Aujourd’hui a eu lieu l’inauguration des deux premiers sites 4G mutualisés à quatre opérateurs en présence de Didier Casas, Président de la Fédération Française des Télécoms, des représentants des opérateurs de téléphonie mobile et de Julien Denormandie, Secrétaire d’État auprès du Ministre de la Cohésion des territoires
En janvier dernier le gouvernement et les opérateurs ont signé un accord dans le but de résorber les zones dites blanches où la couverture mobile laisse à désirer et dans le même temps à généraliser la 4G. Ainsi l’accord prévoit notamment pour améliorer la couverture de construire pour chacun des opérateurs au moins 5000 nouveaux sites sur tout le territoire.
Mutualisation à 4 opérateur :une première
Ces deux inaugurations sont les premières illustrations concrètes de l’accord historique, signé en janvier dernier, entre les opérateurs et les pouvoirs publics pour accélérer la couverture mobile dans les territoires, qui prévoit notamment le passage en 4G de l’ensemble des communes du programme « Zones blanches – centres-bourgs » (ZBCB). Cette première étape de qualification technique est décisive et permettra aux opérateurs d’industrialiser dans les prochains mois le processus de déploiement de la 4G dans les zones blanches, en lien étroit avec les collectivités locales.
La mutualisation des installations est réalisée au travers de la technologie de Ran Sharing 4G et sa mise en œuvre par les quatre opérateurs est sans équivalent dans les autres pays précise la Fédération.
Le point sur la couverture des zones blanches au niveau national
Au 31 mars 2018, toutes les communes « zones blanches » qui disposaient d’un pylône – à savoir 3 307, sur les 3 856 inscrites dans le programme – parmi lesquelles 1 264 communes de montagne – bénéficiaient de l’internet mobile de manière mutualisée.
Pour les 549 communes restantes et situées en « zones blanches », l’urgence est à la construction des pylônes. Sur les 549 communes, 318 communes ont intégré la nouvelle liste des 485 communes, prises en charge à 100 % par les opérateurs et 231 communes ont décidé de conserver la maîtrise d’ouvrage publique : co-financement État, collectivités et opérateurs.
si seulement on pouvait avoir ça partout plutot que galérer en itinérance ou attendre un pseudo pylone qui sera mis en cause par des fanatiques anti ondes
Cela dépend de la méthode de mutualisation, mais en gros, si il n'y avais que de la mutualisation, il n'y aurais plus de concurrents, car peut importe l’opérateur, ce serait la même qualité de réseau.
Alors que sans mutualisation, si telle opérateur veux ou non couvrir telle ou telle ville, ceux qui habite prêt de ces antennes prendrons que l’opérateur que vous captez (en gros, car il y a d'autre raison de choisir tel ou tel opérateur, mais en gros sa peut donner ce que je dit).
C'est pour cela que la mutualisation en campagne est quelques choses de logique, car peut de gens a couvrir par rapport au cout d'une antenne (et donc un avantage dans les zone blanche si "les frais sont divisé par 4" ect)
sauf que la dans l'idée y a qu'un pylone mais quand même chacun son antenne
Pas faux ! Sauf que j'aimerai connaitre la bande passante allouée pour chacun, car si on double ou triple ou quadruple le nombre de connexions sans augmenter la bande passante...les débits seront vraiment très réduits, et en théorie réduits par 4 pour une quadruple mutualisation...
Mais bon, mieux vaut pas grand chose que rien du tout ? ...
J'ai bien préciser en fonction de la méthode du mutualisation utiliser.
Et puis si on utilise l'une des méthodes de mutualisation de manier a ce que "chaque opérateur mets le nombre de fréquences qu'ils veulent", cela reviens a dire que c'est celui qui a payer le plus chers pour avoir le plus de spectre qui sera de meilleur "qualité" que sont concurrent.
Par exemple a une époque SFR avais une très bonne 3g (par rapport a ces concurrents), la fameuse 3g "dual carrier"... (dépassé maintenant par rapport a la 4g ect).
Le nombre d'antenne en un même point est limité. 4 opérateurs = 4 x plus d'antenne : cela marche donc bien en zone peut dense...
De plus, il devient difficile de faire des connexion directionnelle (à vue) entre les même antennes à plusieurs opérateurs... (toutes les antennes ne sont pas relié à un réseau terrestre)
Chaques opérateurs a payé cher (plusieurs milliards) pour avoir sa fréquence (et certain plus cher que d'autres). C'est pas pour voir des romano squatter leur fréquences
Tu parles des FH? Dans le cas des sites ransharing cela n'est pas le problème, il y a la même collecte pour tout le monde. Par contre en zone dense, c'est sûr que le ransharing serait plus compliqué.