Pour Orange, “il n’a jamais été question d’une fusion avec Free” mais une alliance serait envisageable

Pour le PDG d’Orange, il y a un acteur de trop sur le marché des télécoms. Si consolidation il y a, ce sera sans l’opérateur historique. Celui-ci pencherait en revanche plus pour une collaboration avec Free.

La consolidation est sur toute les lèvres depuis peu. La valse des rumeurs au sujet du rachat de SFR par Bouygues est inlassable et cela se précise à en croire le Canard Enchaîné, le palmipède révélant hier une rencontre agrémentée de propositions entre Martin Bouygues et Patrick Drahi et des négociations entamées. Ce scénario prend de plus en plus forme, un retour à trois opérateurs sera à n’en pas douter un sujet important en 2018 comme l’a présagé Xavier Niel en mars dernier. Le nouveau positionnement de l’Arcep vient de surcroît se joindre au mouvement, le régulateur accueillera désormais avec bienveillance un projet de consolidation. Même s’il est catégorique sur le fait qu’Orange ne sera aucunement concerné, Stéphane Richard estime "qu’il y a un opérateur de trop" et s’en est expliqué le 6 juin dernier dans les lignes de Sud-Ouest : " au regard de la taille du marchais français, des investissements nécessaires pour la fibre et la 5G, il sera de plus en plus compliqué de trouver un équilibre viable à quatre" a t-il assuré. Sans oublier que les mauvaises passes se suivent et ce à tour de rôle pour les opérateurs, Bouygues, puis SFR et maintenant Free. Le constat est le suivant pour Stéphane Richard, "au moins deux opérateurs produisent aucune valeur, puisque le cash flow dégagé après investissement est nul ou négatif".

Interrogé sur ce qu’il va se passer à l’avenir, le patron d’Orange, reconduit le mois dernier pour un troisième mandat, a plusieurs certitudes et convictions, "il n’a jamais été question qu’Orange fusionne avec Free", a t-il répondu d’entrée de jeu, l’Arcep l’interdirait. Pour rappel, une rumeur faisait état en 2016 de discussions allant dans ce sens en 2016, des allégations aussitôt démenties par Free.

Après le rachat avorté de Bouygues en 2016, Orange ne souhaite donc plus fusionner avec l’un de ses rivaux, "cela se passera entre deux des autres opérateurs". Prenant exemple sur SFR et Bouygues qui partagent leurs réseaux, Stéphane Richard a toutefois confié que si une collaboration venait à voir le jour prochainement, ce serait avec Free. L’opérateur historique et celui de Xavier Niel ont déjà un accord d’itinérance 2G/3G qui arrivera à échéance en 2020. A noter que d’après BFM Business, nouvel accord entre les deux acteurs, cette fois de mutualisation sur la 4G, serait dans les tuyaux. Lequel comprendrait un partage des infrastructures d’Orange et la co-construction de milliers de sites en zones rurales.

 

Commentaires



  • C'est quoi un opérateur de trop M. Richard ?
    Pour mémoire tous les opérateurs français dégagent des EBITDA-Capex positifs. En termes économiques (et réglementaires), il n'y a donc aucune nécessité de concentration. Si le cash-flow après investissement est négatif, c'est uniquement parce que certains opérateurs ont fait le choix de structures financières irréalistes qui génèrent des frais financiers inadaptés a ce métier. Quant à l'argument de l'investissement (aujourd'hui dans la 5G et la fibre), ce n'est que le recyclage de celui d'il y a presque dix ans ("la 4G et la fibre, mon brave monsieur").

    Il doit trouver que le bon vieux temps des marges d'EBITDA de 40% et 8% de capex, c'était vraiment très très bien....




  • "Il n'a jamais été question", c'est du passé...

    Quand la part de l'état sera revendu à Bolloré alors qu'il sera rentré avec canal et la fibre en Afrique, tu seras un simple exécutant du plan machiavélique des 2 ennemis de bouygues !! avec l'appuie de Macron le grand copain du fiston...


  • Michael Good a écrit
    C'est quoi un opérateur de trop M. Richard ?Pour mémoire tous les opérateurs français dégagent des EBITDA-Capex positifs. En termes économiques (et réglementaires), il n'y a donc aucune nécessité de concentration. Si le cash-flow après investissement est négatif, c'est uniquement parce que certains opérateurs ont fait le choix de structures financières irréalistes qui génèrent des frais financiers inadaptés a ce métier. Quant à l'argument de l'investissement (aujourd'hui dans la 5G et la fibre), ce n'est que le recyclage de celui d'il y a presque dix ans ("la 4G et la fibre, mon brave monsieur"). Il doit trouver que le bon vieux temps des marges d'EBITDA de 40% et 8% de capex, c'était vraiment très très bien....

    Bien sûr que les 4 font du bénéfice net (5% du CA pour les 3 ancien et 9% pour free (iliad))

    Donc en toute logique une entreprise qui fait de bénéfice c'est censé être un indicateur de bonne santé. Donc on ne devrait pas s'en inquiéter.

    Sauf que la bourse et les spéculateurs s'en mêlent. Comme Altice et Iliad ont perdu la moitié de leur valorisation en bourse et que orange a perdu 6%, il faut donc flinguer un des 4 pour libérer de la place aux spéculations au détriment des salariés et des clients.



  • Michael Good a écrit
    C'est quoi un opérateur de trop M. Richard ?Pour mémoire tous les opérateurs français dégagent des EBITDA-Capex positifs. En termes économiques (et réglementaires), il n'y a donc aucune nécessité de concentration. Si le cash-flow après investissement est négatif, c'est uniquement parce que certains opérateurs ont fait le choix de structures financières irréalistes qui génèrent des frais financiers inadaptés a ce métier. Quant à l'argument de l'investissement (aujourd'hui dans la 5G et la fibre), ce n'est que le recyclage de celui d'il y a presque dix ans ("la 4G et la fibre, mon brave monsieur"). Il doit trouver que le bon vieux temps des marges d'EBITDA de 40% et 8% de capex, c'était vraiment très très bien....

    Tu ne serais pas content d'avoir la fibre un peu plus rapidement? La 5G prête avant les autres pays (ça ne sert pas juste à rien, ça sert aussi à ce que par exemple les constructeurs automobiles puissent l'utiliser et éventuellement être source de rayonnement à l'étranger, en gros c'est un gain de compétitivité pour les autres secteurs d'être en avance dans les télécom.

    Il n'y a à mes yeux aucun intérêt d'avoir 4 réseaux mobiles, 2 seraient largement suffisant. Après l'exploitation commerciale peu importe, il peut y avoir 2 ou 4 acteurs, mais des réseaux l'intérêt est très limité, et source d'inefficiences. Construire 4 antennes quand on peut en mettre que 2, c'est inutile. Par contre s'il n'y a que 2 opérateurs physiques, ça veut aussi dire 2x plus de spectre pour ces deux acteurs, et donc des meilleurs débits pour tous.

    Avoir des opérateurs en forme veut aussi dire qu'ils vont aller investir à l'étranger, et dans le cas contraire c'est eux qui se feront racheter par des groupes étrangers. Je préfère avoir une belle boite francaise qui rayonne à l'international et paye ses impôts en france, a son siège social en France avec tous les emplois que ça implique, que des filiales de groupes étrangers qui pompe le fric et remontent les dividendes et impôts à l'étranger.


  • J'espère que si mutualisation il y a, ce sera une vraie mutualisation (pas type itinérance), ou alors une mutualisation type SFR/Bouygues (équipements actifs en double, mais maintenus par une même équipe).




  • jinge333 a écrit
    J'espère que si mutualisation il y a, ce sera une vraie mutualisation (pas type itinérance), ou alors une mutualisation type SFR/Bouygues (équipements actifs en double, mais maintenus par une même équipe).

    Bonjour jinge333

    S'il est bien question de la proposition Orange, il n'y a aucun doute. Il s'agit de la mutualisation des pylônes et équipements passifs. Ça comprend l'électricité, ce genre de choses, mais pas de ran-sharing ni de partage d'équipements actifs, à la différence des sites de l'accord entre ByT et SFR.

    En principe, ce sont les sites zones grises définis par l'ARCEP qui sont concernés. C'est déjà ce qui se fait ailleurs assez couramment, là il s'agirait d'un accord à grande échelle et non le la procédure habituelle de demandes site par site, et rien n'exclus (au contraire) la construction mutualisée de nouveaux sites. Cette construction mutualisée est simplifiée s'il y a accord entre au moins 2 opérateurs, et ce serait une économie pour les 2 pour tenir les engagements demandés.


  • sicoreme a écrit
    C’est Donc pour çà l’annonce de la VoLTE prochaine chez Free En mutualisant avec Orange le résultat est garanti  d’avance!!!!

    La VoLTE est une obligation imposé par le gouvernement suite aux derniers deals avec les opérateurs. Les opérateur s’engament à couvrir les zone blanche, proposer la VoLTE et des box 4G et en contre partie l'état leur renouvelle les licences gratuitement.

    Donc free va le proposer, car il a tout simplement le couteau sous gorge !!! laughing


  • jinge333 a écrit
    Michael Good a écrit C'est quoi un opérateur de trop M. Richard ?Pour mémoire tous les opérateurs français dégagent des EBITDA-Capex positifs. En termes économiques (et réglementaires), il n'y a donc aucune nécessité de concentration. Si le cash-flow après investissement est négatif, c'est uniquement parce que certains opérateurs ont fait le choix de structures financières irréalistes qui génèrent des frais financiers inadaptés a ce métier. Quant à l'argument de l'investissement (aujourd'hui dans la 5G et la fibre), ce n'est que le recyclage de celui d'il y a presque dix ans ("la 4G et la fibre, mon brave monsieur"). Il doit trouver que le bon vieux temps des marges d'EBITDA de 40% et 8% de capex, c'était vraiment très très bien....
    Tu ne serais pas content d'avoir la fibre un peu plus rapidement? La 5G prête avant les autres pays (ça ne sert pas juste à rien, ça sert aussi à ce que par exemple les constructeurs automobiles puissent l'utiliser et éventuellement être source de rayonnement à l'étranger, en gros c'est un gain de compétitivité pour les autres secteurs d'être en avance dans les télécom. Il n'y a à mes yeux aucun intérêt d'avoir 4 réseaux mobiles, 2 seraient largement suffisant. Après l'exploitation commerciale peu importe, il peut y avoir 2 ou 4 acteurs, mais des réseaux l'intérêt est très limité, et source d'inefficiences. Construire 4 antennes quand on peut en mettre que 2, c'est inutile. Par contre s'il n'y a que 2 opérateurs physiques, ça veut aussi dire 2x plus de spectre pour ces deux acteurs, et donc des meilleurs débits pour tous. Avoir des opérateurs en forme veut aussi dire qu'ils vont aller investir à l'étranger, et dans le cas contraire c'est eux qui se feront racheter par des groupes étrangers. Je préfère avoir une belle boite francaise qui rayonne à l'international et paye ses impôts en france, a son siège social en France avec tous les emplois que ça implique, que des filiales de groupes étrangers qui pompe le fric et remontent les dividendes et impôts à l'étranger.

    Bonjour jinge333,

    le meilleur exemple du "rayonnement à l'étranger" à l'étranger que vous évoquez est le rachat d'Orange UK pour 50 milliards d'euros, dont nous connaissons tous les résultats dramatiques (valeur de sortie de la participation dans EE à 8 milliards d'euros). Plus récemment, M. Richard s'est fait remarquer par son brillant investissement au Maroc (plus de 50% de pertes depuis), ou encore le prix extravagant pour Jazztel en Espagne.

    Quant on gagne trop bien sa vie, les investissements qui en résultent (ici, à l'étranger) sont très souvent désastreux.

    L'investissement dans les réseaux, comme le rappelle souvent la commissaire européen, Mme Vestager, est motivé par la concurrence, pas par la réduction du nombre d'acteurs. Pour prendre un exemple français, ce n'est probablement pas un hasard que les groupes français aient investi relativement rapidement dans la 4G, alors que l'investissement dans la 3G avait été particulièrement lent (engagements de couverture non respectés), avec un opérateur mobile de moins. 

    Quant à l'intérêt national, il me semble tout à fait primordial que les clients particuliers, mais aussi les entreprises françaises disposent de services de télécommunications de qualité à des prix raisonnables (par exemple, pas ceux que les trois opérateurs mobiles pratiquaient avant l'arrivée de Free Mobile). C'est une condition pour pouvoir être compétitif. C'est d'ailleurs un critère que de nombreux groupes étrangers examinent lorsqu'il s'agit de s'implanter en France.


  • PPTOTO a écrit
    sicoreme a écrit C’est Donc pour çà l’annonce de la VoLTE prochaine chez Free En mutualisant avec Orange le résultat est garanti  d’avance!!!! La VoLTE est une obligation imposé par le gouvernement suite aux derniers deals avec les opérateurs. Les opérateur s’engament à couvrir les zone blanche, proposer la VoLTE et des box 4G et en contre partie l'état leur renouvelle les licences gratuitement. Donc free va le proposer, car il a tout simplement le couteau sous gorge !!! 

    non. C'est juste un intérêt financier, mais pas plus. 

    Dire que free a le couteau sous la gorge, c'est très exagéré. Aucun opérateur n'est d'ailleurs dans cette situation. 



  • PPTOTO a écrit
    sicoreme a écrit C’est Donc pour çà l’annonce de la VoLTE prochaine chez Free En mutualisant avec Orange le résultat est garanti  d’avance!!!! La VoLTE est une obligation imposé par le gouvernement suite aux derniers deals avec les opérateurs. Les opérateur s’engament à couvrir les zone blanche, proposer la VoLTE et des box 4G et en contre partie l'état leur renouvelle les licences gratuitement. Donc free va le proposer, car il a tout simplement le couteau sous gorge !!! 

    L'obligation porte sur la VoWifi et la voix sur SMS d'ici 2019. Dans l'accord, Free peut proposer à la place une offre Femtocell apportant un service équivalent. La VoLte n'a rien à voir.




  • Michael Good a écrit
    Bonjour jinge333, le meilleur exemple du "rayonnement à l'étranger" à l'étranger que vous évoquez est le rachat d'Orange UK pour 50 milliards d'euros, dont nous connaissons tous les résultats dramatiques (valeur de sortie de la participation dans EE à 8 milliards d'euros). Plus récemment, M. Richard s'est fait remarquer par son brillant investissement au Maroc (plus de 50% de pertes depuis), ou encore le prix extravagant pour Jazztel en Espagne. Quant on gagne trop bien sa vie, les investissements qui en résultent (ici, à l'étranger) sont très souvent désastreux. L'investissement dans les réseaux, comme le rappelle souvent la commissaire européen, Mme Vestager, est motivé par la concurrence, pas par la réduction du nombre d'acteurs. Pour prendre un exemple français, ce n'est probablement pas un hasard que les groupes français aient investi relativement rapidement dans la 4G, alors que l'investissement dans la 3G avait été particulièrement lent (engagements de couverture non respectés), avec un opérateur mobile de moins.  Quant à l'intérêt national, il me semble tout à fait primordial que les clients particuliers, mais aussi les entreprises françaises disposent de services de télécommunications de qualité à des prix raisonnables (par exemple, pas ceux que les trois opérateurs mobiles pratiquaient avant l'arrivée de Free Mobile). C'est une condition pour pouvoir être compétitif. C'est d'ailleurs un critère que de nombreux groupes étrangers examinent lorsqu'il s'agit de s'implanter en France.

    Bonjour,

    Il faut également prendre en compte les dividendes versés par Orange tous les ans, qui compensent largement la perte de valeur. S'il n'y avait pas ces dividendes, Orange serait le premier opérateur européen depuis longtemps.

    Sa privatisation totale serait une bonne chose à mon avis, cependant avec conservation de participation via des filiales de la boucle locale par l'Etat, et éventuellement des actifs stratégiques pour la sécurité nationale. La partie commerciale d'Orange n'a pas besoin d'être sous le giron de l'Etat qui pompe les dividendes et empèche l'opérateur de se développer.

    Après pour la concurrence oui, mais sur les parties pertinentes, pas sur tout. On a pas besoin de 4 réseaux mobiles, 2 seraient suffisants. Ces deux pouvant être détenus chacun par 2 opérateurs, ce qui ferait 4 opérateurs de détail:

    Opérateur d'infrastructure 1 (SFR-Bouygues) avec 1 réseau fixe et 1 réseau mobile:
     - SFR
     - Bouygues

    Opérateur d'infrastructure 2 (Orange-Free), avec un réseau fixe et 1 réseau mobile:
     - Free
     - Orange

    Dans ces conditions, on est à mon avis suffisamment en concurrence. 



  • jiOn a pas besoin de 4 réseaux mobiles, 2 seraient suffisants. Ces deux pouvant être détenus chacun par 2 opérateurs, ce qui ferait 4 opérateurs de détail: Opérateur d'infrastructure 1 (SFR-Bouygues) avec 1 réseau fixe et 1 réseau mobile: - SFR - BouyguesOpérateur d'infrastructure 2 (Orange-Free), avec un réseau fixe et 1 réseau mobile: - Free - Orange Dans ces conditions, on est à mon avis suffisamment en concurrence. 

    En gros on serait passe de 3 operateurs en 2011 a 4 en 2012 et a 2 en 2018 :/

    on marche sur la tete ? 

    autan sfr et bouygues ca reste assez coherent mais si on rajoute orange et free ca devient n importe quoi 

    Free va se faire avoir par orange en plus qui decide de tout dans la telephonie depuis des lustres alors ou est la concurrence ??? je comprend pas sachant que le but d orange c est d etre enfin tranquille sur les prix pour monetiser ses nouveaux services (bank etc ) 

    comment 2 operateurs sur le meme reseau avec les meme charges pourraient avoir 2 tarifs differents ??? 

    Orange controle free depuis le minitel et aujourd hui il faudrait qu il le gobe en fait , voila le marche de la concurrence tant voulu ... je pouffe lol 



  • jinge333 a écrit
      Bonjour, Il faut également prendre en compte les dividendes versés par Orange tous les ans, qui compensent largement la perte de valeur. S'il n'y avait pas ces dividendes, Orange serait le premier opérateur européen depuis longtemps. Sa privatisation totale serait une bonne chose à mon avis, cependant avec conservation de participation via des filiales de la boucle locale par l'Etat, et éventuellement des actifs stratégiques pour la sécurité nationale. La partie commerciale d'Orange n'a pas besoin d'être sous le giron de l'Etat qui pompe les dividendes et empèche l'opérateur de se développer. Après pour la concurrence oui, mais sur les parties pertinentes, pas sur tout. On a pas besoin de 4 réseaux mobiles, 2 seraient suffisants. Ces deux pouvant être détenus chacun par 2 opérateurs, ce qui ferait 4 opérateurs de détail: Opérateur d'infrastructure 1 (SFR-Bouygues) avec 1 réseau fixe et 1 réseau mobile: - SFR - BouyguesOpérateur d'infrastructure 2 (Orange-Free), avec un réseau fixe et 1 réseau mobile: - Free - Orange Dans ces conditions, on est à mon avis suffisamment en concurrence. 

    Bonjour jinge333,

    Orange paye effectivement, tous les ans un dividende, qui, aujourd'hui, représente 4,4% du cours de Bourse (contre un rendement moyen des actions en France sur 30 ans d'environ 2,5 à 3,0%), ce qui est typique des opérateurs de télécoms, qui, historiquement, versent des dividendes plus élevés que la moyenne des autres sociétés cotées en Bourse (100 à 150 bp de prime environ).

    Cependant, tous les opérateurs européens versent des dividendes du même ordre de grandeur qu'Orange. La position d'Orange parmi les autres opérateurs européens ne peut donc s'expliquer par le versement de dividendes.


  • L’arrogance d’orange et un tel sentiment d’impunité qui ne se soucie même pas du point de vue de free sur la question. Monsieur richard gagne déjà suffisamment de millions sur le dos d’orange qu ‘il ne partage aucunement avec les salariés, le marché est viable à 4, la preuve bouygue soi disant à l’agonie s’en est magnifiquement sorti tout seul grâce à des choix technologiques et commerciaux intelligents mr orange



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