L’application promet aux utilisateurs de WhatsApp de voir la vie en rose, mais leur causera surtout des problèmes.
Le succès des messageries instantanées est une vraie aubaine pour les pirates. Certains surfent d’ailleurs sur la popularité du service WhatsApp pour diffuser un malware, comme l’a repéré le chercheur en sécurité informatique Rajshekhar Rajaharia.
Beware of @WhatsApp Pink!! A Virus is being spread in #WhatsApp groups with an APK download link. Don’t click any link with the name of WhatsApp Pink. Complete access to your phone will be lost. Share with All..#InfoSec #Virus @IndianCERT @internetfreedom @jackerhack @sanjg2k1 pic.twitter.com/KbbtK536F2
– Rajshekhar Rajaharia (@rajaharia) April 17, 2021
Un lien partagé sur les réseaux sociaux et sur les forums invite en effet à télécharger l’APK d’une application WatsApp in Pink, présentée comme une alternative à l’application officielle et censée donner accès à un thème rose. Sauf que, comme vous l’aurez compris, l’internaute se retrouve à installer un logiciel malveillant, avec le risque d’une prise de contrôle à distance et d’une perte de ses données personnelles.
De manière générale, il vaut mieux rester méfiant face aux liens de téléchargement (voir notre article sur l’usage de Discord et Slack) et se rendre directement sur la plate-forme de téléchargement officielle pour y chercher soi-même l’application. Cela n’annule pas totalement le risque de tomber sur une application vérolée, mais le réduit grandement. Certains passent en effet entre les mailles du filet.
Source : La Dépêche
Quelle idée aussi
Stéphane_pink en sueur
J'ai l'impression que j'ai marqué ton esprit !? ... non ?
Désolé, mais j'utilise SIGNAL depuis que j'ai reçu ceci :
Voilà LA solution :
Ah ah ah ah !
Donc pas de sueur chez moi, que du bonheur !
facebook ou assimilé sont par nature un malware
Doublé d'une dictature
Ce qu'ils ont fait en Australie est tout simplement inacceptable, et tout citoyen responsable devait quitter facebook (et leur produits derivés, whatsapp & co)
Pour mémoire:
Le gouvernement Australien voulait obliger facebook à rémunérer les journaux dont ils publiaient des extraits.
Facebook a décrété que non, que le fait de publier des articles faisaient de la pub gratuite au journal et que ca suffisait comme payment.
Le gouvernement alors proposé une loi pour les obliger à payer, ce à quoi facebook a répliqué en censurant tous les journaux australiens jusqu'à ce que le projet de loi soit retiré.
oui, sans compter les censures dès que vous ne partagez pas les idées de Mark
Ce sont clairement des gens dangereux , adeptes d'une pensée unique , cherchant à censurer tout ce qui ne va pas dans leur conception des choses
Comme par exemple ?
Parce que les gens qui partagent de la merde (et avec le covid on en a eu pas mal depuis un an), se font signaler et supprimer leurs conneries, ouis viennent crier à la censure, j'en ai vu quelques uns
En fait facebook est peuplé de beaucoup d'idiots, qui partagent un message sur un sujet qu'ils ne connaissent pas en pensant le maitriser (effet dunning-kruger) et du coup propagent de bonne fois des conneries
L'exemple le plus frappant a été l'histoire du brevet de sanofi sur lecoronavirus, comme quoi ils l'auraient inventé (la preuve, il y a un brevet ou c'est marqué qu'ils ont "inventé le coronavirus" )
Sauf que dans un brevet, le mot "inventeur" est utilisé aussi bien quand on invente un truc ou qu'on le découvre.
Donc ce brevet couvre en fait la découverte d'un virus et non sa "creation en laboratoire pour pouvoir ensuite nous vendre le vaccin" (chose amusante, si sanofi avait réelement fait ca, ils sont tres nuls puisque ce sont les seuls à ne pas avoir encore sorti de vaccin)
Et dernier point, ce brevet concerne le Coronavirus SRAS-Cov (le SRAS de 2002) et pas le Coronavirus SRAS-Cov2 (et oui, "coronavirus" c'est pas un seul virus, mais une famille)
c'est exactement cela.
on peut rajouter l'avidité..prêt à faire du pognon à tout prix..ce qui les amène à être dans "le même temps" pour ratisser large auprès des différents segments (même les plus communautaires)