
Vous pouvez dès à présent découvrir gratuitement Society+ sur votre Freebox, mais vaut-elle le coup ? Univers Freebox vous propose un tour d’horizon de la plateforme.
Depuis jeudi dernier, la plateforme Society+ a été lancée sur de nombreux supports, dont les box de Free et Orange. Une toute nouvelle offre SVOD qui entend proposer uniquement des documentaires qualitatifs, avec un catalogue s’enrichissant chaque mois d’à minima deux nouveaux documentaires par mois. Pour ne rien gâcher, elle est proposée sur toutes les Freebox (à l’exception de la Freebox Crystal) avec une période d’essai de sept jours, puis à un prix de 4.99€/mois.
Avec son catalogue de plus de 200 documentaires, que vaut ce tout nouveau service ? Univers Freebox vous propose une découverte de Society+, pour mieux connaître le service et possiblement s’y essayer.
Découverte de la plateforme
Vous pouvez retrouver Society+ dans la rubrique VOD d’Oqee ou dans le vidéo-club de votre player Freebox Révolution ou Delta. L’avantage étant que vous n’avez pas à vous abonner au préalable pour parcourir le catalogue et voir ce qu’il propose.
L’interface du service est assez sommaire, vous y trouverez un carrousel des programmes mis en avant par la plateforme pour démarrer, puis un enchaînement de ligne abordant diverses thématiques.
On peut par exemple retrouver les contenus liés aux magazines So Foot ou Tsugi, qui appartiennent au même groupe que Society, mais aussi des thématiques beaucoup plus précises et souvent avec un titre tourné de manière assez humoristique, ou du moins, un titre de rubrique qui attire l’oeil.
Une fois le programme qui vous intéresse choisi, vous pourrez cliquer dessus et vous abonner directement en suivant la démarche inscrite sur votre écran pour activer vos 7 jours gratuits. Si jamais vous n’êtes pas convaincus, rappelez-vous de vous désabonner avant la fin de la période promotionnelle, sous peine de vous voir facturer 4.99€ pour le premier mois.
Que peut-on retrouver sur Society + ?
Si la plateforme s’est spécialisée dans les documentaires, les thématiques abordées sont extrêmement variées. On peut ainsi s’interroger sur le Temple Satanique (Hail Satan ?), ou choisir de découvrir l’histoire des baskets Air Jordan, voire suivre la vie de l’acteur Val Kilmer dans Val. Sans compter les collections dédiées au sport ou a la musique.
Le concept de Society+ s’articule autour de trois “H” : histoire, humain et humour. D’où des thématiques sociales abordées, mais aussi des situations qui peuvent paraître assez loufoques, ou parfois au contraire très émouvantes. Voici quelques synopsis de programmes proposés par la plateforme et comme vous pouvez le voir, il y en a pour tous les goûts :
- Le match de leur vie :
En 1966, la Corée du Nord participe pour la première fois à la Coupe du monde et surprend en battant l’Italie, atteignant les quarts de finale où elle défie le Portugal. L’équipe devient populaire à Middlesbrough, et en 2002, une équipe de télévision retrouve les joueurs à Pyongyang. - La fureur du grillon :
En Chine, les combats de grillons sont une tradition millénaire, attirant plus de 6 millions de passionnés. Ces insectes sont élevés et entraînés comme des athlètes, et certains peuvent valoir jusqu’à 15 000€, faisant de ce sport un véritable phénomène de société. - Dans la peau d’un gourou :
Le journaliste Constantin Simon se fait passer pour un gourou lors du Kumbh Mela, le plus grand rassemblement religieux au monde. Durant deux mois, il découvre les vérités sur la spiritualité en Inde, et en particulier sur le rôle des sadhus, des gourous qui vivent dans la simplicité. - Kelly Fraser, l’étoile polaire :
Kelly Fraser, chanteuse inuite, réinterprète des hits mondiaux en inuktitut pour préserver la culture de son peuple. Avec des vidéos virales sur YouTube, elle devient une figure marquante avant de décéder, ayant dédié sa musique à redonner fierté à sa communauté. - Gare au gourou !
Gurmeet Ran Rahim, gourou avec 50 millions d’adeptes, est une figure controversée de l’Inde. Il est à la fois une star de cinéma et un leader spirituel, mais son empire cache de sombres histoires, y compris des castrations forcées de ses adeptes et des liens politiques inquiétants. - Conspiration 58 :
Un faux documentaire suédois de 2002 prétend que la Coupe du monde 1958 n’a jamais eu lieu, mais a été entièrement filmée dans des studios hollywoodiens, une critique du révisionnisme historique et de la manipulation des sources médiatiques. - Seul en mer :
Romain Bolzinger réalise son rêve en participant à la mini-transat, une course à la voile extrême de La Rochelle à la Martinique, en solitaire et sans assistance. Son aventure de plusieurs mois est marquée par des défis imprévus et des moments de pure adrénaline.
Verdict : un service prometteur
Society+ est encore extrêmement jeune, puisqu’il n’a été lancé que la semaine dernière, mais le moins que l’on puisse dire est qu’il est plein de promesses. La variété des sujets et les approches assez novatrices du genre du documentaire pourront séduire plus d’un curieux. Cependant, il faut mettre cela en perspective avec le prix de la plateforme, à savoir 4.99€/mois.
L’appréciation du prix est propre à chacun sur ce point, certains jugeront que 200 documentaires, parfois assez courts, ne justifient pas ce tarif. D’autres considèreront que payer l’abonnement permettra aussi d’aider la plateforme à se développer. D’autant que l’abonnement est sans engagement, ce qui peut permettre de lui laisser une chance pendant quelque temps et de résilier si la proposition ne vous plaît plus.
Commentaires
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