bandes noires supérieures et inférieures de l’écran.

Ce smartphone étant dépourvu d’encoche les capteurs de façade, généralement placés dans cette dernière, seront logés dans un tiroir situé sur le haut du terminal, à l’instar du Oppo Find X. Cependant, ce dernier devra être déployé à la main.

Le Xiaomi Mi Mix 3 sera animé par un processeur Snapdragon 845, cependant il n’y a pas d’information concernant la partie photo du smartphone. Sa configuration devrait se rapprocher d’un Mi 8 avec notamment un capteur d’empreintes digitales placé sous la dalle, tout comme pour le Mi 8 Explorer.

Le futur terminal devrait être dévoilé le 15 octobre en Chine aux alentours de 430 euros. Xiaomi semble être convaincu que la France représente un marché très intéressant, il est donc possible que ce dernier soit commercialisé dans l’Hexagone bien que la marque n’ait pas encore communiqué à ce sujet. Il va falloir patienter jusqu’à l’annonce officielle de ce modèle pour savoir dans quels autres pays il y sera distribué mais aussi à quel prix.

Source : Génération-NT

 

Retour dans la commune de Vias dans l’Hérault  où une antenne Free Mobile de 40 mètres de haut fait débat depuis quelques mois. Erigé fin juin, ce pylône qui accueillera les équipements d’autres opérateurs d’ici fin 2018, devrait être déplacé sous la pression d’un collectif.

Comme le rapporte Midi Libre, une réunion a récemment eu lieu en mairie entre des membres du collectif de l’Estagnol, accompagnés d’un cadre de l’association Robin des toits, et les représentants de tous les opérateurs (Free, Bouygues, SFR et Orange), sans oublier les élus. Au programme  de cette rencontre, l’obligation de retrait des antennes des opérateurs sur le château d’eau de la commune et surtout la grogne des riverains au sujet de l’antenne Free Mobile située à moins de 100m des habitations. Motivé par son désir de voir cette installation "disparaître l’antenne-relais de son environnement immédiat", le collectif a pris appui sur le principe de précaution avant de mettre sur la table ses arguments, comme le risque sanitaire et "des anomalies" dans le dossier du projet. 

De son côté, le maire, à l’écoute de ses administrés et conscient de la nécessité d’un réseau mobile décent, a décidé de soumettre aux opérateurs différents emplacements en s’engageant à prendre en charge le financement du déplacement de l’antenne. Seul hic, "les délais d’instruction annoncés par opérateurs seraient de l’ordre de 24 mois", rapporte enfin le quotidien régional.