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"42" a de l’ambition et compte bien former des développeurs sur toute la planète. Six ans après sa création à Paris et seulement trois avec l’ouverture d’une petite soeur aux USA, l’école de codage atypique de Xavier Niel poursuit sa vision fondatrice et annonce le lancement de 42 Network, premier réseau international de formations aux métiers informatique, accessibles à tous gratuitement.
C’est de notoriété publique, 42 attire le regard et les sollicitations en dehors des frontières françaises, des partenariats ont déjà été noués en Belgique (19), au Maroc (deux franchises 1337), en Finlande (Hive), aux Pays-Bas (Codam) ou encore en Russie (School 21). En lançant 42 Network, l’école de codage sans diplôme, ni professeur et sans limite d’âge, franchit une nouvelle étape de son histoire avec à l’horizon 2020, la sortie de terre de 11 nouveaux campus à travers le monde comme en France à Angoulême, au Brésil (Rio et Sao Paulo), en Indonésie (Jakarta), Arménie (Yerevan), au Japon (Tokyo), en Colombie (Bogota), en Espagne (Madrid), au Canada (Quebec) et en Russie avec deux nouvelles franchises (Kazan et Novossibirsk).
Appliquer les méthodes qui ont fait son succès
L’ambition est aujourd’hui clairement affichée, à savoir continuer de mettre l’accent sur l’ouverture social et l’égalité des chances en formant des développeurs à l’étranger via une formation unanimement reconnue, d’une durée de 3 à 5 ans, gratuite et innovante, basée sur le peer-to-peer learning. En 2020, 42 sera présent dans 14 pays et revendiquera 20 campus avec une prévision de 10 000 étudiants formés par le réseau en 2020 et 15 000 dans les 3 prochaines années contre 7000 actuellement. « Programmation, réseaux, sécurité, la pénurie de profils qualifiés est criante partout dans le monde avec des dizaines de millions de compétences activement recherchées. Si notre ambition a toujours été de former les meilleurs développeur du monde, aujourd’hui nous allons un cran plus loin, forts d’une visibilité et d’une reconnaissance sans frontière », résume Sophie Viger, directrice générale de 42.
Plus concrètement, tous les campus partenaires utiliseront le même processus de sélection ainsi qu’un tronc commun ou socle de compétences et de connaissances fondamentales pour former de bons développeurs, le tout sous l’égide de 42 Paris, via une charte commune de pratiques et valeurs partagées.
Mieux encore, ce nouveau réseau international qui devrait après 2020 s’enrichir de 10 nouveaux campus par an, prendra la forme d’un véritable hub d’innovation mondial. « Parce que dans un environnement numérique mondialisé, presque sans frontières, acquérir une expérience internationale est devenu indispensable », 42 encourage ainsi la mobilité des étudiants. Une fois les fondamentaux acquis, ces derniers pourront postuler dans n’importe quelle école du réseau, tout en continuant à bénéficier de la même pédagogie. Cela s’illustrera par la mise en place de projets intercampus leur permettant de « se confronter à des expériences permises jusqu’ici uniquement dans l’univers professionnel, comme par exemple des collaborations avec des partenaires issus de cultures de travail multiples et sur des fuseaux différents».
L'école 42 bientôt au Japon, trop bon !!!
Bizarre même pas une école 42 en Australie il y a pas que des kangourou la bas lol
qui a fait son succès ? D'après quels critères ?
En fait a t on entendu parler d'une seule personne issue de l'école d'origine et qui ait chamboulé le système , sorti du code extraterrestre ?
que sont devenus ces gens qui suivi le cursus ?
Free en a t il embauché ?
etc.
Une école qui sélectionne sans diplôme sur la base des seules compétences dans le domaine concerné, ça va faire un choc dans un pays où tout le système scolaire applique une sélection tellement rigide que même le tout début de la scolarité est déterminant pour l'avenir des élèves, au point qu'il y a des classes préparatoires à l'entrée en maternelle (oui, au Japon, les maternelles sont sélectives?!)
Il parait qu'il y en a quelques-uns qui ont vraiment réussi et que la plupart ont trouvé du boulot.
Le fait est que le système scolaire, en France comme ailleurs, est trop rigide pour certains, et 42 c'est toujours mieux que rien pour les rejetés du système. Ça permet d'apprendre un travail qualifié, avec un marché de l'emploi dynamique et payé correctement.
Évidemment, ça ne vaudra jamais une de nos grandes écoles, mais ces dernières gagneraient sûrement à s'inspirer des méthodes de 42.
D'ailleurs, c'est justement en train de s'améliorer, lentement mais sûrement, malgré les coupes budgétaires et la politique désastreuse des gouvernements successifs. Il faut dire que le gouvernement ne contrôle pas les grandes écoles et l'université d'une manière aussi stricte que l'éducation nationale, ce qui permet d'échapper aux lubies réactionnaires d'individus comme Blanquer (qui d'ailleurs n'y connait rien à l'éducation; il est juriste de formation et n'a jamais enseigné ni dans le primaire ni dans le secondaire).
L'éducation nationale en revanche, est en perdition. La folie réactionnaire de Blanquer (celui-là, si je lui mets la main dessus, je lui fais recopier un million de fois "Je ne dois pas détruire le système éducatif du pays.") risque de mettre sur le carreau tous ceux qui ne rentreront pas dans le bon moule, rendant une école comme 42 d'autant plus nécessaire.
L'innovation en matière pédagogique est une très bonne chose. Il est regrettable que celle-ci doivent passer par le privé à cause du conservatisme généralisé en matière d'enseignement. Cependant, mieux vaut une innovation privée que pas d'innovation du tout. Et si quelqu'un est à blâmer pour le succès de l'enseignement privé, ce n'est pas l'homme d'affaire qui innove dans le privé mais le politicien/haut-fonctionnaire/électeur qui refuser d'innover dans le public.
En plus, Niel a rendu son école gratuite, ce qui n'est pas toujours (ça dépend des bourses) le cas de l'université en France (à l'exclusion des rares écoles qui paient leurs étudiants), on va plutôt dans le sens contraire! (il faut être idiot pour croire qu'on va améliorer le rayonnement international de notre système universitaire en faisant payer nos visiteurs étrangers)
Au passage, on n'impose pas à 42 de fusionner avec d'autres établissements locaux pour améliorer sa visibilité. D'ailleurs l'École Normale Supérieure, premier établissement français, était carrément mieux classée au QS seule que le groupement qu'on lui a imposé (je ne parle pas du taux d'obtention de prix Nobel, l'École est juste première mondiale, largement devant Caltech et Harvard ; ce qui n'est évidemment pas le cas des groupements), donc niveau montée dans les classements internationaux, elle repassera Vidal! (celle-là, je lui fais refaire à la main tous les satanés classements dont elle nous rebat les oreilles!)
Bref, 42 est une très bonne chose, qui offre une chance à ceux que l'éducation nationale a rejeté et donne l'occasion de se poser des questions sur les politiques désastreuses menées de nos jours en matière d'enseignement.
Si j'ai bien compris, ces 11 autres "42" qui s'ouvrent à l'étranger sont des franchises. Mais une franchise ça rapporte de l'argent, au franchisé comme au franchiseur. Alors, 42 étant gratuite, d'où vient l'argent ? Quelle est le modèle économique de cette école ?
Cherche l'info mais elle est chaude a trouver puisqu'en France ça reste une association, par contre les partenaires sur le site c'est que du mastodonte... Ca fait bien de donner à une association ;)
Bon ben GROS MERDE a tous les futurs élèves !!!
Et bonne continuation a 42 Network !
(Ps: qui finance les ecoles ? L’autre jour il avait ete dit que Telefonica/movistar financait en Espagne et Brésil... et ailleurs?!? Quels sont les partenaires ?)